Perturbateurs endocriniens : une bombe à retardement ?

Au cours du XXe siècle, plus de 100 000 molécules ont été conçues par l’industrie chimique1. Aujourd’hui, 40 000 à 60 000 produits chimiques industriels sont vendus dans le monde2. Nombre d’entre eux contiennent des substances reconnues ou suspectées d’être des perturbateurs endocriniens.

Omniprésents depuis quelques années dans les médias, les perturbateurs endocriniens le sont aussi dans notre quotidien : on peut les trouver dans notre alimentation, nos vêtements, nos meubles, ou encore simplement dans l’eau que l’on boit et l’air que l’on respire. Mais que sont-ils exactement, pourquoi sont-ils tant incriminés et existe-t-il des solutions pour y échapper ?

Le chercheur et biologiste Jean-Baptiste Fini, spécialiste des perturbateurs endocriniens, nous aide à y voir plus clair dans ce décryptage.

Qu’est-ce que les perturbateurs endocriniens ?

Selon la définition de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), les perturbateurs endocriniens sont “des substances chimiques d’origine naturelle ou artificielle étrangères à l’organisme qui peuvent interférer avec le fonctionnement du système endocrinien (c’est-à-dire le système hormonal) et induire ainsi des effets délétères sur cet organisme ou sur ses descendants”³.

Pour comprendre comment agissent les perturbateurs endocriniens, il faut d’abord comprendre le fonctionnement des hormones. Dans une situation normale, notre corps sécrète des hormones qui jouent le rôle de messagers chimiques : elles vont permettre la communication de nos organes entre eux afin de provoquer des réactions diverses. Notre cerveau va quant à lui jouer le rôle de chef d’orchestre de la cinquantaine d’hormones que nous produisons.

Ces hormones vont permettre la mise en place des organes et contrôler des processus à long terme comme la croissance, la reproduction et le développement. Elles sont aussi des actrices clés de notre physiologie, et vont notamment permettre la régulation de notre appétit, de notre température, de notre sommeil ou encore de notre humeur.

Le problème des perturbateurs endocriniens est qu’ils vont interférer avec le fonctionnement des hormones naturelles et brouiller leur message. Ils vont ainsi pouvoir agir de trois façons :

  • Ils peuvent modifier la production de nos hormones naturelles en interférant avec leurs mécanismes de synthèse, de transport, de dégradation ou d’élimination
  • Ils peuvent mimer les actions de nos hormones naturelles en se substituant à elles, ce qui pose problème quand l’action de ces hormones n’est pas requise
  • Ils peuvent bloquer l’action de ces hormones en se fixant à leur place sur les récepteurs avec lesquels elles interagissent

Via ces différentes interférences, les perturbateurs endocriniens ainsi vont affecter différentes fonctions essentielles de l’organisme comme le métabolisme, les fonctions reproductrices ou encore le fonctionnement du système nerveux, avec des conséquences que nous verrons un peu plus bas.

Où les trouve-t-on ?

Les sources d’exposition sont nombreuses car ces ennemis invisibles se cachent un peu partout dans notre environnement quotidien.

Alimentation & eau

  • La présence de certains pesticides dans l’alimentation, en particulier dans les fruits et légumes, contribuent fortement à notre exposition aux perturbateurs endocriniens. Ainsi, parmi les 90 pesticides réévalués par l’Efsa depuis 2018, 10 ont été identifiés comme des perturbateurs endocriniens.
  • Certains additifs alimentaires comme le BHA (E320) ou le BHT (E321) font partie des additifs suspectés de présenter des effets de perturbation endocrinienne4-7
  • L’eau du robinet peut également contenir des perturbateurs endocriniens à cause de sa contamination en pesticides ou produits pharmaceutiques (contraceptifs notamment)

Emballages alimentaires & ustensiles de cuisine

  • On peut retrouver des perturbateurs endocriniens dans certains emballages, en particulier le film plastique et les emballages plastiques. Or, des plastifiants (phtalates par exemple) peuvent migrer vers l’alimentation, en particulier lors du chauffage8
  • La contamination peut aussi venir de certains emballages alimentaires en papier et en carton qui peuvent contenir des composés perfluorés (boîtes à pizzas ou sachets de popcorn micro-ondables par exemple). Ces emballages peuvent aussi générer des huiles minérales, provenant notamment des encres et adhésifs des emballages, qui peuvent présenter des effets de perturbation endocrinienne. Celles-ci peuvent migrer vers les aliments9,10.
  • Les ustensiles de cuisine avec revêtements anti-adhésifs peuvent contenir des substances, notamment des perfluorés (PFOA, PFOS), qui agiraient comme perturbateurs endocriniens.

Médicaments

  • Certains médicaments pourraient présenter des effets endocriniens11
  • Chez la femme, les contraceptifs comme la pilule sont par définition des perturbateurs endocriniens dans la mesure où ils modifient le fonctionnement des hormones pour éviter l’ovulation
  • Les médicaments ont pour objectif de soigner et le problème ne concerne pas tant le sujet de la santé où ils apportent davantage de bénéfices que de risques, mais plutôt l’impact environnemental (voir plus bas)

Produits ménagers & produits d’hygiène

  • De nombreux produits ménagers contiennent des substances reconnues ou suspectées d’être des perturbateurs endocriniens, comme des conservateurs ou des agents de textures (triclosan, phtalates ou certains parabènes par exemple)
  • De la même manière, on peut retrouver ces substances dans les produits de beauté et d’hygiène (déodorants, shampoings, maquillage, dentifrices, etc.).

Maison & ameublement

  • De nombreux produits de maison et ameublement contribuent à la pollution de l’air intérieur, notamment parce qu’ils contiennent des retardateurs de flamme bromés – substances ayant pour objectif de limiter les risques d’incendie – dont certains ont été décrits comme perturbateurs endocriniens
  • Les produits en tissus (rideaux, moquette, literie, etc.) contiennent ces retardateurs de flamme ou des substances anti-tâches (perflurorés) dont certaines sont des perturbateurs endocriniens potentiels
  • Les meubles peuvent émettre de multiples substances volatiles problématiques, comme le formaldéhyde. Les meubles en bois aggloméré sont particulièrement concernés car ces substances se retrouvent essentiellement dans la colle qui sert à amalgamer le bois
  • Les peintures peuvent également contenir des perturbateurs endocriniens potentiels, en particulier les peintures notées B et C qui sont celles qui émettent le plus de composés chimiques

En 2019, une étude de Santé Publique France a révélé que des perturbateurs endocriniens avérés ou suspectés étaient présents dans l’organisme de tous les Français, avec des taux d’imprégnation plus élevés chez les enfants. Chez l’ensemble des Français ont été retrouvés 6 grandes familles de perturbateurs : bisphénols, parabènes, phtalates éthers de glycol, retardateurs de flamme bromés, composés perfluorés. Selon Santé Publique France, les niveaux d’imprégnations mesurés sont comparables à ceux d’autres études menées à l’étranger, notamment aux États-Unis et au Canada¹².

Bisphénol A : à quand une interdiction européenne ?

Le Bisphénol A (BPA) est une substance que l’on trouve dans de nombreux plastiques. Il a été interdit en France en 2010 dans les biberons et en 2015 dans les contenants alimentaires, à cause de ses effets de perturbation endocrinienne.

En 2019, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) a classé le bisphénol A comme “substance extrêmement préoccupante” en raison de ses effets sur l’ovulation, l’apprentissage et la mémoire13. Pourtant, il reste autorisé dans d’autres pays européens : l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) a revu à la baisse la DJA (dose journalière admissible) en décembre 2021 mais ne l’a pas interdit et la plupart des pays européens l’utilisent encore dans des produits à risque comme les biberons.

L’autre problème est que les molécules de substitution utilisées aujourd’hui – Bisphénol F et Bisphénol S – pourraient s’avérer tout aussi problématiques sur le Bisphénol A. Aujourd’hui, de nombreuses études suggèrent que leurs effets sont comparables à ceux du Bisphénol A14-16. Des démarches sont en cours auprès de l’ECHA (European Chemicals Agency) pour mieux encadrer l’utilisation de ces nouvelles substances.

Quels sont leurs effets ?

Les effets avérés ou suspectés des perturbateurs endocriniens sont nombreux, qu’il s’agisse de la santé ou de l’environnement.

Les effets sur la santé

Selon une étude de Santé Publique France de 2021, plus de cinquante effets sanitaires attribuables aux perturbateurs ont été identifiés17. Les principaux effets connus à ce jour des perturbateurs endocriniens sont les suivants :

1. Effets sur la reproduction

Les perturbateurs endocriniens affectent la fonction reproductive à plusieurs niveaux. Ils peuvent altérer le développement des fonctions reproductrices des individus dès la naissance : une exposition précoce peut ainsi entraîner une prédisposition à développer des troubles de la puberté et/ou de la fertilité18.

Les perturbateurs endocriniens peuvent notamment impacter la reproduction des hommes et des femmes en empêchant la spermatogenèse (formation des spermatozoïdes) et l’ovogenèse (formation des ovocytes), avec pour conséquence une baisse de la fertilité19,20,23.

L’exposition aux perturbateurs endocriniens pourrait également être impliquée dans l’apparition de malformations des testicules et des ovaires, le développement d’une endométriose ou encore du syndrôme des ovaires polykystiques21-25.

Enfin, la puberté précoce est également suspectée d’être favorisée par une exposition aux perturbateurs endocriniens. Les filles seraient 10 fois plus souvent atteintes que les garçons26.

2. Obésité et diabète

L’exposition aux perturbateurs endocriniens contribuerait à l’augmentation de l’obésité et du diabète. En effet, l’alimentation trop riche et le manque d’activité ne semblent pas expliquer à elles seules l’épidémie d’obésité et de diabète observée dans les pays industrialisés.

En modifiant le fonctionnement de certaines hormones, les perturbateurs endocriniens perturberaient les mécanismes de régulation du métabolisme des glucides et des lipides, de l’appétit et de la satiété27,28. En particulier, ces perturbateurs endocriniens agiraient lors du développement fœtal, déréglant alors pour la vie la balance énergétique de l’individu, c’est-à-dire l’équilibre entre apports et dépenses énergétiques, et favorisant l’obésité29-32.

L’exposition aux perturbateurs endocriniens, en entraînant des anomalies dans la régulation et la sécrétion d’insuline, peut conduire à une insulino-résistance, un élément clé à l’origine du diabète de type 233.

3. Troubles du développement

Les perturbateurs endocriniens seraient impliqués dans différents troubles du comportement chez l’enfant : hyperactivité, troubles relationnels, troubles émotionnels, symptômes d’anxiété, comportements plus agressifs34-36

Par ailleurs, en interférant avec le fonctionnement de l’hormone thyroïdienne, qui est cruciale pour le développement du cerveau, les perturbateurs endocriniens joueraient un rôle dans la baisse du quotient intellectuel et de nos capacités cognitives37-41.

4. Cancers

Certains perturbateurs endocriniens pourraient augmenter l’incidence de la survenue de cancers hormono-dépendants : cancer du sein, des ovaires, de la prostate, des testicules, de la thyroïde. Une exposition in utero ou à un jeûne âge pourrait favoriser ces cancers à l’âge adulte42-48.

Des périodes de plus grande vulnérabilité

Nous sommes plus vulnérables aux perturbateurs endocriniens à certaines périodes de notre vie durant lesquelles les tissus et organes sont en cours de développement, et où notre corps connaît de grands bouleversements hormonaux.

Les périodes les plus sensibles correspondent au développement du fœtus (mère et foetus sont vulnérables), à la petite enfance et à la puberté. La période des 1 000 premiers jours de vie, de la conception jusqu’à 2 ans, est une période particulièrement cruciale qui influence la santé future de l’individu. Il faut donc être spécialement attentif à notre exposition à ces substances pendant ces périodes.

Les effets sur l’environnement

Au vu de leur présence massive dans notre quotidien, les perturbateurs endocriniens vont se répandre dans l’environnement et affecter l’ensemble des organismes vivants. Les pesticides vont ainsi contaminer les sols et les rivières, et nos produits ménagers vont se retrouver dans les stations d’épuration où les perturbateurs seront peu ou mal filtrés (car non listés parmi les produits à éliminer) avant que l’eau ne soit ensuite rejetée en milieu naturel.

Les perturbateurs endocriniens peuvent affecter l’ensemble des êtres vivants car tous les êtres vivants ont des hormones. Plus encore, les hormones sont exactement les mêmes chez tous vertébrés. Leurs fonctions peuvent varier mais leur structure est identique. Chez l’humain en développement, l’hormone thyroïdienne va permettre la maturation du cerveau, tandis que, chez l’adulte, elle va permettre de réguler notre humeur et notre chaleur corporelle. Son rôle est encore plus spectaculaire chez les amphibiens où elle va contrôler la métamorphose d’un têtard en grenouille. C’est pourquoi un médicament anti-thyroïdien qui se retrouverait dans une mare empêcherait alors la métamorphose du têtard en grenouille.

De nombreuses études ont mis en évidence différentes anomalies chez les animaux attribuables aux effets néfastes de certains perturbateurs endocriniens. Ces effets ont été observés chez des populations de poissons, de reptiles, invertébrés ou encore d’oiseaux. Les exemples des effets de polluants pouvant impacter la physiologie des êtres vivants sont trop nombreux pour que nous puissions tous les aborder ici. Nous décrirons donc deux exemples avec le pesticide DDT et le phtalate DEHP.

Le DDT est un insecticide persistant répandu massivement après la seconde guerre mondiale. Des effets toxiques importants ont été relevés sur les populations aquatiques et terrestres dans les régions où il avait été épandu. Ainsi, différentes études ont mis en lumière un lien entre l’épandage de DDT et l’amincissement des coquilles des oiseaux, avec pour conséquence une éclosion trop précoce et donc une hausse de la mortalité49-52. Des problèmes de reproduction ont également été observés sur des alligators mâles dans un lac de Floride dans les années 1980, et ont entraîné un important déclin de cette population d’alligators. Ce déclin a été attribué à la trop grande quantité de DDT épandu plusieurs dizaines d’années auparavant et ayant entraîné des anomalies des organes reproducteurs des alligators53. Le DDT a depuis été interdit par de nombreux pays mais son utilisation à des fins sanitaires (pour lutter contre le paludisme) reste tolérée de façon exceptionnelle54.

Le second exemple concerne le phtalate DEHP, un composé classé comme très préoccupant depuis 2017 par l’Union Européenne. Le DEHP (ou plutôt son produit de dégradation, le MEHP) est détectable chez quasiment tous les vertébrés terrestres ou marins55,56. Les effets à des doses inférieures aux normes peuvent engendrer des effets insoupçonnés. Chez la souris il a été montré qu’une exposition du fœtus à ces phtalates engendre ensuite un comportement sexuel altéré chez les mâles et rend également leur cerveau plus accessible aux polluants57.

Il ne s’agit ici que de deux exemples mais bien d’autres effets environnementaux attribuables aux perturbateurs endocriniens ont été observés par les scientifiques.

Les perturbateurs endocriniens sont aujourd’hui peu réglementés

Il n’existe à ce jour pas de liste unique et officielle de perturbateurs endocriniens. En France, une liste de 900 substances d’intérêt et une stratégie de priorisation ont été publiées par l’ANSES en avril 2021 afin d’accélérer l’identification des perturbateurs endocriniens.

Il n’existe pas encore d’obligation de tester les produits (additifs alimentaires, cosmétiques, médicaments, jouets, emballages, etc.) pour leurs effets endocriniens avant mise sur le marché : ni le produit fini ni ses composants ne font l’objet d’une obligation d’évaluation sur ce sujet.

Depuis 2018, au sein de l’Union Européenne, seuls les pesticides et les biocides doivent faire l’objet d’une évaluation du caractère endocrinien avant mise sur le marché. Les pesticides et biocides actuellement commercialisés doivent faire l’objet d’une évaluation de façon rétroactive – qui peut alors conduire à leur restriction voire à leur interdiction – mais ce processus va malheureusement prendre du temps. Pour les autres catégories de produits, un document guide est attendu pour 2022.

Dans le cadre du règlement européen REACH, qui date de 2007, les substances présentant des propriétés perturbateurs endocriniens peuvent être identifiées comme SVHC (substances extrêmement préoccupantes) mais cela ne conduit pas nécessairement à leur interdiction. Des dossiers sont soumis par les Etats Membres : tous les États Membres votent ensuite sur le devenir du produit en question. En 2021 par exemple, malgré les preuves d’un effet du résorcinol (ingrédient que l’on retrouve notamment dans les produits cosmétiques) sur la thyroïde, les Etats Membres n’ont pas voté son interdiction.

La réglementation des perturbateurs endocriniens est donc lacunaire à ce jour, et il est indispensable qu’elle évolue pour pouvoir protéger les consommateurs.

Des effets même à faible dose

Certains perturbateurs endocriniens mettent à mal la règle longtemps considérée comme infaillible en toxicologie selon laquelle “la dose qui fait le poison”. En effet, diverses études ont montré qu’ils seraient susceptibles d’agir à de très faibles doses.

Les études montrent même que de faibles doses peuvent engendrer des effets supérieurs à ceux produits par de fortes doses. On peut aller jusqu’à observer pour certaines substances un effet à faible dose et une absence d’effet à forte exposition58,59.

Les travaux de Sarah Jenkins sur le Bisphénol A montrent par exemple que, sur des souris sur lesquelles une tumeur a été greffée, le BPA agit ensuite sur le volume des tumeurs. Les effets du BPA sur le développement de tumeurs sont observés chez les rongeurs à des doses très faibles, inférieures à la DJA (dose journalière admissible). Puis, c’est à des doses intermédiaires que l’on observe les effets les plus forts sur le volume des tumeurs, alors que les effets diminuent ensuite à des doses très fortes60.

De la même manière, une étude sur les phtalates a montré un effet de ces substances sur le comportement des souris lorsqu’ils sont présents à faible dose, mais pas à forte dose61.

Le même effet a été observé pour les composés perfluorés – comme le PFOS – utilisés dans de nombreux produits de consommation courante comme imperméabilisants textiles, dans les revêtements antiadhésifs, ou dans certains emballages alimentaires. Une étude réalisée sur des têtards a montré que le PFOS perturbe le bon fonctionnement des hormones thyroïdiennes à des doses intermédiaires, mais pas à des doses faibles ou élevées38.

Un « effet cocktail » inquiétant

Un autre problème important se pose concernant les perturbateurs endocriniens : ils peuvent potentiellement devenir plus nocifs s’ils sont mélangés. En d’autres termes, plusieurs substances en-dessous des seuils réglementaires (considérés comme protecteurs) pourraient donner naissance à un effet de perturbateur endocrinien. C’est ce qu’on appelle “l’effet cocktail”62-64. L’existence de cet effet remet en question l’évaluation du risque actuellement fondée sur une évaluation individuelle des molécules, et qui ne semble pas adaptée à la réalité de l’exposition aux mélanges.

Une étude internationale publiée en 2022 a montré que l’exposition à un mélange de produits chimiques (phtalates, phénols et perfluorés) a des effets de perturbation endocrinienne et que la surexposition pendant la grossesse a des effets sur le bon fonctionnement du cerveau des enfants en entraînant notamment un retard de langage65.

Cet “effet cocktail” complique considérablement l’étude des perturbateurs endocriniens : pour étudier cet effet, il faudrait tester tous les mélanges possibles avec les milliers de substances chimiques susceptibles d’avoir des effets endocriniens.

Comment les éviter ?

Il est aujourd’hui difficile de les éviter car ils sont devenus omniprésents dans notre environnement, mais il est possible de limiter autant que possible notre exposition, en attendant qu’une réglementation appropriée voie le jour et interdise ces substances.

Emballages alimentaires & ustensiles de cuisine

  • Eviter de consommer trop d’aliments ayant été en contact avec des emballages plastique
  • Utiliser des matériaux inertes (verre, acier inoxydable, céramique) pour la préparation et le stockage des aliments
  • Ne pas faire réchauffer ses aliments dans des contenants en plastique
  • Favoriser l’achat de produits issus de l’agriculture biologique
  • Réduire sa consommation d’aliments ultra-transformés pouvant contenir des additifs problématiques
  • Eviter les ustensiles anti-adhésifs (poêles notamment) et jetez votre poêle anti-adhésive dès que le revêtement est abîmé
  • Utiliser du sel iodé pour éviter les carences en iode, l’iode étant indispensable pour la synthèse des hormones thyroïdiennes

Entretien & hygiène

  • Réduire l’utilisation de produits ménagers non nécessaires et privilégier des produits naturels comme le vinaigre blanc, le bicarnonate de soude et le savon de Marseille
  • Éviter les produits cosmétiques avec des conservateurs tels que les parabènes
  • Privilégier la cosmétique bio qui interdit l’utilisation de nombreuses substances problématiques
  • Utiliser des couches bio ou lavables pour les bébés (le coton des couches peut contenir des résidus de pesticides problématiques)
  • De la même manière, privilégier les protections hygiéniques (serviettes, tampons) à base de coton bio

Maison & ameublement

  • Aérer tous les jours pendant 15 minutes votre intérieur et passer régulièrement l’aspirateur : la pollution intérieure est une source importante d’exposition aux perturbateurs endocriniens
  • Éviter l’emploi d’aérosols (désodorisants, imperméabilisants, désinfectants), de bougies ou encens qui contribuent à la pollution de l’air
  • Éviter la moquette et les revêtements de sol en polychlorure de vinyle
  • Laver les textiles neufs (housses, coussins, tapis, rideaux…)
  • avant de les utiliser) ou opter pour des textiles de seconde main
  • Privilégier les meubles en matières naturelles non traitées, et éviter les meubles en PVC ou contre-plaqué qui contiennent des colles et plastifiants qui vont relarguer des composés volatiles dans l’intérieur.
  • Opter pour des meubles de seconde main
  • Préparer autant que possible la chambre d’un nouveau-né plusieurs semaines avant la naissance, en aérant bien tous les jours
  • Eteindre son ordinateur et son téléphone portable la nuit (ou a minima mettre en veille ou mode avion), car les cartes mères électroniques contiennent des retardateurs de flamme qui relarguent des composés volatiles lors du fonctionnement

Vêtements

  • Laver ses vêtements neufs avant de les porter
  • Ne porter des vêtements techniques en fibres synthétiques que lors d’une séance de sport

Jouets pour enfants

  • Laver les jouets neuf à l’eau et au savon avant de les donner à son enfant
  • Privilégier les jouets pour enfants en bois massif et en tissu bio
  • Limiter les jouets en plastique ou en bois traité, surtout s’ils sont portés à la bouche
  • Opter pour des jouets de seconde main (avec fabrication récente)

Sources

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  • ⁴⁰ Caporale N et al. From cohorts to molecules: Adverse impacts of endocrine disrupting mixtures. Science. 2022 Feb 18;375(6582):eabe8244.
  • ⁴¹ https://chemtrust.org/wp-content/uploads/chemtrust-nobrainer-mar17.pdf
  • ⁴² Cohn BA, Wolff MS, Cirillo PM, Sholtz RI. DDT and breast cancer in young women: new data on the significance of age at exposure. Environ Health Perspect. 2007;115(10):1406-1414. doi:10.1289/ehp.10260
  • ⁴³ Barbara A. Cohn, Michele La Merrill, Nickilou Y. Krigbaum, Gregory Yeh, June-Soo Park, Lauren Zimmermann, Piera M. Cirillo, DDT Exposure in Utero and Breast Cancer, The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, Volume 100, Issue 8, 1 August 2015, Pages 2865–2872
  • ⁴⁴ https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/exposition-a-des-substances-chimiques/perturbateurs-endocriniens/documents/rapport-synthese/etude-peps-pe-priorisation-des-effets-sanitaires-a-surveiller-dans-le-cadre-du-programme-de-surveillance-lie-aux-perturbateurs-endocriniens-de-sa
  • ⁴⁵ Kahn LG, Philippat C, Nakayama SF, Slama R, Trasande L. Endocrine-disrupting chemicals: implications for human health. Lancet Diabetes Endocrinol. 2020 Aug;8(8):703-718.
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  • ⁵⁵ Caporale et al. From cohorts to molecules: Adverse impacts of endocrine disrupting mixtures. Science. 2022 Feb 18;375(6582):eabe8244.
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  • ⁵⁸ Fagin, D. (2012). Toxicology: The learning curve. Nature 490, 462–465 (25 October 2012)
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  • ⁶¹ Neural mechanisms underlying the disruption of male courtship behavior by adult exposure to Di(2-ethylhexyl) phthalate in mice, Carlos Dombret, Daphné Capela, Kevin Poissenot, Caroline Parmentier, Emma Bergsten, Cédric Pionneau, Solenne Chardonnet, Hélène Hardin-Pouzet, Valérie Grange-Messent, Matthieu Keller, Isabelle Franceschini, Sakina Mhaouty-Kodja. Environmental Health Perspectives, 1er septembre 2017.
  • ⁶² Delfosse V, Huet T, Harrus D, Granell M, Bourguet M, Gardia-Parège C, Chiavarina B, Grimaldi M, Le Mével S, Blanc P, Huang D, Gruszczyk J, Demeneix B, Cianférani S, Fini JB, Balaguer P, Bourguet W. Mechanistic insights into the synergistic activation of the RXR-PXR heterodimer by endocrine disruptor mixtures. Proc Natl Acad Sci U S A. 2021 Jan 5;118(1):e2020551118.
  • ⁶³ Silva E, Rajapakse N, Kortenkamp A. Something from "nothing"--eight weak estrogenic chemicals combined at concentrations below NOECs produce significant mixture effects. Environ Sci Technol. 2002 Apr 15;36(8):1751-6.
  • ⁶⁴ Delfosse V, Dendele B, Huet T, Grimaldi M, Boulahtouf A, Gerbal-Chaloin S, Beucher B, Roecklin D, Muller C, Rahmani R, Cavaillès V, Daujat-Chavanieu M, Vivat V, Pascussi JM, Balaguer P, Bourguet W. Synergistic activation of human pregnane X receptor by binary cocktails of pharmaceutical and environmental compounds. Nat Commun. 2015 Sep 3;6:8089.
  • ⁶⁵ Caporale N et al. From cohorts to molecules: Adverse impacts of endocrine disrupting mixtures. Science. 2022 Feb 18;375(6582):eabe8244.

Co-Auteur

Jean-Baptiste Fini

Professeur et biologiste spécialiste des perturbateurs endocriniens au sein du laboratoire Physiologie moléculaire et adaptation, au Muséum national d’histoire naturelle, à Paris.

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296 commentaires

  1. Jean

    Super article
    Nous avons déjà beaucoup modifié nos habitudes concernant les contenants plastiques, les produits ménager , mais quel est le bon choix entre l’eau du robinet et l’eau vendu en bouteille plastique ? L’emprise des perturbateurs endocriniens au quotidien est tout simplement effrayante
    Merci pour les conseils

    Répondre
  2. ALAIN

    Merci beaucoup de ces informations !

    Répondre
  3. Gigi

    Un grand merci pour cet article que j’ai lu avec beaucoup d’attention.

    Répondre
  4. Sandra

    Merci pour cet article très intéressant. Ces perturbateurs sont un vrai fléau et j’ai beaucoup fait de ménage depuis quelques années grâce à Yuka étant suivi en PMA. Mais ce n’est pas facile. Est-ce que Yuka va se développer en ce qui concerne les produits ménagers?
    Encore merci pour votre application qui nous aide vraiment à limiter les additifs et autres produits nocifs

    Répondre
  5. Bernadette

    Merci beaucoup pour cette mise en garde et cette analyse très sérieuse et documentée. Mais comment faire pour les éradiquer complètement même en étant très attentif ? Et surtout, une fois que le mal est fait sur la santé, comment réparer les dégâts, notamment en matière d’obésité, de diabète et de fertilité ?
    Merci pour tout ce que vous faites.

    Répondre
  6. Louise

    Sujet bien traité, accessible malheureusement effrayant. Mon action du jour que j’appelle  » le mètre autour de moi » sera de partager cet article avec les personnes que je côtoierai aujourd’hui. Information et prise de conscience sont des éléments indispensables au changement.

    1
    Répondre
  7. Martine

    Merci pour cet article. Il est très intéressant.

    1
    Répondre
  8. AMÉLIE

    Auriez-vous des conseils et alternatives autre que l’eau du robinet et les bouteilles en plastique? Osmoseur, filtre etc.Quelle est la meilleure solution pour une eau saine? Merci

    9
    Répondre
  9. Agnès

    Merci pour cet article très complet et abordable. Merci aussi pour les rappels de protection. Bravo 👏

    2
    Répondre
  10. Myr.

    Tout à fait nécessaire. Merci pour cette étude concrète avec des conseils applicables dans le quotidien. Mais quand même on y échappe pas…hélas!

    3
    Répondre
  11. Alexa

    Merci pour cet article dont le sujet est une nécessité!

    1
    Répondre
  12. Michel

    Très inquiétant quand même les fameux perturbateurs endocriniens. Bravo pour les différentes conseilles

    1
    Répondre
  13. elisabeth

    Merci beaucoup très instructif sur le développement pubertaire et l’obésité j’aurais apprécié plus de developpements

    1
    Répondre
  14. christine

    Très belle enquête ! Bravo c’est très sérieux et intéressant. Certaines pratiques sont plus faciles que d’autres à mettre en place… Par exemple pour les peintures.

    1
    Répondre
  15. Bertrand

    Comme d’habitude cet article est très accessible et bien documenté, bravo à toute l’équipe de Yuka.

    2
    Répondre
  16. Catherine

    Bonjour un grand merci de cet article très complet et très accessible à tous. Lecture facile et très instructive. Bravo à vous l’auteur et toute l’équipe Yuka qui depuis des années nous accompagnent si bien

    2
    Répondre
  17. Lila

    Bonjour
    Merci à Jean-Baptiste, et Julie, pour votre travail très enrichissant, j’utilise Yuka des que j’ai un doute ( parfois même qd je n’en ai pas😊) dommage que vous n’évoquiez pas les solutions qui limites les pesticides et particules dans l’EAU, car il y’a des solutions mais elles restent minimes .. concernant les meubles, la peinture, l’environnement je vais partager le plus largement possible, car c’est l’affaire de tous, et tous ensemble se sera plus simple .. merci pour ce travail et ce partage

    2
    Répondre
  18. Lucienne

    Article très intéressant. Continuez à nous informer sur la santé. J’aime l’application Yuka .

    1
    Répondre
  19. Cecilia

    À travers le code barre peut-on repérer les composants des emballages et des produits autres que les aliments et les cosmétiques, comme par exemple les lessives et les produits ménagers, les objets en plastique… ce serait vraiment utile pour choisir de manière avisée.

    2
    Répondre
  20. Marie-Noëlle

    Merci pour cet article hyper intéressant. J’ai l’application et le livre Yuka depuis des années
    mais Je me demande comment un produit comme le jambon peu être classé Excellent par Yuka alors qu’il est emballé sous film plastique…. ce n’est pas le seul article dans ce cas… Merci Yuka pour votre travail en tout cas !

    2
    Répondre
  21. Claude

    Merci pour cet excellent document et bravo pour votre travail, je fais mes courses avec yuca depuis longtemps…

    1
    Répondre
  22. Alain

    Gratitude à Yuka et en particulier à Julie et Jean-Baptiste pour cet excellent article qui devrait être lu et relu par le + grand nombre.
    Je me suis rendu compte de l’importance et de la nocivité de ces poisons lorsque je me suis intéressé à l’eau du robinet et en bouteille en France au point de réaliser une visioconférence sur ce qui nous est présenté comme l’élément le + contrôlé.
    https://vimeo.com/643421980/f8c0c84b38
    Encore merci pour vos combats et avec vous

    1
    Répondre
  23. Marie-France

    Merci pour votre article très instructif et très inquiétant. Comment échapper à ces perturbateurs endocriniens puisqu’ils sont omniprésents et très peu contrôlés. Ils ont donc encore une longue vie devant eux contrairement à nous qui en sommes victimes même si votre application nous aide à les éviter. Merci pour ce que vous faites.

    1
    Répondre
  24. SYLVIANE

    Merci à toutes l équipe de Yuka pour l article j utilise votre site et ainsi d avoir échappé à des achats perturbateurs endocriniens je partagerai votre article

    1
    Répondre
  25. Mireille

    Merci pour cet article très complet, très instructif et édifiant à la fois. Je ne peux plus acheter sans votre application. Bravo !

    1
    Répondre
  26. Krys

    Super excellent mais tant qu’il y aura des supermarchés et grande distribution ce sera toujours pareil est catastrophique il faut s’armer de patience et combattre tout le temps très bon courage un grand merci a toutes l’équipe.

    Répondre
  27. Bernadette

    Cet article est bien documenté et agréable à lire. Il est tout de même anormal d’être obligés de vérifier tout ce que nous consommons ! l’appli Yuka a l’avantage de nous permettre de ne pas rester des heures à lire chaque étiquette, en un instant nous voyons ce que nous pouvons mettre dans le caddie ou ce que nous devons reposer sur l’étale ! Merci Yuka, depuis de nombreuses années vous m’êtes indispensable !

    Répondre
  28. Viviane

    Bonsoir.
    Hé ! Oui , on ne saurait le répéter. Quand les dirigeants feront quelques chose ?
    À se demander si la façon que nous vivions rapporte plus que de mieux vivre….
    Très bon sujet.
    Portez-vous bien.

    Répondre
  29. Eliane

    C’est édifiant ce que vous relater, malheureusement les textes n’évoluent pas vite. Quelques efforts sont faits mais suffisants. Bravo pour votre article.

    Répondre
  30. Nicolas

    Bel article!

    Répondre
  31. Roberto

    Merci pour ces éclaircissements . Une avancée majeure sera le jour de l’abolition totale du plastique sur notre belle planète . On ne peut que l’espérer pour …….nos enfants !

    Répondre
  32. josette

    merci pour tous ces renseignements qui m’éclaire sur beaucoup de chose particulièrement sur la thyroide .Par contre j’ai sur mon téléphone votre yuka qui me sert beaucoup….surtout continuez comme celà on a besoin de vous…….

    Répondre
  33. GISLAINE

    Merci pour tous ses renseignements pas étonnant qu’ il y est temps de malades actuellement.

    Répondre
  34. Elisabeth

    Merci encore pour cet article ils sont toujours précis et dénonçants bravo pour les détails

    Répondre
  35. Maryse

    Merci pour cet article édifiant

    Répondre
  36. Joël

    Merci pour cet article très édifiant. La lutte contre les lobies ne sera pas facile.

    Répondre
  37. Cathy

    Merci pour vos articles toujours très intéressants et pour vos conseils !

    Répondre
  38. M-Pascale

    Vos articles et conseils sont toujours les bienvenus ..et très utiles merci beaucoup

    Répondre
  39. Marie-C

    Depuis quelques années je n’utise que des boîtes en verre. Je filtre l’eau du robinet avec un bâton de charbon actif. Mes légumes et fruits sont bios et lavés. A l’équinoxe de printemps et automne, je fais une purge sèche avec de l’huile biologique et 1ère pression à froid, de ricin. Également des puradetox pieds régulièrement. J’essaye de vivre le + possible avec la nature, loin des villes ; privilégie les protéines végétales. Adepte des médecines naturelles. Bouger, respirer, méditer.

    Répondre
  40. Françoise

    Grand merci pour tous ces articles! Très utiles

    Répondre
  41. Philomène

    Merci pour cet exposé clair et documenté et surtout pour les conseils qui le terminent

    1
    Répondre
  42. Denise

    Merci beaucoup pour cet article très intéressant. Il est vraiment important d’informer le plus possible sur ce sujet.

    Répondre
  43. Danièle

    Merci pour ces précieuses informations 👏🏽 et à l’équipe Yuka

    Répondre
  44. Françoise

    Bravo pour cet article. Plus nous, consommateurs, seront bien informés, plus les industriels seront poussés à produire de façon plus vertueuse.

    Répondre
  45. Martine

    Merci pour toutes ces explications qui corroborent l’alerte lancée par A.Cicollela , il y a déjà fort longtemps !
    Comment alerter sans culpabiliser les consommateurs qui ne savent pas ???

    Répondre
  46. Mina

    Un grand merci à toute l’équipe de Yuka pour ses recherches ainsi qu’à ses très bon conseils heureusement que vous êtes là !!

    Répondre
  47. Jean-Davy

    Merci Yuka d’exister pour nous aider (non pardon, pour lutter à notre place) contre les industriels qui s’enrichissent au détriment de la santé publique.
    TOUS, faites un don pour que Yuka puisse continuer à lutter pour nous et reste indépendant financièrement.
    Vous ne pouvez pas utiliser l’appli, lire leurs articles et les féliciter de ça, sans avoir fait un don? Peu importe la somme, c’est le geste et le principe surtout qui compte !

    Répondre
  48. Nelly

    Merci pour cette article qui malheureusement ne nous rassure pas. J utilise souvent l appli Yuka qui m’aide beaucoup pour mes achats alimentaires ainsi que cosmétiques Continuez l équipe !!! vous nous êtes utiles .

    Répondre
  49. Charlène

    Bonjour. Votre article est très intéressant. La grande difficulté en tant que consommateur est de savoir quelles sont les substances à proscrire. Les étiquettes des produits sont incompréhensibles.
    J evite le propylène glycol depuis 2 ans (présent meme dans les produits Bio !) mais il doit bien y avoir d autres substances à repérer et éviter. Avez vous une liste des noms et abréviations de ces substances ? Merci

    3
    Répondre
  50. Nick

    Très intéressant.
    Pas toujours facile lors d’un achat de produit de sortir le testeur Yuka devant le vendeur.
    Lors d’achat de maquillage par correspondance il n’est pas possible de vérifier si les produits contiennent ou non des perturbateurs endocriniens et c’est parfois le cas et donc on achète et on n’utilise pas !
    Est-il possible d’acheter votre livre en librairie car je ne commande pas sur internet. Merci

    Répondre
  51. Isabelle

    Merci très instructif et clair.A chacun de se prendre en main car le jeu en vaut la chandelle .

    Répondre
  52. Valérie

    Bonjour
    Vos articles sont toujours intéressants.
    Il est malgré difficile d éviter d acheter des produits sans perturbateurs endocrineens même si on fait attention. Je trouve inadmissible que les pouvoirs publics ne réagissent pas plus à ce problème alors que les conséquences seront nombreuses dans quelques années.
    Merci encore et bravo pour votre site.

    1
    Répondre
  53. Nadine

    Merci pour votre travail remarquable ! J’utilise votre application depuis sa création, il y a quelques années. Elle m’a permis de boycotter bon nombre de produits. Je recommande votre livre sur l’alimentation saine. Il est simple mais complet et très agréable à consulter.

    2
    Répondre
  54. Catherine

    Très instructif…..j’ai une question importante :Nous produisons la majorité de nos légumes. Nous congelons pour l’hiver et mettons dans des sacs de congélation en plastique haricots verts tomates aubergines etc…JE cuisine toujours en grande quantité les plats et je congele ensuite les restes de la même facon.que penser de l’impact de cette méthode sur notre santé ?????
    Merci de votre réponse.

    13
    Répondre
  55. bernard

    la vulgarisation scientifique : très , très bien !
    le développé de l’article très explicatif : bravo pour ce rédactionnel , cette pédagogie médicale !

    1
    Répondre
  56. Clara

    Bravo pour cet article. Très intéressant. Désormais je saurais comment m’y prendre pour limiter les risques de ces pertubateurs endocrinéens

    1
    Répondre
  57. isabelle

    Très bon sujet (hélas) très bien construit et bien expliqué

    2
    Répondre
  58. Christophe

    Merci pour ces infos mais ça manque de donnees factuelles : quand on a fini l’article on ne sait pas de quelles substances il s’agit exactement ni dans quelle quantité elles produisent des effets ou sont dangereuses.
    Donc finalement décevant.

    3
    Répondre
    1. Martine

      Christophe, regardez les « sources » à la fin de l’article…
      Merci Yuka pour tous vos articles si intéressants, très clairement expliqués. Nous apprécions beaucoup, continuez svp

      Répondre
  59. Conchita

    La santé, c’est aussi en partie une question d’accès à l’information.
    Et donc, merci pour le partage de ces infos.
    Ce problème des perturbateurs endocriniens est récurrent.
    Il n’y a aucune volonté politique de le régler, car les enjeux financiers sont colossaux, que ce soit pour l’agro-alimentaire, ou pour les cartels pharmaceutiques qui se sucrent en « traitant » les pathologies engendrées par ces substances. C’est à nous consommateurs de faire les bons choix…

    2
    Répondre
  60. Christiane

    Article intéressant
    Merci pour les conseils : nous n’en avons jamais trop

    Répondre
  61. Karin

    Et le soja?????

    Répondre
  62. Patrick

    Merci tout simplement pour votre travail de recherche
    Et de nous en faire profiter

    3
    Répondre
  63. Colette

    Bonjour,
    Merci beaucoup pour ces informations qui complètent mes connaissances. J’utilise très souvent les contenants en verre, seulement je pense qu’après vous avoir lu, je devrai me séparer de ma poêle anti-adhésive bien que je ne l’utilise que rarement.
    Je suis très heureuse d’avoir téléchargé l’application cela fait un an !
    A bientôt.

    2
    Répondre
  64. Anny

    Super intéressant mais ça fait un peu peur !! L’homme en a détruit des choses !!!

    Répondre
  65. Sylvie

    Merci pour cette information! J utilise également très souvent votre application! j en ai bien conscience et je regrette que beaucoup de gens ne soient pas sensibles à l écologie on l a vu récemment !

    Répondre
  66. Brugnetti

    Bonjour
    Merci pour votre article, très intéressant a lire

    1
    Répondre
  67. Guy

    Bonjour, merci beaucoup pour toutes ces informations.
    J utilise yuka depuis quelques années car ma fille me l a installé, elle me voyait scrutait et déchiffrer les ingrédients, yuka s en charge et j espère pouvoir continuer à donner ma confiance.
    Une info me laisse très perplexe lorsque vous parler des poêles anti-adhesives. En effet cette info aurait pu être suivi d un conseil de remplacement. Quel autre ustensile de cuisine peut remplacer cette poêle pour cuire nos aliments, comme crêpes, œufs, oignons….merci pour votre réponse.

    Répondre
    1. Mara

      Bonjour, moi perso utilice des poêles en métal et je les fait couloter pour plus deficacite.

      Répondre
  68. Cécile

    Merci pour cet article, très intéressant! Merci pour tout Yuka

    1
    Répondre
  69. CAROLL

    Bonjour, je suis adepte de Yuka depuis un moment et je peux dire que j’ai guéri d’une maladie qu’aucun médecin n’a su soigner pendant 10 ans, grâce au fait d’avoir pu tester TOUS les produits alimentaires et cosmétiques et de m’être débarrassées en partie de ceux qui contenaient des P-E.
    Merci !!!

    4
    Répondre
  70. Karine

    Merci pour cet article! Peu rassurant mais il est bon d’ouvrir les yeux et d’agir chacun chez soi, pour donner l’exemple, à son échelle. Nos anciens ont gardé ces bonnes pratiques, malheureusement les bons produits se font rares! Encourageons les initiatives de transition écologique!🙏

    2
    Répondre
  71. ana

    Merci pour votre article, il est très intéressant !!! .

    3
    Répondre
  72. Raymond

    Article très complet et très didactique, contribue vraiment à une bonne compréhension.

    2
    Répondre
  73. Camille

    Excellent article. Très instructif. Que faire? L’impression que nous sommes dans un cercle infernal depuis des décennies. Démoralisant quand même. Ps: j’ai déjà acheté le livre. Super. Continuez👏👏👏👏

    2
    Répondre
  74. roger

    Remise à niveau intéressante, je conseille votre guide alimentaire déjà acheté .

    2
    Répondre
  75. Lóret

    Article très intéressant tout comme les commentaires. Ayant déjà un dysfonctionnement de la thyroïde j’y suis sensible. Merci 🙏🏻

    2
    Répondre
  76. Marie José

    J’ai déjà acheté le livre guide de l’alimentation

    Répondre
  77. Fabienne

    Merci pour les conseils.

    Répondre
  78. Gabrielle

    Merci beaucoup pour cet article super intéressant

    1
    Répondre
  79. Yasmine

    Parfois fermer les yeux permet de vivre avec insouciance les ouvrir permet d’être en alerte sur ce qui nous entoure (pollution pesticides etc…) et donc d’essayer de vivre au mieux merci pour les alertes même si ça fait peur cordialement

    3
    Répondre
  80. Pierre

    Très instructif!!

    2
    Répondre
  81. Catherine

    Super initiative que de développer concrètement ce thème : Merci !

    1
    Répondre
  82. Lisbeth

    Merci pour cet article très complet très documentée. J’ai appris beaucoup de choses.

    1
    Répondre
  83. Marie

    Très instructif merci

    Répondre
  84. Ghislaine

    Article très intéressant et fort instructif en ce qui me concerne. Merci à vous.

    1
    Répondre
  85. Jean-Pierre

    L’étude ne parle pas de la fleur de sel qui doit contenir une grande quantité de micro particules de plastiques et des produits pétroliers (Ces 2 produits flottent en mer et se retrouvent en surface dans les marais salants)

    7
    Répondre
    1. Annie

      J’utilise maintenant du sel d’hymalaya.

      1
      Répondre
      1. Anne

        Hélas ce n’est pas très ecolo pour l’empreinte carbone!!!

        1
  86. FLORIAN

    Très Instructif. Cela réveille notre prudence. Bien entendu nous ne pouvons l’appliquer à la lettre.
    Mais il permet de corriger facilement certaines habitudes de vie
    Néanmoins n’oubliions pas que nous vivons plus vieux et en meilleure santé que les générations précédentes qui avaient moins de facteurs endocriniens

    1
    Répondre
  87. Sylvie

    Très bon article un peu long et surtout très flippant 👍😱

    Répondre
  88. Patricia

    votre article très utile et convinquant merci mais ça fait peur car nous ne pouvons pas maitriser totalement !

    1
    Répondre
  89. Josiane Michèle

    Vos comptes-rendus sont très bien réalisés et à chaque fois très pertinents et convinquants.
    Merci à vous tous et qu’il en soit ainsi à chaque reportage.
    Dans l’attente de vous lire à nouveau, sincères salutations.

    Répondre
  90. martine

    Votre article est hyper interessant et inquietant aussi. Felicitations pour votre travail.

    Répondre
  91. Michelle

    Merci pour cet article qui est une bonne cure de rappel perso j utilise pas mal votre
    site pour tester les produits

    Répondre
  92. bernard

    Bonne initiative, merci.
    Peut on identifier et hierarchiser par nocivité les principaux perturbateurs à défaut de tous les interdire.
    Merci pour votre guide sur l’alimentation que je possède déjà.

    Répondre
  93. Alain

    Super et merci ! Affreux les conséquences.
    Précautions, mais à la base, comment luter contre ces lobbying qui dominent notre vie quotidienne ? Merci pour vos actions

    Répondre
  94. Olive

    Un article très intéressant, mille fois merci.

    Répondre
  95. Virginie

    Merci pour cet article, très intéressant. Bravo pour votre travail et votre engagement. Comment peut on vous venir en aide ? Encore bravo

    Répondre
  96. Christine

    Merci beaucoup pour cet article. Votre travail est fantastique
    Je faisais déjà attention mais je vais être encore plus vigilente.
    J ai acheté votre livre. Une bonne source de
    Connaissances aussi. Merci 🙏

    2
    Répondre
  97. Nicole

    Merci pour votre article

    Répondre
  98. Laurent

    Merci pour cet article clair et concis.
    Comme peut-on vous aider connaissant la puissance des lobbies à la manoeuvre?

    Répondre
  99. Michelle

    Tout ceci est très inquiétant et on n’en est guère conscient

    Répondre
  100. Eve

    Merci pour cet article très intéressant et qui à l’effet d’une piqûre de rappel, en ce qui me concerne et me permettra d’ajuster mon comportement face à la consommation de produits alimentaires et autres.
    Je vais le partager au maximum.

    3
    Répondre
  101. Christiane

    Sauf erreur de ma part, aucune mention de la chlordécone, premier perturbateur endocrinien aux Antilles. L’article serait-il réservé aux seuls lecteurs de métropole ?

    3
    Répondre
  102. Evelyne

    Merci pour cet article très intéressant bien qu’inquiétant !!!

    Heureusement qu’il existe Yuka pour nous aider à faire le tri…

    Bien sûr, nous ne pourrons échapper à tous les dangers des perturbateurs endocriniens mais nous pouvons vraiment en « consommer » moins !!!

    3
    Répondre
  103. christiane

    se que vous dites ses vrais,se n’ai pas facile il faut faire attention a tout.
    pour votre livre il est très bien je l’ai depuis 2ans et j’en suis très contente

    Répondre
  104. Cécile

    Merci pour cet article instructif.
    Ça devient compliqué d’éviter les poisons dans un monde empoisonné… Voire impossible… 😥

    1
    Répondre
  105. Viviane

    Merci pour cet article qui reprend ce que beaucoup savent ou semblent savoir : c’est une piqûre de rappel loin d’être inutile. Certes, il est difficile d’échapper à tous ces produits nocifs, mais on peut , avec conscience, en éviter un bon nombre… et c’est déjà pas mal!
    Alors merci pour cet article !

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    Répondre
  106. jean-gerard

    Merci pour ces informations fort utiles!
    j’ utilise fréquemment Yuka ,sur mon smartphone,qui me donne des avis sur mes achats,et,des solutions alternatives.

    Répondre
  107. Lydie

    J’apprends beaucoup de ce dont vous écrivez. Merci

    Répondre
  108. Janine

    Bonsoir,

    J’ai lu avec intérêts votre article ci-dessus et je vous en remercie. Je pense aussi aux produits de beauté, et je me pose la question si cela peut avoir un impact sur notre santé à travers la peau ?
    Pour ma part, il s’agit de la marque « MARIA GALLAND » que je suis depuis l’âge de 40 ans, cad depuis 38 ans, et je me trouve avec une 15ène de nodules à la thyroïde qui sont surveillés, mais avec le refus de l’opérer.
    Voilà ma question : pensez-vous en parler également ?
    Merci à vous
    Janine
    N.B. : je fais suivre cet article pour vous faire connaître encore et encore !

    Répondre
    1. Alex

      la réponse est oui
      la peau n’est pas imperméable
      tout prodit appliquer dessus passera dans le corps.
      selon la composition les molécules seront assimilées, traitées stockées et/ou rejetées par les organes filtrants.
      beaucoup de PE vont malheureusement se stocké dans les graisses.
      il ya encore beaucoup trop de molécules indessirables dans les cosmétiques. choississez des produits certifiés de préférences cosmetic bio, ecocert, nature et progrés, demeter.
      idem pour les produits d’entretien, fournitures de bureau, etc.
      aérer au maximum les endroits où vous vivez ,travaillez

      apprenez à lire les étiquettes de vos produits
      choississez des compositions avec peu d’ingédients et sûrs sanitairement parlant

      1
      Répondre
  109. Sophie

    Chère Julie j’a lu l’articket avec attention et je l’ai trouvé très anxiogène Je suis très consciente de ce problème de perturbateurs endocriniens et depuis bien longtemps j’adopte des gestes « écolos «  tout simplement parce que mes grands parents m’ont transmis une manière de vivre et une éthique J’ai presque 60 ans et j’ai été opérée d’une tumeur de la thyroïde à 14 ans. Pourquoi moi? Je ne sais pas Mes 2 sœurs n’ont jamais eu de problème (mêmes environnement, nourriture,etc) Aucun antécédent familial Je suis très sensible à ce problème mais comment voulez vous que les gens qui ont des soucis de fric, et autres, soient sensibles à un discours aussi alarmiste Je suis une « bobo parisienne » qui a un peu les moyens (sans être riche-petite classe moyenne) mais pour les gens autour de moi, ce discours est un discours d’ecolo « à La con » Cdlt

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    Répondre
    1. NV65

      Bonjour Sophie, je suis comme vous à alerter les gens mais beaucoup n’y sont pas sensibles, des gens qui consomment sans se soucier de leur santé et de l’environnement et qui disent bêtement « ah ben il faut vivre! On ne peut plus rien manger alors?!… » un discours qui fait peur tant il est contradictoire, et oui il faut vivre mais le mieux c’est quand même de vivre en bonne santé non?
      Malheureusement tout le monde n’a pas votre conscience!
      Mais honnêtement cela n’a rien à voir avec l’argent, moi qui suis en campagne avec un smic il y a bien longtemps que je fais attention et consomme donc bio et en vrac au maximum, fais ma lessive à base de savon de marseille… et je fais des économie car je ne consomme pas de produits ultra transformés. Oui car souvent le discours c’est « le bio c’est cher » mais ces gens là vont aller au mcdo et ça coute presque autant qu’une semaine de fruits et légumes bio! Sans compter les effets du mcdo sur la santé…. Bref il y aurait tellement de chose à dire!

      6
      Répondre
      1. Michèle

        Tout a fait d’accord, je n’achète aussi que des produits bio ou de qualité, et comme je fais l’impasse sur tout ce qui est néfaste à la santé (biscuits industriels, laitages sucrés, gourmandises de toutes sortes, mauvaises charcuteries pleines de nitrites, sodas, etc…) je dégage des économies pour nourrir sainement ma famille. Yuka m’accompagne dans tous mes achats.

        1
  110. colette

    très instructif , merci

    1
    Répondre
  111. Béatrice

    Un grand merci pour cet article pédagogique très complet, et pour les conseils à suivre. Cela remet les idées en place !

    2
    Répondre
  112. PERRINE

    merci pour ces conseils judicieux

    Répondre
  113. AGNES

    Merci pour votre aide, des rayons remplis de produits de différentes marques l’embarras du choix pour trouver le meilleur pour la santé, heureusement Yua est là.
    Cordialement et bonne continuation pour notre santé à tous.

    1
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  114. Gervais

    Merci pour ces informations peu rassurantes. Ou va le progrès ?

    Répondre
  115. eric

    Bonjour

    Toujours plus inquiétant de vivre sainement dans une société qui ne cesse de se « flageller » à coup de pesticides et autre pollution. Manger bien deviendra un luxe que beaucoup de personnes ne pourront s’offrir. Le paradoxe est que la population vieillit de plus en plus longtemps, alors que faire?

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    Répondre
  116. Denise

    Merci de finir à nous briser le moral déjà pas bon, seul espoir la mort pour plus avoir de problèmes, merci, dommage que la mort volontaire n’est pas autorisée en France ça pourrait rendre service

    Répondre
  117. Laurence

    Bonjour
    Merci pour cette remise en question, l’article est bien détaillé, à prendre bonne note. Cdt

    2
    Répondre
  118. Laurent

    Très bon article.Très éclairant.Merci continuez.

    2
    Répondre
  119. Rose M.

    Merci ,pour cette info très importante, j’utilise beaucoup de vinaigre blanc,ainsi que le bicarbonate ,dans l’entretien de ma maison et pour mes toilettes j’utilise l’eau de rose à la place des d’eorants toxiques.ET au moments des achats je vérifie les codes.

    4
    Répondre
  120. Jacky

    Bravo et merci! Il ne faut pas lâcher!

    2
    Répondre
  121. ELIA

    Heureusement que vous êtes l’a YUKA. Merci. Je vous suis depuis longtemps. Comment peut-on nous faire avaler autant de produit aussi dangereux pour nôtres santés sans punition. Je n’achète plus rien sans vous consulter. continuer à nous informer. MERCI

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    Répondre
  122. edith

    Après lecture on n’a plus qu’à se flinguer.

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  123. Jul

    THX !

    Répondre
  124. Isabelle

    Merci , article très intéressant et utile pour notre quotidien . Espérons qu un jour , la santé des consommateurs passera en priorité . Je vais partager cet article .

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    Répondre
  125. Martine

    Super intéressant. Merci. Cela conforte le fait que j’achète de moins en moins de produits transformés et mon orientation vers le bio

    Répondre
  126. Patrick

    Merci pour votre information, très utile pour nous aider dans nos décisions

    Répondre
  127. Chantal

    MERCI pour toutes ces infos très utiles.
    Espérons que vous pourrez rajouter un max de ces éléments quand on.se sert du scan Yuka dans les magasin.
    Nous, c’est du systématique pour alimentation et produits autres..
    Bon courage pour tout çà…
    Chantal Robrt.

    1
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  128. jean-pierre

    documentation exhaustive, il faut absolument sauver Yuka et divulguer son utilité dans les milieux et instances européennes afin de lui donner une notoriété encore plus grande .

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    Répondre
  129. Mary-Jose

    Merci pour votre article, très intéressent. Je fais grâce à vous très attention aux produits que j’achète. Cordialement.

    2
    Répondre
  130. Sylvie

    Article des plus intéressants.
    Merci et bravo pour toutes ces informations

    1
    Répondre
  131. Anne

    Merci beaucoup pour toute l’information utile que vous nous transmettez , j’espère que le gouvernement prendra un jour des mesures contribuant à notre bonne santé en interdisant enfin les substances toxiques!

    5
    Répondre
  132. TiTo

    Merci pour ce dossier plus qu’exhaustif sur les perturbateurs endocriniens !
    Je l’ai partagé largement !!
    Bien à vous tous

    1
    Répondre
  133. Fabienne

    Merci beaucoup de nous informer par votre article qui nous booste pour protéger notre famille
    Ce qui m’interpelle C’est pourquoi on autorise les industriels à fabriquer ses produits alors que l’on sait qu’ils sont nocifs pour la santé de tous !!!
    Cordialement

    9
    Répondre
    1. NV65

      Monsanto et Bayer ça vous parle? Monsanto 1er fabriquant de pesticides racheté par Bayer fabriquant de médicament. En clair: une personne en mauvaise santé et un bon client pour les laboratoires…

      2
      Répondre
  134. Jean-Pierre

    Article très intéressant. Merci beaucoup. Si les E320 et E321 sont interdits en France dans l’alimentation biologique, qu’en est-il en Suisse ?

    5
    Répondre
  135. Christian

    Merci beaucoup pour toutes ces informations essentielles. Donc, impossible de les éviter, mais uniquement de réduire notre exposition

    Répondre
  136. sandrine

    Je suis d’accord avec vous et fait très attention à tout ce que je touche comme pour les courses je prend
    mon temps pour acheter MERCI

    Répondre
  137. Isabelle

    Merci beaucoup. Dans cet océan de pollution et de produits industrialisés, vous êtes une petite île verte ! Unissons-nous intelligemment (pas au travers d’un vote EELV) pour que cette petite île devienne un continent 🙏

    1
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  138. Nicole

    Tout simplement MERCI Jean-Baptiste Fini.
    Autant que vous le pouvez, continuez à nous informer, à nous partager l’essentiel de vos recherches en la matière afin de conscientiser un maximum de personnes pour la vie de nos enfants!
    Ce n’est pas fini pour vous Jean-Baptiste et probablement sans fin, votre destinée 😉

    Répondre
  139. Odile

    Très bon article et très compréhensible. Entièrement d’accord avec Maroussia.

    1
    Répondre
  140. Adélaïde

    Merci beaucoup pour votre article. Cela m’a permis de comprendre et de continuer à faire tout les gestes possible pour que l’on puisse avoir une vie plus saine.

    1
    Répondre
  141. Annie

    Merci pour la clarté de vos articles. Nous y apprenons beaucoup.
    Je vais commander votre livre !

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    Répondre
  142. Patricia

    Merci beaucoup pour votre article, c’est très courageux .
    Je suis une Yuka ‘ddict et j’en parle autour de moi pour en faire d ´autre.
    Bonne journée à tous Yuka’ddict🍓

    2
    Répondre
  143. Fleur

    Merci pour les articles !

    Répondre
  144. Maroussia

    Vos articles sont toujours d’une grande clarté, accessibles et complets. Je les partage très souvent! C’est en informant que les comportements du citoyen changeront 🙏
    Merci pour votre travail, bonne journée 🙂

    2
    Répondre
  145. Gérard

    Je suis triste car impuissant à changer cet état de fait. Les industriels sont trop puissants pour être inquiété par les gouvernants qui analysent leurs P.I.B et le chômage.
    La commission européenne laisse faire globalement, ils sont aussi des victimes….
    J’ai essayé dans les années 90 de faire utiliser des biberons en verre pour Adrien notre fils par ma compagne. Je n’ai pas réussi malheureusement. Le bisphénol A était dans les biberons en plastique.

    1
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  146. Olga

    Merci Merci de votre éclairage sur les perturbateurs endocriniens

    Répondre
  147. Philippe

    Très bien.

    Répondre
  148. Karine

    Bravo pour vos articles qui nous éclairent sur les dangers de notre société de consommation.

    Répondre
  149. Bernard

    L’Union Européenne a réglementé et interdit les Bisphénol À dans les emballages plastiques concernant l’alimentation. Mais ne dit rien pour les composites qui sont utilisés comme obturations dentaires dont la plupart contiennent du Bisphénol A. Scandaleux. Les dentistes se taisent ou feignent de l’ignorer!

    2
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  150. Estennah

    Bel article expliquant clairement les effets des perturbateurs endocriniens.
    Merci encore

    1
    Répondre
  151. Nouara

    Bonjour très bonne analyse,portée à notre connaissance.merci et bravo pour ce travail précis.par ignorance on s exposé au danger ! Avec mes salutations

    1
    Répondre
  152. Pascale

    Merci beaucoup pour cette recherche et l’info me fait prendre conscience qu’on devrait avoir en permanence une note accessible sur son smartphone pour consulter tellement que la liste est longue, en lisant ça ,je pense a ma petite fille qui va avoir 3 ans. Je croise les doigts. Bonne continuation

    1
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  153. Laurence

    Merci beaucoup pour cet article. Afin de passer à l’action côté produits d’entretien, j’aimerais quelques suggestions concrètes de marques/produits efficaces et sans danger. Merci par avance.

    Répondre
    1. Léo

      Bonjour, vous pouvez faire vous-même votre flacon vaporisant avec simplement du vinaigre blanc, ou du savon noir de Marseille, ou encore d’autres ingrédients naturels ! Il existe pleins de recettes sur internet, bonne recherche 😉

      Répondre
  154. Danielle

    Article très intéressant qui apporte des renseignements utiles car souvent ignorés. Merci.

    Répondre
  155. Nirmalah devi

    Merci je appris beaucoup de chose je vais faire attention

    Répondre
  156. Christine

    Merci beaucoup pour cet article, très intéressant et éclairant sur ce problème des perturbateurs endocriniens. J utilise très régulièrement votre appli et en suis très satisfaite.

    1
    Répondre
  157. Hugues

    Félicitations pour la rédaction scientifique de votre article et pour ses références

    1
    Répondre
  158. Joël

    On ne peut plus rien manger, ni boire, ni respirer. Comment faut-il que je me suicide?

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    Répondre
    1. Anne

      Je partage votre désarrois.

      Répondre
  159. Micheline

    merci infiniment pour votre article
    ce devrait être une bonne prise de conscience pour favoriser nos agriculteurs !
    est-ce que cela a des conséquences sur notre feu digestif, le déséquilibrer ?
    j’aimerai bien lire qque chose là-dessus pour le rééquilibrer et le dynamiser

    Répondre
  160. odile

    Bonjour et merci pour cet article très clair.. un point me chagrine cependant : vous ne parlez pas de la pollution liée à l’utilisation de certains anti parasitaires pour nos animaux domestiques.. je pense à des colliers avec imidaclopride par exemple..qu’en pensez vous ?

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    1. Alex

      collier avec imidaclopride ?
      dangereux pour l’animal à long terme (mais qui se réellement fout de son bien être ? à part celui qui s’en occupe) et pour l’environnement.
      pas terrible non plus pour les humains qui cotoient les animaux

      pesticides dangereux ? la réponse est oui (voir ref aticles plus bas) car ils participent aux coktails chimiques que nous finissons par absorbés, pas terribles non plus pour la biosphère (dont nous faisons partie).

      pourquoi ne pas utiliser des remedes plus simples
      attention chiens et chats ne supportent pas les mêmes actions ni traitements
      passer par un vétérinaire pour comprendre la physiologie de votre animal adoré

      des exemples mais vous en trouverez d’autres…(je n’ai pas de liens avec ces sites)
      https://anipassion.com/autres/conseils/3243-aromatherapie-pour-animaux-comment-les-soigner-avec-les-huiles-essentielles

      Un livre utile
      https://www.pranarom.fr/fr/aromatherapie/5547-chez-lanimal-de-compagnie-5420008509308.html

      voir la nomemclature CLP
      https://osha.europa.eu/fr/themes/dangerous-substances/clp-classification-labelling-and-packaging-of-substances-and-mixtures
      et comprendre les phrases de risques ref lettre H
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Imidaclopride
      Attention
      H302(irritant), H410 et P301(toxique)+P312(irritant) +P330 (mortel)

      autre article sur la complilation d’articles scientifiques sur les pesticides en général
      https://reporterre.net/Mort-des-abeilles-et-dauphins-malades-les-pesticides-ravagent-la-biodiversite

      Les pesticides sont-ils dangereux pour le vivant ? À la demande du gouvernement, quarante-six chercheurs ont planché sur la question pendant deux ans ; ils ont compilé, comparé et analysé plus de 4 000 études.
      « Il s’agit d’un état des lieux des connaissances existantes », précise Sophie Leenhardt, chercheuse à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae), qui a mené les travaux avec l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer).

      on peut faire différement, c’est un peu plus d’effort au début mais c’est mieux pour tous au final.
      à l’action Odile ! vos animaux vous remercierons
      Bonne journée

      1
      Répondre
  161. Carine

    Fidèle utilisatrice de votre application Yuka, je trouve très intéressant les précisions que vous apportez sur les perturbateurs endocriniens, présents dans notre quotidien. Merci à vous pour ce travail

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    Répondre
  162. Cat

    Pfff, déprimant, dans quel monde vit-on? Merci néanmoins pour cette étude éclairante et vos conseils de consommation qui nous permettront de diminuer (un peu) la dose de poison que nous incurgitons quotidiennement !

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    Répondre
  163. Nadine

    Merci pour cet article clair, précis et complet pour une première approche.
    Cela devient difficile de faire son marché. Je consacre du temps et de l’énergie pour remplir mon panier et me demande ce que l’avenir va nous réserver….
    De plus la lecture de la composition de ce que l’on achète est parfois illisible : couleurs non contrastées, caractères très petits….
    Continuez, continuez!!

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  164. hervé

    très intéressant et assez complet,
    juste et comme souvent à charge contre l’agriculture citée comme première cause « Alimentation & eau, (pesticides) », alors que c’est l’Agriculture et seul marché qui a éliminé les produits suspectés.
    quand on aborde le sujets comment les éviter et quels sont les molecules qui posent le plus de problème on ne parle plus d’alimentations ou de molécules utilisées en agriculture.
    bravo a nos agriculteurs 🙂

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  165. Agnès

    Nous filtrons notre eau avec la méthode Natarys. Osmose inversé et redynamisé. Plus de perturbateurs endocriniens!

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  166. BECQUET LHERITEAU

    Beau travail sérieux et complet .

    1
    Répondre
  167. Charlotte

    Merci pour cet article, auriez-vous vous une liste plus détaillée des composants à éviter qui pourrait nous permettre de choisir plus facilement nos produits lors de l’achat?
    Concernant les couches lavables, j’aurais aimé connaître votre avis car bien que le tissu en contact avec la peau soit en coton bio, le tissu externe de la couche est imperméable et donc contient des composés perfluorés toxiques.. c’est un vrai casse tête et hormis l’aspect zéro déchet des couches lavables qui est un plus, la présence des perfluorés remet en question mon choix .. si vous avez des liens ou études vers lesquelles m’orienter je suis preneuse 😊 Merci

    4
    Répondre
  168. Myriam

    Très intéressant !

    1
    Répondre
  169. Francoise

    Très intéressant comme article mais pas assez de noms de produits pour éviter justement de les acheter.

    Répondre
  170. Laïa

    très intéressant, merci pour toutes ces informations :/

    1
    Répondre
  171. Marie.

    Articles très intéressants 😉😍

    Répondre
  172. Florence

    Je trouve votre article intéressant mais j’aurais aimé avoir une liste des produits commercialisés ou des marques à ne pas utiliser. Vous notez “certains produits” mais lesquels concrètement ?
    Merci de vos éclairages

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    Répondre
    1. Marion

      Il n’y a pas de marque spécifique. Ils expliquent bien je trouve justement c’est détaillé. Ce sont les ingrédients utilisés : une même marque pourra donc avoir certains de ses produits nocifs et d’autres non.
      C’est quand même là qu’on remarque que les « marques » justement ne font pas le job. Payer cher pour être sûr de la qualité, c’est révolu.
      Quand on ne s’y connaît pas au début, aidez vous d’une appli style yuka ou quelcosmetic (de l’ufc que choisir), elles font le job pour vous. Ensuite vous apprendrez à reconnaître les ingrédients à bannir facilement.

      Répondre
    2. NV65

      Comme dit Marion, utilisez Yuka ou Quelcosmetic.
      J’ai remarqué à force d’utilisation que les grandes marques sont souvent celles qui utilisent le plus d’additifs nocifs , en cosmétique je fuis les pharmacie, c’est une catastrophe alors que nous ferions plus confiance aux produits dans une pharmacie que dans une grande surface et bien je peux vous dire que pharmacie ne rime pas avec bon pour la santé!

      1
      Répondre
      1. Marie-Pierre

        Je confirme ! Un jour j’ai testé avec Yuka les produits solaires d’une pharmacie. Le résultat était effrayant. Le pharmacien lui-même était sidéré.

        1
  173. Josiane

    Bravo pour tout

    Répondre
  174. jean pierre

    Très édifiant et bien documenté.
    J’ai déjà votre livre.
    Continuez !!

    Répondre
  175. Michèle

    Très intéressant !
    J ai empoisonné mes enfants sans le savoir !
    Ils sont nés en 82 et 84 donc biberons et tétines en plastique !
    C est quand même dingue que les fabricants se foutent royalement des effets délétères de leur produit sur des enfants en plus !

    5
    Répondre
  176. Joëlle

    Si vous voulez en savoir un peu plus sur les perturbateurs endocriniens, vous pouvez regarder le reportage « Demain, tous crétins « diffusé sur YouTube, il y a déjà quelques années

    1
    Répondre
  177. Chantal.

    Article très intéressant, instructif, ludique. Nous apprenons toujours un peu plus.
    Merci pour toutes ces informations précieuses contribuant largement à l’éveil des consciences.

    1
    Répondre
  178. lionel

    Merci et bravo pour cet article…Le problème est….. qu’il est de plus en plus difficile de vivre le plus sainement possible, tant il est difficile de boire, de se nourrir, de respirer …… Et la course au profit, n’aide évidemment pas à aller dans le sens d’une amélioration rapide et durable….
    De toutes les ressources terrestres, la « crétinerie » est vraiment la seule , inépuisable…..

    6
    Répondre
  179. Guillaume

    Merci pour cet article qui m’a complètement déprimé et me laisse avec un sentiment d’impuissance absolu, puisque quoi que je mange/boive/porte/utilise, je me mets en danger avec ces perturbateurs. Il ne m’est même plus possible de boire un verre d’eau pour reprendre mes esprits, étant donné que celle du robinet comme celle de source achetée dans une bouteille en plastique peut m’empoisonner. Tristesse et désespoir.

    7
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    1. Alex

      s’informer c’est le début de l’action…
      il y a plein de solutions (simple ou onéreuses) prenez celles qui vous conviennent
      le tout c’est de démarrer et de relativiser

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    2. Judith

      Et donc quelle eau nous devrions boire? Filtrée? Quels filtres filtrent ces produits chimiques ?

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  180. Fabienne

    Merci pour cet article très complet, et pour l’effort de vulgarisation, il est très clair. Cette piqûre de rappel sur les précautions élémentaires est bienvenue, même si on est un peu désabusé après cette lecture …

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  181. Jeannette

    Merci pour tous les renseignements très utiles. J’ai déjà acheté votre livre. J’essaie, malgré mon âge, de suivre vos conseils

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  182. Annah

    Félicitations pour ce document on ne peut plus claire et précis.
    Mes filles et moi même avons des perturbations endocriniennes et cet article m’a bien éclairée.
    Merci beaucoup pour ce travail !

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  183. Mireille

    Article très intéressant, merci

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  184. Anne

    Cet article est terrifiant. Pour moi c’est trop tard mais je pense aux enfants et petits enfants.
    Impossible d’échapper au pire.
    Même si nous consommons les fruits et légumes du jardin le plus possible, pour le reste c’est impossible de les éviter. Je pense particulièrement à l’eau. Soit l’eau du robinet pleine de pesticides soit les bouteilles d’eau pleine de plastique. Les vêtements, l’ air que l’on respire, nous sommes cernés…..

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  185. ANDRE

    cool
    Un bon rappel s’avère très utile de temps en temps

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  186. Isabelle

    Wahou, je connaissais les perturbateurs endocriniens, mais je ne savais pas qu’on en trouvait autant et surtout partout !
    Merci pour ces infos, c’est révoltant etisa inquiétant…

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  187. Dominique

    Chers amis de Yuka,
    Votre intention d’informer et d’alerter est louable et utile. Vous êtes courageux. Merci !
    Mais la forme de votre article place le lecteur usager de Yuka dans une forme d’impuissance et jouer sur la peur est contre-productif. Question de communication.
    En positif : les circuits courts et le bio, la préparation domestique des aliments, un mode de vie simple sans hyper consommation.

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  188. Sabrina

    Merci pour cet article !

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  189. jean luc

    merci. J’apprécie votre travail et votre courage face à tous ces intérêts en jeu . Merci

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  190. Dominique

    Très intéressant et à la fois inquiétant.

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  191. Nadine

    Bonjour,
    Merci Yuka pour votre travail d’informations. Déterminant pour mes achats.
    Bien cordialement

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  192. Maurice

    Article passionnant et instructif.
    Je vais de ce pas acheter 50 moutons qui me permettront de me vêtir et tondre mon lopin de terre, 4 vaches pour le lait hebdomadaire de ma famille, 3 chèvres pour un fromage allégé, un petit motoculteur électrique pour 10 rangées de poireaux, 5 de brocolis, et …rien pour les tomates qui sont toutes OGM, c’est à dire que leur organisme a été modifié pour obtenir un rouge vif, un calibrage standardisé, un poids informatisable, une récolte qui se fait debout avec des machines et non à genoux au soleil…
    Le dernier cri en rubrique OGM: la pomme !!! La Pink Lady
    Pur produit des laboratoires australiens, la culture de cette pomme OGM hybride Golden Delicious et Lady Williams se trouve soumise à contrôle en Europe.
    Quiconque ne peut la cultiver sans payer des royalties : 4% du CA redevables à l’APAL, collectif de producteurs australiens.
    Donc nous achetons des pommes OGM australiennes qui sont transportées sur 11 000 Kms par bateau réfrigéré incluant des kiwis pas mûrs et des gigots d’agneaux subventionnés à 12€ le kilo en grande distribution.
    Belle journée…

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  193. Christiane

    Bonsoir,
    Je vous avoue être complètement dépassée après la lecture de cet exposé. Même en prêtant attention aux emballages, aux étiquettes, etc., il est impossible de tout éviter. Certains produits bio, importés, ne sont pas soumis aux mêmes normes. Faut-il tout simplement les retirer de son alimentation ? (comme les figues séchées, baies de goji, certaines farines…). Dans notre société actuelle, tout serait perturbateur endocrinien. Alors, me reste à vivre en autarcie dans une cabane au fond des bois, et encore !!!!
    Je préfère me changer les idées en regardant le film amusant « 100% bio » sur la 3 avec Catherine Jacob. Bonne soirée à vous tous.

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    1. Olivier

      Oui tout à fait clair, je suis comme vous… je rêve souvent de vivre dans la cabane à roulette ou dans un petit maison naturelle en bois au coin perdu dans la forêt montagneuse… Dur dur à éviter ces produits néfastes dans la société dominante !

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    2. Jean Pierre

      Plus c’est simple, moins c’est compliqué!
      Revenons aux basiques, consommons local et bannissons les produits importés souvent non controlés.
      Les plats cuisinés et préparations miracles sont bourrés de produits de dernière qualité. Cuire simplement ses aliments est une bonne façon de se protéger.
      Le gras naturel utilisé avec modération est bien moins néfaste que les allégés industriels.
      Le sucre peut être quasiment supprimé; ses substituts sont à bannir définitivement
      L’attrait du nouveau et le marketing sont des pièges.
      Les matériaux brut, verre ou métal non revêtu sont à privilégier pour le matériel de cuisine, comme pour le stockage.
      Manger simple et avec plaisir c’est quand même mieux que l’inquiétude permanente…

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      1. Dominique

        Merci Jean Pierre d’exprimer ici cette saine philosophie de vie.

        Mettons l’accent sur les solutions plutôt que sur le problème

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    3. Pierre

      Plutôt que de lire en détail les étiquettes, je fais confiance à Yuka pour me donner un avis sur les produits que je ne connais pas. En faisant ça, je repose au moins 3 produits sur 4. Et je ne me limite pas aux magasins bio. « Liddl » par exemple est capable du pire (note « 0 » sur bcp de produits) et à l’inverse bcp d’autres produits classés « excellents » par Yuka
      Pour les fruits et légumes, sur Lyon, on commence aussi, depuis quelques années, à avoir des producteurs bio à prix raisonnables sur les marchés.

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      1. Flo

        florig@hotmail.fr
        Merci ! J’ai confiance à votre application !

  194. Sali

    Merci pour tous ces informations…
    Bonne continuation à vous tous

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  195. Genevieve

    Bonjour,
    J’ai lu avec grand intérêt les effets délétères sur notre système endocrinien, ce n’est pas rassurant du tout…les lobbies financiers nous tuent en silence ! Même si on fait attention, le nombre de substances néfastes nous dépasse… j’espère que l’être humain saura s’adapter pour résister… merci pour ces informations.
    Bien à vous
    Genevieve

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  196. Dominique

    Bonjour,
    Merci pour ce tour complet.
    Lorsque vous dites éviter les revêtements anti-adhesifs, considérez-vous les revêtements de type granite, comme pour les poêles Tefal par exemple ?
    Merci pour votre réponse.
    Cordialement.

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    1. Mike

      Oui merci, pour une réponse, céramique par exemple

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  197. Jean-Luc

    Quand même très inquiétant tout ça. On ne peut pas tout contrôler systématiquement et l’état et les grands entreprises sont là pour faire de l’argent au détriment de notre santé. Quel dilemme !
    C’est bien problématique.

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  198. Marijo

    Merci infiniment pour toutes ces précieuses informations,j’ai appris pas mal de choses bien qu’étant déjà assez vigilante auparavant 🌸

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  199. Marijo

    C’est très inquiétant surtout que l’on ne peut pas tout passer au peigne fin .
    Il est impossible de tout éviter…même une petite partie
    Ce serait à l’état de prendre les choses en mains ainsi qu’au milieu médical.
    Tout est allé trop loin et malgré que je sélectionné mes achats on ne peut pas tout gérer car on vit dans un système où tout est intérêt à profit.
    Merci d’être là et bon courage car il y a fort longtemps que notre alimentation et l’environnement nous empoisonne notre existence et continuer à nous aider dans la recherche quelquefois du mieux en évitant le plus mauvais.

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  200. Clemence

    Vous pensez quoi des ustensiles de http://www.e-cuisine.fr ? J’ai fait plein de commandes mais comme c’est en plastique il y a surement des perturbateurs …

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    1. Jean

      Effectivement, tout cela devient compliqué à moins d’y passer un temps considérable !…
      Pour m’y aider, j’utilise les appli : Yuka, Siga, Open Food Facts, Quel Produit, Nutri App, QuelCosmetic, Clean Beauty et le site Que Choisir
      Grâce à elles, mes choix sont vite fait et plus sûrs.

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      1. Catherine

        Je suis entièrement d’accord avec tous ces commentaires. Merci beaucoup pour toutes ces informations. Le livre et le calendrier ont fait des émules…
        Encore merci pour ce beau travail.

    2. Alex

      Pas forcément les boites de la célébre marque suédoise sont en PP, par exemple
      vous pouvez aussi avoir des boites de marques française (palstique ou verre) on en trouve dans les supermarchés du coin, ou chez le détaillant qui vous convient le mieux.

      Plastique sans PE
      N°2 HDPE
      N°4 LDPE
      N°5 PP
      vérifiez sous vos boites le sigle devrait apparaître
      Pour les autres nunéros ils en contiennent (plus ou moins)

      Jamais de plastique au micro-onde

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      1. Heidi

        Un grand MERCI pour vote article très détaillé instructif. Cela mérite de grandes réflexions.
        Même si nous sommes vigilants, il faudra encore restreindre certains produits.
        Bien à vous, Heidi

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