Manger bio est-il meilleur pour la santé ?

Les produits bio font l’objet d’une forte croissance ces 20 dernières années, plébiscités par des consommateurs à la fois soucieux de leur santé et de la planète. En conséquence, les surfaces cultivées en bio en France ont été multipliées par 7 en vingt ans1.

Mais consommer bio présente-t-il de réels bénéfices pour la santé ? L’alimentation bio garantit-elle l’absence d’exposition aux pesticides ?

Voici notre décryptage sur le sujet réalisé avec le nutritionniste Anthony Berthou.

Qu’est-ce que l’agriculture biologique ?

L’agriculture biologique exclut les produits chimiques de synthèse

L’agriculture biologique proscrit l’utilisation de produits chimiques de synthèse comme les pesticides ou les engrais de synthèse. Les pesticides et engrais de synthèse sont des substances artificielles développées en laboratoire et produites en usine, issues notamment de l’industrie pétrochimique.

L’agriculture biologique peut uniquement avoir recours à des intrants provenant de « substances naturelles ou de substances dérivées de substances naturelles »2. Ainsi, il existe 363 produits commerciaux autorisés en bio, contre 2668 en conventionnel3.

Des substances de synthèse très problématiques pour la santé humaine et environnementale sont ainsi interdites en agriculture biologique. C’est par exemple le cas du SDHI, un fongicide très présent dans les céréales et les fruits, qui vise à éliminer les champignons en bloquant la respiration de leurs cellules. Mais, selon plusieurs chercheurs, il pourrait aussi bloquer la respiration cellulaire de tout être vivant (plantes, animaux, hommes) et entraîner des anomalies épigénétiques susceptibles d’expliquer l’apparition de tumeurs4,5. C’est pourquoi en janvier 2020, 450 chercheurs ont appelé à l’arrêt de l’utilisation du SDHI en milieu ouvert6.

Ce fongicide est par ailleurs mis en cause pour son impact sur la biodiversité : les études montrent une toxicité chez les rongeurs, les batraciens, les poissons et les abeilles. En outre, ils peuvent persister plusieurs mois dans le sol après avoir été répandus dans les champs, se retrouvant alors en contact avec les vers de terre ou insectes7.

Certaines substances naturelles peuvent cependant être problématiques

Certaines substances naturelles ou dérivées de sources naturelles utilisées en bio peuvent tout de même s’avérer problématiques pour la santé et/ou l’environnement. L’Europe a ainsi défini une liste de 77 substances autorisées dans le bio et « candidates à la substitution »8. Cela signifie que ces composés sont particulièrement préoccupants pour la santé publique ou l’environnement, et que des alternatives doivent être trouvées. Ils restent autorisés tant qu’il n’existe pas de solutions alternatives validées par les autorités.

L’exemple le plus emblématique concerne les composés à base de cuivre, et en particulier la « bouillie bordelaise », un mélange de sulfate de cuivre et de chaux. L’utilisation de pesticides à base de cuivre est problématique pour l’environnement comme pour la santé. Côté environnemental, l’INRAE (Institut national de la recherche agronomique) indique notamment que « des concentrations excédentaires en cuivre ont des effets phytotoxiques reconnus sur la croissance et le développement de la plupart des plantes »9. Côté santé, ce minéral exerce un effet pro-oxydatif majeur, pouvant conduire à endommager les constituants de nos cellules10 (voir notre article sur les antioxydants).

L’agriculture biologique permet donc de réduire de façon importante l’exposition humaine et environnementale aux produits chimiques de synthèse. Les enjeux pour l’agriculture biologique aujourd’hui résident notamment dans la recherche de solutions alternatives à certains pesticides naturels problématiques.

L’agriculture bio limite aussi l’usage d’additifs

Outre le sujet des pesticides, l’agriculture biologique limite l’utilisation d’additifs. Ainsi, 55 additifs sont autorisés en bio contre plus de 300 dans le conventionnel11. De nombreux additifs très controversés comme la tartrazine (E102), le BHA (E320), les diphosphates (E450) ou encore l’aspartame (E951) sont interdits dans les produits bio.

Quels sont les différents labels bio et leurs exigences ?

Il existe différents labels bio, qui reposent tous sur un même fondement principal : l’utilisation de produits chimiques de synthèse est interdite dans les cultures. Cependant, le cahier des charges varie d’un label à l’autre.

Eurofeuille (Bio Européen) et AB (Agriculture Biologique)

L’Eurofeuille est le seul label officiel au sein de l’Union Européenne depuis 2010. Le label français AB (Agriculture Biologique) continue d’être affiché de par sa notoriété mais il repose en réalité sur les mêmes exigences que le label européen et ne peut d’ailleurs pas être affiché seul.

Ce label européen repose sur les fondements suivants :

  • Les OGM sont interdits mais un seuil fortuit pouvant aller jusqu’à 0,9% est toléré
  • L’alimentation des animaux est certifiée bio à 95%
  • Les produits transformés doivent contenir 95% d’ingrédients issus de l’agriculture biologique
  • Dans les élevages, les traitements hormonaux sont interdits et le recours aux antibiotiques est limité
  • La coexistence de productions bio et non bio est autorisée : une distance de 10 mètres doit être maintenue entre les deux types de cultures
  • L’usage de serres chauffées est autorisé

L’Eurofeuille est le label bio le plus courant, mais il existe d’autres labels dont le cahier des charges est encore plus exigeant :

Demeter

  • Ce label exige que les produits aient d’abord obtenu le label bio européen
  • Les OGM sont totalement interdits
  • L’alimentation des animaux est certifiée bio à 100% 
  • Les produits transformés contiennent 100% d’ingrédients bio
  • Certains additifs autorisés en bio sont interdits dans les produits Demeter, comme le nitrite de sodium pour les produits carnés ou encore les arômes « naturels »
  • Le respect du bien-être animal est central
  • Les cultures doivent être 100% bio (les cultures bio et non-bio ne peuvent pas coexister sur une même exploitation)
  • L’usage de serres chauffées est limité

Bio Cohérence

  • Ce label exige que les produits aient d’abord obtenu le label bio européen
  • Les OGM sont totalement interdits
  • L’alimentation des animaux est certifiée bio à 100% pour les ruminants (vaches, moutons, chèvres…) et à 95% pour les monogastriques (porc, volaille)
  • Les produits transformés contiennent 100% d’ingrédients bio
  • Les cultures doivent être 100% bio
  • Les serres chauffées sont interdites

Nature & Progrès

  • Ce label n’exige pas que les produits aient obtenu le label bio européen : les produits Nature & Progrès ne sont donc pas officiellement reconnus comme bio
  • Les OGM sont totalement interdits
  • L’utilisation de l’huile de palme est interdite
  • L’alimentation des animaux est certifiée bio à 100% 
  • Les produits transformés contiennent 100% d’ingrédients bio
  • Les cultures doivent être 100% bio
  • La taille des élevages est limitée
  • L’usage de serres chauffées est autorisé mais avec étiquetage obligatoire sur le produit

Ces différents labels reposent sur une obligation de moyens – et pas de résultats. Ainsi, ils ne peuvent garantir l’absence totale de pesticides ou contaminants dans le produit. Ils garantissent que les producteurs en ont limité l’usage selon les conditions définies.

Que penser du label “zéro résidu de pesticides” ?

Le label “Zéro résidu de pesticides” a été lancé en 2018 et se présente comme une troisième voie entre agriculture biologique et conventionnelle.

S’il garantit l’absence de résidus dans les produits finaux, ce label n’interdit pas les traitements via pesticides chimiques de synthèse dans les cultures. À l’inverse des labels bio, il repose sur une obligation de résultat et pas de moyens. L’épandage de pesticides chimiques est ainsi autorisé par le label : pour éviter les résidus dans le produit final, le label évite les « traitements tardifs » ou privilégie les molécules à dégradation rapide.

En conclusion : pour la santé, ce label peut représenter une alternative intéressante au bio qui reste parfois encore cher. En revanche, pour la planète, ce label ne présente pas de réel intérêt puisqu’il autorise l’épandage de pesticides de synthèse.

Manger bio réduit l’exposition aux pesticides

Les produits d’origine biologique ne sont en général jamais complètement exempts de contamination en pesticides, mais les études concordent toutes dans le fait qu’ils en contiennent beaucoup moins. Ainsi, les produits bio contiendraient en moyenne 75% de pesticides en moins comparativement aux aliments issus de l’agriculture conventionnelle selon une vaste méta-analyse publiée en 2014 dans British Journal Of Nutrition12.

Les pesticides sont aujourd’hui reconnus comme des substances susceptibles d’engendrer de nombreuses maladies. Tout d’abord, la plupart des études montrent une augmentation des risques de cancer chez les personnes les plus exposées aux pesticides13-18. Les cancers les plus concernés sont les lymphomes non hodgkiniens, les leucémies, les tumeurs cérébrales, les cancers hormono-dépendants, les cancers du poumon et les mélanomes. 

Par ailleurs, de nombreuses études montrent un lien entre l’exposition à certains pesticides et le risque de développer une maladie de Parkinson. Ainsi, les personnes fortement exposées au cours de leur vie aux pesticides présenteraient une augmentation du risque de développer la maladie de 62%19. Les pesticides sont également pointés du doigts dans l’augmentation des risques de maladie d’Alzheimer20,21 et de la maladie de Charcot22-24, mais aussi de troubles cognitifs et anxio-dépressifs25,26.

Pour les femmes enceintes, l’exposition aux pesticides au cours de la grossesse pourrait également avoir des conséquences importantes sur le développement de l’enfant, avec notamment un risque plus élevé de prématurité, d’autisme, de malformations cardiaques ou encore de complications métaboliques à l’âge adulte27-29. Enfin, une exposition accrue à certains pesticides semble également favoriser les troubles de la fertilité, masculine comme féminine30.

L’alimentation bio diminue aussi la contamination en certains métaux lourds

Au-delà des pesticides, les études montrent également une moindre contamination des produits bio en certains métaux lourds. Ainsi, le niveau de contamination en cadmium par exemple est presque deux fois plus faible dans le bio que dans les produits issus de l’agriculture conventionnelle12. La contamination en cadmium est essentiellement liée à l’usage d’engrais phosphatés, interdits en agriculture biologique.

Le cadmium est considéré comme cancérogène certain pour l’homme (groupe 1) par le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer). Les cancers associés sont ceux des voies respiratoires, notamment du poumon31. Il est aussi suspecté d’être mutagène et toxique pour la reproduction32,33.

L’alimentation bio présente des bénéfices nutritionnels

Davantage d’antioxydants dans les fruits et légumes

Les fruits et légumes issus de l’agriculture biologique ont une teneur en antioxydants entre 20 et 70% plus élevée que ceux issus de l’agriculture conventionnelle, la teneur variant selon le type d’antioxydants12. Cela s’expliquerait par le fait qu’un fruit ou légume non traité va devoir se défendre naturellement contre les agressions extérieures (sécheresse, attaques de parasites, etc.). Pour s’adapter à ce stress, ils vont alors produire davantage de molécules de défense, et notamment des polyphénols, des composés faisant partie de la famille des antioxydants.

Le passage à une alimentation totalement biologique permettrait d’augmenter de 20 à 40% la teneur en antioxydants dans l’alimentation générale, voire à 60% pour certains antioxydants en particulier.

Les antioxydants sont des molécules essentielles pour notre santé qui permettent de protéger nos cellules. Elles jouent un rôle important dans la prévention des cancers, des maladies dégénératives (sclérose en plaques, maladie d’Alzheimer, etc.) ou encore des maladies cardio-vasculaires (voir notre article sur les antioxydants).

Une quantité accrue de vitamines et minéraux dans les végétaux

Plusieurs études mettent également en évidence une teneur plus élevée en certaines vitamines et en certains minéraux dans les végétaux bio. Selon ces études, ceux-ci contiendraient davantage de vitamine C (+6 à 27%), mais aussi de fer (+21%) et de magnésium (+29,3%)34,35. En revanche, d’autres études ne constatent pas ou peu de différence36,37.

Une teneur en Oméga-3 plus élevée dans les produits animaux

Concernant la viande et le lait, les études montrent que leur teneur en Oméga-3 augmente lorsqu’ils sont issus de l’agriculture biologique, et que leur teneur en Oméga-6 diminue. Or, les Oméga-3 sont des acides gras extrêmement bénéfiques pour lesquels nos apports sont aujourd’hui insuffisants : nous ne consommons que 30% environ des apports conseillés en Oméga-3. Surtout, nous consommons à l’inverse aujourd’hui des Oméga-6 en excès (voir notre article sur le sujet des graisses).

En moyenne, une viande bio contient 22% d’Oméga-3 en plus38. Cela est lié à l’alimentation des animaux en bio qui vont consommer de l’herbe ou du foin à la place des tourteaux de soja. Quant au lait, il contiendrait jusqu’à 56% d’Oméga-3 supplémentaires selon une méta-analyse de 170 études39.

L’alimentation bio joue un rôle préventif sur de nombreuses maladies

Une vaste étude menée pendant 3 ans auprès de 60 000 personnes en France – BioNutrinet – a permis de montrer les bénéfices d’une alimentation biologique sur les risques de surpoids, d’obésité et de diabète40. Selon cette étude, les personnes les plus consommatrices de bio présentaient un risque de surpoids diminué de 36% chez les hommes et 42% chez les femmes. Le risque d’obésité serait quant à lui réduit de 62% chez les hommes et 48% chez les femmes.

Par ailleurs, chez les plus gros consommateurs de produits biologiques, le risque de diabète de type 2 serait réduit de 31%41,42. Cela s’expliquerait par le fait que certains pesticides chimiques sont des perturbateurs endocriniens impliqués dans les risques d’obésité et de diabète.

Concernant les risques de cancer, cette même étude conclut qu’une consommation régulière d’aliments bio réduirait de 25% le risque de développer un cancer. Le risque serait en particulier diminué pour le cancer du sein chez les femmes ménopausées (-34%) et pour les lymphomes (-76%). Le lien de cause à effet ne peut cependant pas être établi sur la base de cette seule étude qui comporte certains biais, et ces chiffres demandent donc à être confirmés par d’autres études.

Enfin, une étude publiée en 2022 dans la revue Environment International associe l’alimentation biologique avec une réduction significative du stress oxydatif, un phénomène impliqué dans de nombreuses pathologies chroniques (maladies neurodégénératives, certains cancers, diabète)43. Pour les chercheurs, ces résultats sont probablement liés à la présence de résidus de pesticides de synthèse dans l’alimentation conventionnelle.

Manger bio : la solution optimale pour une meilleure santé ?

Consommer des produits bio présente sans aucun doute de nombreux bénéfices pour la santé. Ce n’est pour autant pas une solution suffisante à elle seule pour optimiser sa santé. Ainsi, la consommation de produits bio doit bien évidemment se faire dans le cadre d’une alimentation globale saine et équilibrée.

Si l’on prend l’exemple des produits transformés comme les chips ou les biscuits, le fait qu’ils soient bio n’exclut pas qu’ils puissent être beaucoup trop sucrés ou beaucoup trop salés. La dimension biologique est donc loin d’être le seul critère à prendre en compte, en particulier pour l’achat de produits transformés.

Concernant les produits bruts comme les fruits, légumes, viandes ou laitages, le choix du bio apparaît assurément comme un choix plus intéressant pour la santé.

Le label bio européen représente un point de départ intéressant pour limiter notre exposition aux pesticides, même s’il comporte certaines limites. D’autres labels bio plus exigeants – mais souvent plus chers – représentent une option encore plus intéressante.

Il est aussi intéressant de privilégier les circuits courts en échangeant avec les producteurs pour connaître leurs méthodes de production ou d’élevage. Certains agriculteurs font le choix de ne pas être labellisés car la démarche est coûteuse mais appliquent des critères tout aussi stricts – voire parfois plus stricts – que le label bio.

Pour aller plus loin sur le sujet, vous pouvez consulter les articles suivants d’Anthony Berthou :

Quels sont les effets des pesticides sur la santé ?
Que penser des pesticides bio et du biocontrôle ?

Sources

  • ¹ Agence bio - https://www.agencebio.org/wp-content/uploads/2022/01/Organic-Sector-EU-2021.pdf
  • ² Conseil de l’Union Européenne. Règlement (CE) 889/2008; 2008; Vol. 250.(2) Conseil de l’Union Européenne. Liste Des Composés Phytosanitaires Autorisés En Agriculture Biologique; 2007; Vol. 189.
  • ³ https://ephy.anses.fr/resultats_recherche/ppp?sort_by=search_api_aggregation_4&sort_order=ASC&f%5B0%5D=field_intrant%253Afield_etat_produit%3A10&f%5B1%5D=field_intrant%253Afield_gamme_usage%253Afield_libelle%3AProfessionnel
  • ⁴ https://www.biorxiv.org/content/10.1101/289058v2
  • ⁵ https://www.cnrs.fr/fr/les-fongicides-sdhi-sont-toxiques-pour-les-cellules-humaines
  • ⁶ https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/01/21/pesticides-sdhi-450-scientifiques-appellent-a-appliquer-le-principe-de-precaution-au-plus-vite_6026712_1650684.html
  • ⁷ https://lejournal.cnrs.fr/articles/appliquer-le-principe-de-precaution-a-legard-des-sdhi
  • ⁸ Commission Européenne. Approval of active substances https://ec.europa.eu/food/sites/food/files/plant/docs/pesticides_ppp_app-proc_cfs_report-201307.pdf (accessed 2019 -12 -13)
  • ⁹ https://www.inrae.fr/sites/default/files/pdf/expertise-cuivre-en-ab-resume-francais-2.pdf
  • ¹⁰ Joseph A. Cotruvo, J.; Aron, A. T.; Ramos-Torres, K. M.; Chang, C. J. Synthetic Fluorescent Probes for Studying Copper in Biological Systems. Chem. Soc. Rev. 2015, 44 (13), 4400–4414.
  • ¹¹ https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32021R1165&from=FR
  • ¹² Barański, M.; Srednicka-Tober, D.; Volakakis, N.; Seal, C.; Sanderson, R.; Stewart, G. B.; Benbrook, C.; Biavati, B.; Markellou, E.; Giotis, C.; Gromadzka-Ostrowska, J.; Rembiałkowska, E.; Skwarło-Sońta, K.; Tahvonen, R.; Janovská, D.; Niggli, U.; Nicot, P.; Leifert, C. Higher Antioxidant and Lower Cadmium Concentrations and Lower Incidence of Pesticide Residues in Organically Grown Crops: A Systematic Literature Review and Meta-Analyses. Br. J. Nutr. 2014, 112 (5), 794–811.
  • ¹³ Bell, E. M.; Hertz-Picciotto, I.; Beaumont, J. J. A Case-Control Study of Pesticides and Fetal Death Due to Congenital Anomalies. Epidemiology 2001, 12 (2), 148–156.
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  • ¹⁵ Royster, M. O.; Hilborn, E. D.; Barr, D.; Carty, C. L.; Rhoney, S.; Walsh, D. A Pilot Study of Global Positioning System/Geographical Information System Measurement of Residential Proximity to Agricultural Fields and Urinary Organophosphate Metabolite Concentrations in Toddlers. J Expo Anal Environ Epidemiol 2002, 12 (6), 433–440.
  • ¹⁶ Reynolds, P.; Hurley, S. E.; Goldberg, D. E.; Yerabati, S.; Gunier, R. B.; Hertz, A.; Anton-Culver, H.; Bernstein, L.; Deapen, D.; Horn-Ross, P. L.; Peel, D.; Pinder, R.; Ross, R. K. R. K.; West, D.; Wright, W. E.; Ziogas, A.; California Teachers Study. Residential Proximity to Agricultural Pesticide Use and Incidence of Breast Cancer in the California Teachers Study Cohort. Environ. Res. 2004, 96 (2), 206–218.
  • ¹⁷ Provost, D.; Cantagrel, A.; Lebailly, P.; Jaffré, A.; Loyant, V.; Loiseau, H.; Vital, A.; Brochard, P.; Baldi, I. Brain Tumours and Exposure to Pesticides: A Case-Control Study in Southwestern France. Occup Environ Med 2007, 64 (8), 509–514.
  • ¹⁸ Leyk, S.; Binder, C. R.; Nuckols, J. R. Spatial Modeling of Personalized Exposure Dynamics: The Case of Pesticide Use in Small-Scale Agricultural Production Landscapes of the Developing World. Int J Health Geogr 2009, 8, 17.
  • ¹⁹ Kamel, F.; Tanner, C.; Umbach, D.; Hoppin, J.; Alavanja, M.; Blair, A.; Comyns, K.; Goldman, S.; Korell, M.; Langston, J.; Ross, G.; Sandler, D. Pesticide Exposure and Self-Reported Parkinson’s Disease in the Agricultural Health Study. Am. J. Epidemiol. 2007, 165 (4), 364–374.
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  • ²¹ Sánchez-Santed, F.; Colomina, M. T.; Herrero Hernández, E. Organophosphate Pesticide Exposure and Neurodegeneration. Cortex 2016, 74, 417–426.
  • ²² Ingre, C.; Roos, P. M.; Piehl, F.; Kamel, F.; Fang, F. Risk Factors for Amyotrophic Lateral Sclerosis. Clin Epidemiol 2015, 7, 181–193.
  • ²³ Bozzoni, V.; Pansarasa, O.; Diamanti, L.; Nosari, G.; Cereda, C.; Ceroni, M. Amyotrophic Lateral Sclerosis and Environmental Factors. Funct. Neurol. 2016, 31 (1), 7–19.
  • ²⁴ Gunnarsson, L.-G.; Bodin, L. Amyotrophic Lateral Sclerosis and Occupational Exposures: A Systematic Literature Review and Meta-Analyses. Int J Environ Res Public Health 2018, 15 (11).
  • ²⁵ Kamel, F.; Tanner, C.; Umbach, D.; Hoppin, J.; Alavanja, M.; Blair, A.; Comyns, K.; Goldman, S.; Korell, M.; Langston, J.; Ross, G.; Sandler, D. Pesticide Exposure and Self-Reported Parkinson’s Disease in the Agricultural Health Study. Am. J. Epidemiol. 2007, 165 (4), 364–374.
  • ²⁶ Beseler CL, Stallones L. A cohort study of pesticide poisoning and depression in Colorado farm residents. Ann Epidemiol. 2008 Oct;18(10):768-74.
  • ²⁷ Larsen, A. E.; Gaines, S. D.; Deschênes, O. Agricultural Pesticide Use and Adverse Birth Outcomes in the San Joaquin Valley of California. Nature Communications 2017, 8 (1), 1–9.
  • ²⁸ Thierry, X.; Leridon, H. Étude Longitudinale Française depuis l’Enfance https://www.elfe-france.fr/ (accessed 2019 -12 -11).
  • ²⁹ Shelton, J. F.; Hertz-Picciotto, I. Neurodevelopmental Disorders and Agricultural Pesticide Exposures: Shelton and Hertz-Picciotto Respond. Environ Health Perspect 2015, 123 (4), A79–A80.
  • ³⁰ Chiu YH, Williams PL, Gillman MW, Gaskins AJ, Mínguez-Alarcón L, Souter I, Toth TL, Ford JB, Hauser R, Chavarro JE; EARTH Study Team. Association Between Pesticide Residue Intake From Consumption of Fruits and Vegetables and Pregnancy Outcomes Among Women Undergoing Infertility Treatment With Assisted Reproductive Technology. JAMA Intern Med. 2018 Jan 1;178(1):17-26.
  • ³¹ https://www.cancer-environnement.fr/411-Cadmium-et-ses-composes.ce.aspx
  • ³² https://www.substitution-cmr.fr/index.php?id=112&tx_kleecmr_pi3%5Buid%5D=87&tx_kleecmr_pi3%5Bonglet%5D=3&cHash=56bddac1f3
  • ³³ https://www.anses.fr/fr/content/exposition-au-cadmium-l%E2%80%99anses-propose-des-valeurs-limites-pour-mieux-prot%C3%A9ger-les
  • ³⁴ K. Brandt, C. Leifert, R. Sanderson & C. J. Seal (2011) Agroecosystem Management and Nutritional Quality of Plant Foods: The Case of Organic Fruits and Vegetables, Critical Reviews in Plant Sciences, 30:1-2, 177-197
  • ³⁵ Worthington V. Nutritional quality of organic versus conventional fruits, vegetables, and grains. J Altern Complement Med. 2001 Apr;7(2):161-73.
  • ³⁶ Dangour, A. D.; Dodhia, S. K.; Hayter, A.; Allen, E.; Lock, K.; Uauy, R. Nutritional Quality of Organic Foods: A Systematic Review. Am. J. Clin. Nutr. 2009, 90 (3), 680–685.
  • ³⁷ Smith-Spangler, C.; Brandeau, M. L.; Hunter, G. E.; Bavinger, J. C.; Pearson, M.; Eschbach, P. J.; Sundaram, V.; Liu, H.; Schirmer, P.; Stave, C.; Olkin, I.; Bravata, D. M. Are Organic Foods Safer or ealthier than Conventional Alternatives?: A Systematic Review. Ann. Intern. Med. 2012, 157 (5), 348–366.
  • ³⁸ Średnicka-Tober, D.; Barański, M.; Seal, C.; Sanderson, R.; Benbrook, C.; Steinshamn, H.; Gromadzka-Ostrowska, J.; Rembiałkowska, E.; Skwarło-Sońta, K.; Eyre, M.; Cozzi, G.; Krogh Larsen, M.; Jordon, T.; Niggli, U.; Sakowski, T.; Calder, P. C.; Burdge, G. C.; Sotiraki, S.; Stefanakis, A.; Yolcu, H.; Stergiadis, S.; Chatzidimitriou, E.; Butler, G.; Stewart, G.; Leifert, C. Composition Differences between Organic and Conventional Meat: A Systematic Literature Review and Meta-Analysis. British Journal of Nutrition 2016, 115 (06), 994–1011.
  • ³⁹ Średnicka-Tober, D.; Barański, M.; Seal, C. J.; Sanderson, R.; Benbrook, C.; Steinshamn, H.; Gromadzka-Ostrowska, J.; Rembiałkowska, E.; Skwarło-Sońta, K.; Eyre, M.; Cozzi, G.; Larsen, M. K.; Jordon, T.; Niggli, U.; Sakowski, T.; Calder, P. C.; Burdge, G. C.; Sotiraki, S.; Stefanakis, A.; Stergiadis, S.; Yolcu, H.; Chatzidimitriou, E.; Butler, G.; Stewart, G.; Leifert, C. Higher PUFA and N-3 PUFA, Conjugated Linoleic Acid, α-Tocopherol and Iron, but Lower Iodine and Selenium Concentrations in Organic Milk: A Systematic Literature Review and Meta- and Redundancy Analyses. Br. J. Nutr. 2016, 115 (6), 1043–1060.
  • ⁴⁰ Kesse-Guyot, E.; Pointereau, P. Résultats du projet BioNutriNet : impacts d’un régime bio sur la santé et l’environnement; Solagro, 2019.
  • ⁴¹ Kesse-Guyot, E.; Baudry, J.; Assmann, K. E.; Galan, P.; Hercberg, S.; Lairon, D. Prospective Association between Consumption Frequency of Organic Food and Body Weight Change, Risk of Overweight or Obesity: Results from the NutriNet-Santé Study. Br. J. Nutr. 2017, 117 (2), 325–334.
  • ⁴² Baudry, J.; Lelong, H.; Adriouch, S.; Julia, C.; Allès, B.; Hercberg, S.; Touvier, M.; Lairon, D.; Galan, P.; Kesse-Guyot, E. Association between Organic Food Consumption and Metabolic Syndrome: Cross-Sectional Results from the NutriNet-Santé Study. Eur J Nutr 2018, 57 (7), 2477–2488.
  • ⁴³ Corina Konstantinou, Stephanie Gaengler, Stavros Oikonomou, Thibaut Delplancke, Pantelis Charisiadis, Konstantinos C. Makris, Use of metabolomics in refining the effect of an organic food intervention on biomarkers of exposure to pesticides and biomarkers of oxidative damage in primary school children in Cyprus: A cluster-randomized cross-over trial, Environment International, Volume 158, 2022, 107008, ISSN 0160-4120

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337 commentaires

  1. Joseph

    Je suis producteur des intrants agricoles biologiques installé au Cameroun. La question qui me revient le plus est de savoir si l’agriculture biologique peut permettre de répondre aux besoins alimentaires des populations actuelles et satisfaire ceux des générations futures?
    La majorité de personnes n’y croient pas. Mais à mon humble avis, je pense que cela est bien possible et la matière pour ce faire existe.

    Répondre
  2. Christophe

    J’utilise beaucoup Yuka et merci pour ce que vous faites

    1
    Répondre
  3. j-p

    pourriez-vous nous informer comme indiqué dans le super livre de guillaume coudray ( nitrites dans la charcuterie : le scandale) :qu’il peut y avoir des nitrites cancérogènes dans la charcuterie bio.
    merci

    5
    Répondre
    1. Godefroy

      C’est pas spécialement la charcuterie bio, toutes les charcuteries contenant du nitrite de sodium…

      Répondre
  4. Jacques

    Bio culture des mauvaises herbes pesticides retrouvés dans beaucoup de produits???

    4
    Répondre
  5. France

    Bonjour, ce qui me paraît triste et malhonnête c est qu’il n’y ait pas assez de contrôles. Soudainement beaucoup se prétendent bio et j’ai de gros doutes ? Notamment dans les supermarchés. Il est tentant de vendre plus chers des fruits et légumes dans le rayons Bio alors qu’ils ne le sont pas du tout !
    Et que dire/penser du bio d’Espagne ?!! 🤔

    9
    Répondre
  6. Felicienne

    Merci pour cette longue informations.
    Je consomme essentiellement Bio. J’ai pourtant un petit revenu, ce qui me fait dire que je mange au dessus de mes moyens.
    En ce qui concerne l’ameublement ou la réfection de la maison, avez vous des adresses à recommander ?
    Est-ce qu’on peut espérer qu’on subventionne les producteurs du Bio plutôt que d’aider les producteurs non Bio.
    Si vous avez une influence au gouvernement faîte une pétition et on signera. Merci en tout cas. Je transmets aux enfants, nous avons votre livre.
    Mais c pas facile de faire changer les habitudes.

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  7. claude

    nous sommes consommateurs principalement de produits bio et merci pour cet article qui nous permettra d’être encore plus attentifs

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  8. Francoise

    Très intéressant je mange le plus possible bio .mais c loin d être parfait

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  9. MH

    J’ai beaucoup apprécié votre article sur les perturbateurs
    Merci pour ce que vous faites
    J’utilise régulièrement yuka pour faire mes courses
    Encore bravo !!!

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  10. Lakdar

    Pour faire le point, sur le bio…
    Ce reportage de  » Complement d’enquête  » affligeant, sur les déri

    Où comment une  » Société  » obnubilée par l’argent enlaidie même ce qui est  » bieau  » 🤔

    https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/complement-d-enquete-a-qui-profite-le-bio_c4d8a334-213f-11ec-a901-7483770be78c/

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  11. VANESSA

    Très intéressant. Merci 👍

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  12. Joseph

    Merci vos articles sont très enrichissant je continue à vous suivre depuis le début et pour ce qui est du bio je ne mange que des fruits et légumes d un producteur local et pour le reste je jongle car malgré tout les avantages de santé ça reste assez cher financièrement Merci à toute l’équipe

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  13. Jean-Marc

    Bonjour,

    En lisant votre article qui recommande le bio ce en quoi je suis parfaitement d’accord avec vous, je ne peux m’empêcher de vous signaler, qu’ici en Belgique, et je suppose aussi en France, en utilisant votre application pour parcourir les différents articles vendus dans les magasins bio, force est de constater que moins de 30 % de ceux-ci ont une appréciation globalement positive. Et que dire du vrac ! Aucun contrôle possible. Il faut faire confiance au vendeur, ce qui est ridicule vu les enjeux financiers ! A ce propos, très peu d’analyse en labo ont été effectuées sur le vrac et celles qui ont été pratiquées se sont révélées très en- dessous du résultat attendu !
    Que faire dans ces conditions ?
    Une autre petite question…en cas de problèmes, que conseillez-vous pour remplacer la bouillie bordelaise ?

    Merci.

    JMGERARD

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    1. Christian Charles

      Renseignes-toi sur l ‘infusion de prele .

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  14. Achour

    Merci pour votre site, votre application et vos éclairages. Votre engagement est primordial pour une prise de conscience et favoriser les changements de comportements des consommateurs et donc, des industriels, de la grande distribution et des agriculteurs.

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  15. Annick

    Que pensez du bio espagnol ? A t il le même cahier des charges que la France ? Car en agriculture conventionnelle c’est loin d’être les mêmes traitements que la France.

    Merci , cordialement

    A. MUDRY

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  16. Viviane

    Ce guide m’est très utile au quotidien. Merci pour votre bienveillance.

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  17. Alyssia

    franchement je vous remercie d’avoir fait cet article et surtout votre blog en général, c’est vraiment utile pour celles et ceux qui essaient de mieux manger <3

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  18. Geneviève

    Super article , très édifiant !

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  19. Christine

    Merci pour cet article. J ai encore appris des choses. Je consomme bio depuis 20 ans et je continue.

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  20. Sophie

    Merci pour cet article clair et complet. Petit bémol cependant, le label Démeter est avant tout un label de « Biodynamie », pratique agricole qui n’a rien de scientifique . Il aurait été bon de le préciser, car cela peut induire le consommateur en erreur.

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    1. Françoise

      Renseignez vous avant de raconter n’importe quoi. Cela fait 40 ans que nous cultivons en Biodynamie ! Vrai compost, préparations avec des plantes ce qui en fait la base.

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  21. Danielle

    Merci pour cet article. Il me conforte dans mes choix d’acheter des produits bio.

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  22. Malika

    Excellent article!! Merci pour toutes ses informations très utiles, j’aime Yuka

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  23. Isabelle

    J’adore vos articles ! Ils me sont très instructifs, clairs . Les sujets sont très bien exposés.
    Merci .

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  24. Marie-Claire

    Votre étude me conforte dans l’achat de produits BIO car j’avais encore un doute sur la réalité de leur bienfait. Merci.

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  25. Jocelyne

    Félicitations pour l’excellence de votre article !

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  26. Valérie

    Bonjour
    Très intéressant
    Existe t il un label qui certifie le bien être animal ?
    merci

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  27. Philippe

    Bonjour
    Merci pour votre article , tout le monde devrait sans imprégner.
    BRAVO.

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  28. Francoise

    Excellent article ! Bravo

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  29. Colette

    Bonsoir , merci beaucoup, pour votre étude interessante et détaillée.
    Si la majorité des personnes pouvait s offrir des fruits et légumes bio cela ferait des économies à la sécurité sociale

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    1. coco

      C’est sur je suis d’accord, mais beaucoup de gens mangent beaucoup et donc pas de bons produits à cause du cout, il faudrait réapprendre dés l’école aux enfants à manger moins mais plus sain.
      je vois des gens au supermarché avec 10 baguettes de pain industriel ??? ou des quantité de viande bon marché.
      chacun fait ses choix, moi depuis quelques années maintenant j’ai réduit mes quantités pour de la qualité. mais c’est mon choix.
      belle journée

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    2. annie

      IL suffit de faire un choix d alimentation. Je mange bio. Déjà j ai supprimé la viande qui n est pas indispensable et souvent mauvaise. Ensuite je peux très bien me contenter d une assiette de riz bio évidement. C est un choix. Renseignez vous sur les prix et pas sur le bio des hypers toxiques qui font le tour du monde

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  30. Paolo

    Merci beaucoup pour toutes ces infos.Surtout les labels que je ne connaissait pas à part Eurofeuille.Le Bio n’est pas aussi cher que beaucoup de personne peuvent le croire.Mais j’ai toujours un doute sur l’environnement.Alors que beaucoup d’agriculteurs continuent à utiliser des pesticides,ceux-ci se propagent dans la terre et finalement se retrouvent partout même dans les terres dites « bio ».Alors est-ce que le bio est vraiment bio?

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  31. Noelle

    Merci votre article est formidable je n étais pas du tout au courant de certaines choses « essentielles »
    Bravo ! A toute l équipe.

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  32. DOMINIQUE

    Bonjour,
    Par rapport au livre, il m’apporte entière satisfaction dans le fond et la forme. Je l’ai également offert à mes enfants.
    Il me semble que depuis que l’application Yuka existe (comme d’autres mais je préfère celle-ci), des fabricants modifient la composition de leurs produits en fonction des résultats ; ce qui est un aboutissement réellement positif pour nous tous.
    J’apprécie également les articles de Yuka que je lis régulièrement. Un exposé particulièrement clair, compréhensif et qui nous pousse à réfléchir, à réagir et à chercher d’autres informations et solutions. Encore merci à l’équipe de Yuka pour tout ce que vous faites.
    A bientôt

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  33. Nathalie

    Bonjour
    Je recommande ce livre… Il est complet et très bien expliqué.
    Bravo !!

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  34. Colette

    Bonjour,
    Comme je n’aime pas commander sur internet, pouvons-nous trouver ce livre en librairie ? Furet du Nord à Douai, par exemple. Merci

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    1. Murielle

      Bonjour Colette,
      Je l’ai trouvé chez Nature et découverte, pour ma part.
      Je suis comme vous, je préfère aller en boutique.

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    2. Bernadette

      Pour ma part je l’ai trouvé chez Cultura, et j’évite les frais de ports..je préfère également la boutique.

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  35. Lakdar

    Bonjour,

    Vous n’abordez pas le coût prohibitif du bio, qui bien souvent n’est pas à corréler aux coûts de fabrication…
    Un frein pour beaucoup de gens même s’il faudra se décider à payer plus pour mieux manger.

    Ni sur les faux produits bio, d’origine douteuse : l’ONG Foodwatch alerte sur la fraude alimentaire depuis des années…

    Ni sur le coût social lorsque ceux ci sont produits dans des pays où l’on profite d’une main d’œuvre sub-saharienne, prête à beaucoup pour une vie meilleure…

    Néanmoins, le bio a déjà fait un long chemin depuis quelques années…
    Mangeons local…
    Mangeons saison…
    Mongeons « bieau »

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  36. Gera

    Merci d’avoir fait le point sur l’alimentation bio.
    Continuez de nous informer.
    J’ai beaucoup aimé votre livre.

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  37. Janine

    Bonsoir Madame,

    Si je commande votre livre ci-dessus, est-il possible d’avoir la copie de cet article ci-dessus , qui est très riche d’informations à suivre de très près ….
    Dans l’attente de votre retour avant de passer ma commande, je vous en remercie.
    Cordialement
    Janine BRUN
    TEL : 06.82.25.45.30.
    mail : bruntravel@wanadoo.fr

    3
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    1. Marie de Yuka

      Bonjour Janine,
      Un grand merci pour votre intérêt pour notre livre et pour cet article. Son contenu n’est pas présent dans le livre mais vous pouvez tout à fait l’imprimer en cliquant sur CTRL + P sur votre clavier.
      J’espère que cela vous aidera.
      Très bonne journée

      4
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  38. Philippe

    Il serait pertinent de signaler, en sus des labels bio reconnus, les pseudo labels bio (ou dénominations de type culture durable) qui sont au minimum trompeurs par omission.
    et souvent mensongers.
    Le plus actuel est le label HVE (Haute Valeur Environnementale), créé par les seuls producteurs,
    plein de bonnes intentions vagues mais sans contraintes réelles. Il est de plus en plus mis
    en avant, par exemple, dans la viticulture dans l’intention évidente de masquer les pratiques
    répréhensibles du secteur.

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  39. Nicolas

    Article intéressant mais une imprécision : il n’y a pas un SDHI mais des SDHI, le terme faisant référence à un mode d’action partagé par plusieurs fongicides.

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  40. Dominique

    Au delà des aliments, pensez que les modes de production bio essaient d’être respectueux de l’environnement et donc des Hommes. C’est donc un raisonnement global qu’il faut avoir et pas uniquement sur la qualité du produit que l’on a dans son assiette.

    3
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  41. Odile

    Très intéressant car l’article pose des définitions, mais très orienté « le bio c’est bien ». J’aurais aimé un paragraphe antithèse , par exemple :
    Quid des +30 à +50% des prix ? certaines familles ne peuvent pas se payer des légumes bio, nous acceptons allègrement d’aller vers une alimentation à 2 vitesses ?
    Quid des baisses de rendement à l’hectare ?

    J’ai eu la chance d’avoir des grands parents qui ont atteint un âge vénérable de plus de 90ans sans jamais manger bio de leur vie. Personnellement, je préfère manger local même si non bio que bio qui vient de l’autre coté du continent voire de la planète. Manger bio, c’est bien pour soi. Manger local, c’est bien pour la planète.

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    1. Albano

      Ce qui compte pour les producteurs non bio c’est la quantité et non la qualité, juste les gains……!

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    2. Paul

      Manger bio, c’est bien pour soi ET pour la planète (moins de pollution des sols ….).
      Ma mère est en pleine forme à 94 ans, sans avoir mangé bio, mais elle a une activité physique difficile à égaler: baignade (avec nage) 6 mois par an dans de la mer entre 10° et 20° C (Bretagne), marche, …).
      Je suis loin de cela et espère assurer la base en mangeant bio.
      Le bio en supermarché est effectivement cher (voleurs !). J’ai souvent trouvé des produits bio beaucoup moins chers en boutiques bio qu’en supermarché (faudrait-il dénoncer les marques ?), et même des produits en boutique bio (donc bio) moins chers qu’en super marché les mêmes pas bio.

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      1. Paul

        Mais, ayant 94 ans, ma mère a beaucoup mangé bio sans le savoir.

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      2. Annie

        Votre mère n a pas dû ingurgiter beaucoup de chimiques dans son enfance et même après vu son âge. Comparons ce qui est comparable

  42. Monique

    Auparavant le label AB était effectivement plus strict sur certains points que le label UE, mais actuellement ce ne sont plus que les labels privés/associatifs qui peuvent encore être plus stricts, pas les labels nationaux/étatiques comme AB ou le Biosiegel allemand.

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  43. Isabelle

    Très intéressant merci pour ce partage qui est clair et précis !

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  44. France

    Bonjour Julie
    Est-ce que je peux commander votre livre alors que j’habite à La Réunion ?
    Quels sont les frais de port ?
    Cordialement

    1
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    1. Marie de Yuka

      Bonjour France,

      Merci beaucoup de votre intérêt pour notre livre 🙂

      Pour une livraison à la Réunion, vous pouvez le retrouver dans certaines librairies (comme la Fnac) ou le commander directement auprès de votre libraire.

      1
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  45. Matthias

    Il me semble que le label AB garantie également un bien être animal, animaux abattus moins jeune, plus de surface par animaux, plus de jour en extérieur…

    1
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  46. Popol

    Bonjour en tant que producteur bio je saisi l’opportunité pour vous donner un humble avis puisque auparavant je pratiquais le conventionnel sans vouloir le dénigrer je prend l’exemple de la pomme de terre qui se rapproche de celui de la pomme l’année 2021 c’est l’acharnement pour lutter contre le fameux mildiou en conventionnel depuis la date de plantation jusque la récolte c’est en moyenne 20 à 25 interventions en ce qui me concerne c’est 4 passages à la bouillie bordelaise produit de contact sur le feuillage résultat fin juin plus de feuillage ce qui entraine un rendement de 8à10 tonnes hect au lieu de 40 à 55 tonnes pour le conventionnel comprenez la différence de prix à la vente à vous de juger en ce qui me concerne je les voie d’un bon oeil mes patates !

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  47. philippe

    Parfait

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  48. Valérie

    Merci pour cet article riche d’informations

    2
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  49. Maxime

    Merci pour cet article bien document. Une remarque, il est maladroit d’écrire « le biologique joue un rôle préventif dans de nombreuses maladies » en gros caractères. Nutrinet est une étude observationnelle et non interventionnelle, il est impossible de conclure à la causalité. Vous pourriez mettre cette phrase au conditionnel, ou mieux remplacer « joue » par « est associé à un risque réduit de nombreuses maladie ».
    Si vous citez des articles pour appuyer vos propos, il faut se plier à la rigueur scientifique qui est de mise !

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  50. Patrick

    Est-ce que les produits Bio hors UE sont 100% testés pour certification Bio ? Exemples: Graines de Sésame, cacao, etc….

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  51. Stephan

    Merci pour votre article documenté et bien rédigé. Je me souviens que vers 1997, lorsque je vivais au Royaume-Uni, le gouvernement de ce pays avait commissionné une étude à ce même sujet dont la conclusion était que le bio coute plus cher, en moyenne +30%, sans qu’il n’apporte le moindre bénéfice démontrable sur le plan de la santé. Il s’agirait donc seulement d’une question de gout et de préférence personnelle…les temps ont bien évolué!

    2
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  52. celine

    Je suis tout à fait d’accord.

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  53. Yolande

    Merci pour vos conseils.

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  54. Claude

    Merci pour votre article, je suis méfiant que se soit ĺ agriculture biologique ou ĺ agriculture conventionnelle, la terre,eau ĺ air,il a tellement de fines particules qui nous empoisonne on va venir par mourir

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  55. Véronique

    J’ai acheté le livre…articles et livre excellents ! Merci

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  56. Gérard

    Très bien mais l’utilisation de la bouillie bordelaise pour les vignes permet au vin de représenter la principale source de cuivre pour l’organisme. Sinon, ce serait intéressant de disposer d’une liste des végétaux/légumes pour lesquels le label bio n’est pas aussi critique. Merci de cet article.

    4
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  57. Théo

    J’ai + de 80 ans et je n’ai jamais manger du bio. D’ailleurs je m’en méfie un peu car dans mon esprit c’est surtout un argument de marketing.

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    1. Jean-Philippe

      Ho que non.Le « bio »est plus sûr.

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    2. coco

      bonjour Théo,
      vous avez je pense eu la chance dans votre enfance de manger des produits qui n’étaient pas encore sous les normes de l’agriculture intensive d’après guerre.
      malheureusement en 2022, il y beaucoup de mauvais produits, cultivés en quantité et vendu à moindre prix ou pas.
      Les consommateurs de produits BIO essayent de retrouver cette culture plus naturelle, avec moins de produits chimiques.
      nous ne pouvons pas continuer à manger de mauvais produits qui font naitre beaucoup de maladies inexpliquées.
      belle journée.

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    3. annie

      Vous avez comme moi sans doute mangé des produits du jardin sains. Ce qui n est plus le cas aujourd hui
      Si vous parlez du bio des hypers pour moi ça n en n est pas. Je vais dans les boutiques bio

      Répondre
  58. ol

    Gare à Demeter si vous n’y connaissez rien au niveau spirituel et en particulier sur la sorcellerie. ca n’a rien d’un folklore innocent…

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    1. VÉRONIQUE

      🤔 les sorciers on les brûlait au Moyen-âge… heureusement on ne les mangeait pas……….restons vigilants et critiques en effet, mais également sérieux !

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      Répondre
  59. Geneviève

    Bonjour et merci pour votre article sur le bio.
    J’aimerais préciser que le label Demeter répond au cahier des charges de la biodynamie en plus d’être bio. De nombreux films sur la biodynamie ou d’écrits peuvent vous renseigner. D’autre part, vos infos circulent également hors France, et ici en Suisse nous avons le label Bio Bourgeon bien plus exigeant que le label français AB racheté par de grands groupes comme Carrefour etc et qui ont rabaissé les exigences…car pour eux, le bio est principalement très lucratif.
    Merci pour ce que vous faites et je me réjouis que vous preniez en compte dans le futur le critère bio dans vos notations, car pour moi, un produit noté « excellent » ne peut être non bio. Cordialement, Geneviève

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  60. Patricia

    Bonjour, j’ai déjà acheté ce livre trois fois, pour l’offrir à chacun de mes enfants. Maintenant je vais me l’offrir ! Il est beau, avec de belles illustrations et de jolies couleurs. Et puis pour guider celui qui se soucie de son alimentation, il est vraiment parfait. Bravo à l’équipe de YUKA.

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    Répondre
  61. Jalal

    merci pour cette articles tres intéressant

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  62. Corinne

    J’ai acheté ce livre l’année dernière, il est tout juste génial en informations, tout est très clair, bien illustré et de bonnes recettes nous attendent ! Merci Yuka !

    2
    Répondre
  63. ELISABETH

    Bonjour Julie,
    C’est bon d’être informé judicieusement, et d’en savoir plus sur le BIO.
    Mais à quand l’arrêt des pesticides ??
    MERCI BEAUCOUP.

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  64. Agnès

    Quid du bio des supermarchés ? on a souvent entendu parlé de rappels de produits bio de la grande distribution qui contenaient un taux de résidus chimiques trop élevés et qui pourtant avaient un label

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    Répondre
    1. annie

      Pour moi ce n est pas du bio et en plus très cher . Dans les magasins bio vous ne trouverez pas de tomates en plein hiver

      Répondre
  65. Catherine

    j’aprécie la transparence de l’information. C’est tellement rare!

    3
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  66. Dominique

    Il serait également intéressant d’aborder la qualite des produits bio vendus en supermarché

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  67. Clemence

    Ce serait bien d’avoir aussi les inconvénients du bio. On parle bcp des côtes positifs et c’est bien. Pour se faire un réel avis je voudrais savoir les contreparties autre que le prix. Et c’est sur qu’il y en a, ce n’est jamais noir ou blanc. Moins de production par ha, des champignons qui perdurent plus (quel impact ?), des fruits ou légumes moins beaux ? Qui intéressent moins et donc plus de gâchis ? Je rêve d’une étude détaillée qui analyse les conséquences, positives comme négatives, économiques, sanitaires et d’usage.

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    1. Ed

      Entre autre, mais également la consommation de fioul et l’érosion des sols (sans parler du cuivre dans la bouillie bordelaise). Car pour lutter contre les mauvaises herbes dans les champs sans herbicide ça veut aussi dire faire entre 3 et 6 passages d’outils pour désherber. Donc beaucoup plus de fioul (et de cO2) et des sols très travaillé (=érosion). J’aime bien le bio mais arrêtons de le prendre pour ce qu’il n’est pas

      Répondre
    2. Jean-Philippe

      Concernant la beauté des fruits et légumes, la nature s’en moque.Faîtes-en de même.

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