Manger bio est-il meilleur pour la santé ?

Les produits bio font l’objet d’une forte croissance ces 20 dernières années, plébiscités par des consommateurs à la fois soucieux de leur santé et de la planète. En conséquence, les surfaces cultivées en bio en France ont été multipliées par 7 en vingt ans1.

Mais consommer bio présente-t-il de réels bénéfices pour la santé ? L’alimentation bio garantit-elle l’absence d’exposition aux pesticides ?

Voici notre décryptage sur le sujet réalisé avec le nutritionniste Anthony Berthou.

Qu’est-ce que l’agriculture biologique ?

L’agriculture biologique exclut les produits chimiques de synthèse

L’agriculture biologique proscrit l’utilisation de produits chimiques de synthèse comme les pesticides ou les engrais de synthèse. Les pesticides et engrais de synthèse sont des substances artificielles développées en laboratoire et produites en usine, issues notamment de l’industrie pétrochimique.

L’agriculture biologique peut uniquement avoir recours à des intrants provenant de « substances naturelles ou de substances dérivées de substances naturelles »2. Ainsi, il existe 363 produits commerciaux autorisés en bio, contre 2668 en conventionnel3.

Des substances de synthèse très problématiques pour la santé humaine et environnementale sont ainsi interdites en agriculture biologique. C’est par exemple le cas du SDHI, un fongicide très présent dans les céréales et les fruits, qui vise à éliminer les champignons en bloquant la respiration de leurs cellules. Mais, selon plusieurs chercheurs, il pourrait aussi bloquer la respiration cellulaire de tout être vivant (plantes, animaux, hommes) et entraîner des anomalies épigénétiques susceptibles d’expliquer l’apparition de tumeurs4,5. C’est pourquoi en janvier 2020, 450 chercheurs ont appelé à l’arrêt de l’utilisation du SDHI en milieu ouvert6.

Ce fongicide est par ailleurs mis en cause pour son impact sur la biodiversité : les études montrent une toxicité chez les rongeurs, les batraciens, les poissons et les abeilles. En outre, ils peuvent persister plusieurs mois dans le sol après avoir été répandus dans les champs, se retrouvant alors en contact avec les vers de terre ou insectes7.

Certaines substances naturelles peuvent cependant être problématiques

Certaines substances naturelles ou dérivées de sources naturelles utilisées en bio peuvent tout de même s’avérer problématiques pour la santé et/ou l’environnement. L’Europe a ainsi défini une liste de 77 substances autorisées dans le bio et « candidates à la substitution »8. Cela signifie que ces composés sont particulièrement préoccupants pour la santé publique ou l’environnement, et que des alternatives doivent être trouvées. Ils restent autorisés tant qu’il n’existe pas de solutions alternatives validées par les autorités.

L’exemple le plus emblématique concerne les composés à base de cuivre, et en particulier la « bouillie bordelaise », un mélange de sulfate de cuivre et de chaux. L’utilisation de pesticides à base de cuivre est problématique pour l’environnement comme pour la santé. Côté environnemental, l’INRAE (Institut national de la recherche agronomique) indique notamment que « des concentrations excédentaires en cuivre ont des effets phytotoxiques reconnus sur la croissance et le développement de la plupart des plantes »9. Côté santé, ce minéral exerce un effet pro-oxydatif majeur, pouvant conduire à endommager les constituants de nos cellules10 (voir notre article sur les antioxydants).

L’agriculture biologique permet donc de réduire de façon importante l’exposition humaine et environnementale aux produits chimiques de synthèse. Les enjeux pour l’agriculture biologique aujourd’hui résident notamment dans la recherche de solutions alternatives à certains pesticides naturels problématiques.

L’agriculture bio limite aussi l’usage d’additifs

Outre le sujet des pesticides, l’agriculture biologique limite l’utilisation d’additifs. Ainsi, 55 additifs sont autorisés en bio contre plus de 300 dans le conventionnel11. De nombreux additifs très controversés comme la tartrazine (E102), le BHA (E320), les diphosphates (E450) ou encore l’aspartame (E951) sont interdits dans les produits bio.

Quels sont les différents labels bio et leurs exigences ?

Il existe différents labels bio, qui reposent tous sur un même fondement principal : l’utilisation de produits chimiques de synthèse est interdite dans les cultures. Cependant, le cahier des charges varie d’un label à l’autre.

Eurofeuille (Bio Européen) et AB (Agriculture Biologique)

L’Eurofeuille est le seul label officiel au sein de l’Union Européenne depuis 2010. Le label français AB (Agriculture Biologique) continue d’être affiché de par sa notoriété mais il repose en réalité sur les mêmes exigences que le label européen et ne peut d’ailleurs pas être affiché seul.

Ce label européen repose sur les fondements suivants :

  • Les OGM sont interdits mais un seuil fortuit pouvant aller jusqu’à 0,9% est toléré
  • L’alimentation des animaux est certifiée bio à 95%
  • Les produits transformés doivent contenir 95% d’ingrédients issus de l’agriculture biologique
  • Dans les élevages, les traitements hormonaux sont interdits et le recours aux antibiotiques est limité
  • La coexistence de productions bio et non bio est autorisée : une distance de 10 mètres doit être maintenue entre les deux types de cultures
  • L’usage de serres chauffées est autorisé

L’Eurofeuille est le label bio le plus courant, mais il existe d’autres labels dont le cahier des charges est encore plus exigeant :

Demeter

  • Ce label exige que les produits aient d’abord obtenu le label bio européen
  • Les OGM sont totalement interdits
  • L’alimentation des animaux est certifiée bio à 100% 
  • Les produits transformés contiennent 100% d’ingrédients bio
  • Certains additifs autorisés en bio sont interdits dans les produits Demeter, comme le nitrite de sodium pour les produits carnés ou encore les arômes « naturels »
  • Le respect du bien-être animal est central
  • Les cultures doivent être 100% bio (les cultures bio et non-bio ne peuvent pas coexister sur une même exploitation)
  • L’usage de serres chauffées est limité

Bio Cohérence

  • Ce label exige que les produits aient d’abord obtenu le label bio européen
  • Les OGM sont totalement interdits
  • L’alimentation des animaux est certifiée bio à 100% pour les ruminants (vaches, moutons, chèvres…) et à 95% pour les monogastriques (porc, volaille)
  • Les produits transformés contiennent 100% d’ingrédients bio
  • Les cultures doivent être 100% bio
  • Les serres chauffées sont interdites

Nature & Progrès

  • Ce label n’exige pas que les produits aient obtenu le label bio européen : les produits Nature & Progrès ne sont donc pas officiellement reconnus comme bio
  • Les OGM sont totalement interdits
  • L’utilisation de l’huile de palme est interdite
  • L’alimentation des animaux est certifiée bio à 100% 
  • Les produits transformés contiennent 100% d’ingrédients bio
  • Les cultures doivent être 100% bio
  • La taille des élevages est limitée
  • L’usage de serres chauffées est autorisé mais avec étiquetage obligatoire sur le produit

Ces différents labels reposent sur une obligation de moyens – et pas de résultats. Ainsi, ils ne peuvent garantir l’absence totale de pesticides ou contaminants dans le produit. Ils garantissent que les producteurs en ont limité l’usage selon les conditions définies.

Que penser du label “zéro résidu de pesticides” ?

Le label “Zéro résidu de pesticides” a été lancé en 2018 et se présente comme une troisième voie entre agriculture biologique et conventionnelle.

S’il garantit l’absence de résidus dans les produits finaux, ce label n’interdit pas les traitements via pesticides chimiques de synthèse dans les cultures. À l’inverse des labels bio, il repose sur une obligation de résultat et pas de moyens. L’épandage de pesticides chimiques est ainsi autorisé par le label : pour éviter les résidus dans le produit final, le label évite les « traitements tardifs » ou privilégie les molécules à dégradation rapide.

En conclusion : pour la santé, ce label peut représenter une alternative intéressante au bio qui reste parfois encore cher. En revanche, pour la planète, ce label ne présente pas de réel intérêt puisqu’il autorise l’épandage de pesticides de synthèse.

Manger bio réduit l’exposition aux pesticides

Les produits d’origine biologique ne sont en général jamais complètement exempts de contamination en pesticides, mais les études concordent toutes dans le fait qu’ils en contiennent beaucoup moins. Ainsi, les produits bio contiendraient en moyenne 75% de pesticides en moins comparativement aux aliments issus de l’agriculture conventionnelle selon une vaste méta-analyse publiée en 2014 dans British Journal Of Nutrition12.

Les pesticides sont aujourd’hui reconnus comme des substances susceptibles d’engendrer de nombreuses maladies. Tout d’abord, la plupart des études montrent une augmentation des risques de cancer chez les personnes les plus exposées aux pesticides13-18. Les cancers les plus concernés sont les lymphomes non hodgkiniens, les leucémies, les tumeurs cérébrales, les cancers hormono-dépendants, les cancers du poumon et les mélanomes. 

Par ailleurs, de nombreuses études montrent un lien entre l’exposition à certains pesticides et le risque de développer une maladie de Parkinson. Ainsi, les personnes fortement exposées au cours de leur vie aux pesticides présenteraient une augmentation du risque de développer la maladie de 62%19. Les pesticides sont également pointés du doigts dans l’augmentation des risques de maladie d’Alzheimer20,21 et de la maladie de Charcot22-24, mais aussi de troubles cognitifs et anxio-dépressifs25,26.

Pour les femmes enceintes, l’exposition aux pesticides au cours de la grossesse pourrait également avoir des conséquences importantes sur le développement de l’enfant, avec notamment un risque plus élevé de prématurité, d’autisme, de malformations cardiaques ou encore de complications métaboliques à l’âge adulte27-29. Enfin, une exposition accrue à certains pesticides semble également favoriser les troubles de la fertilité, masculine comme féminine30.

L’alimentation bio diminue aussi la contamination en certains métaux lourds

Au-delà des pesticides, les études montrent également une moindre contamination des produits bio en certains métaux lourds. Ainsi, le niveau de contamination en cadmium par exemple est presque deux fois plus faible dans le bio que dans les produits issus de l’agriculture conventionnelle12. La contamination en cadmium est essentiellement liée à l’usage d’engrais phosphatés, interdits en agriculture biologique.

Le cadmium est considéré comme cancérogène certain pour l’homme (groupe 1) par le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer). Les cancers associés sont ceux des voies respiratoires, notamment du poumon31. Il est aussi suspecté d’être mutagène et toxique pour la reproduction32,33.

L’alimentation bio présente des bénéfices nutritionnels

Davantage d’antioxydants dans les fruits et légumes

Les fruits et légumes issus de l’agriculture biologique ont une teneur en antioxydants entre 20 et 70% plus élevée que ceux issus de l’agriculture conventionnelle, la teneur variant selon le type d’antioxydants12. Cela s’expliquerait par le fait qu’un fruit ou légume non traité va devoir se défendre naturellement contre les agressions extérieures (sécheresse, attaques de parasites, etc.). Pour s’adapter à ce stress, ils vont alors produire davantage de molécules de défense, et notamment des polyphénols, des composés faisant partie de la famille des antioxydants.

Le passage à une alimentation totalement biologique permettrait d’augmenter de 20 à 40% la teneur en antioxydants dans l’alimentation générale, voire à 60% pour certains antioxydants en particulier.

Les antioxydants sont des molécules essentielles pour notre santé qui permettent de protéger nos cellules. Elles jouent un rôle important dans la prévention des cancers, des maladies dégénératives (sclérose en plaques, maladie d’Alzheimer, etc.) ou encore des maladies cardio-vasculaires (voir notre article sur les antioxydants).

Une quantité accrue de vitamines et minéraux dans les végétaux

Plusieurs études mettent également en évidence une teneur plus élevée en certaines vitamines et en certains minéraux dans les végétaux bio. Selon ces études, ceux-ci contiendraient davantage de vitamine C (+6 à 27%), mais aussi de fer (+21%) et de magnésium (+29,3%)34,35. En revanche, d’autres études ne constatent pas ou peu de différence36,37.

Une teneur en Oméga-3 plus élevée dans les produits animaux

Concernant la viande et le lait, les études montrent que leur teneur en Oméga-3 augmente lorsqu’ils sont issus de l’agriculture biologique, et que leur teneur en Oméga-6 diminue. Or, les Oméga-3 sont des acides gras extrêmement bénéfiques pour lesquels nos apports sont aujourd’hui insuffisants : nous ne consommons que 30% environ des apports conseillés en Oméga-3. Surtout, nous consommons à l’inverse aujourd’hui des Oméga-6 en excès (voir notre article sur le sujet des graisses).

En moyenne, une viande bio contient 22% d’Oméga-3 en plus38. Cela est lié à l’alimentation des animaux en bio qui vont consommer de l’herbe ou du foin à la place des tourteaux de soja. Quant au lait, il contiendrait jusqu’à 56% d’Oméga-3 supplémentaires selon une méta-analyse de 170 études39.

L’alimentation bio joue un rôle préventif sur de nombreuses maladies

Une vaste étude menée pendant 3 ans auprès de 60 000 personnes en France – BioNutrinet – a permis de montrer les bénéfices d’une alimentation biologique sur les risques de surpoids, d’obésité et de diabète40. Selon cette étude, les personnes les plus consommatrices de bio présentaient un risque de surpoids diminué de 36% chez les hommes et 42% chez les femmes. Le risque d’obésité serait quant à lui réduit de 62% chez les hommes et 48% chez les femmes.

Par ailleurs, chez les plus gros consommateurs de produits biologiques, le risque de diabète de type 2 serait réduit de 31%41,42. Cela s’expliquerait par le fait que certains pesticides chimiques sont des perturbateurs endocriniens impliqués dans les risques d’obésité et de diabète.

Concernant les risques de cancer, cette même étude conclut qu’une consommation régulière d’aliments bio réduirait de 25% le risque de développer un cancer. Le risque serait en particulier diminué pour le cancer du sein chez les femmes ménopausées (-34%) et pour les lymphomes (-76%). Le lien de cause à effet ne peut cependant pas être établi sur la base de cette seule étude qui comporte certains biais, et ces chiffres demandent donc à être confirmés par d’autres études.

Enfin, une étude publiée en 2022 dans la revue Environment International associe l’alimentation biologique avec une réduction significative du stress oxydatif, un phénomène impliqué dans de nombreuses pathologies chroniques (maladies neurodégénératives, certains cancers, diabète)43. Pour les chercheurs, ces résultats sont probablement liés à la présence de résidus de pesticides de synthèse dans l’alimentation conventionnelle.

Manger bio : la solution optimale pour une meilleure santé ?

Consommer des produits bio présente sans aucun doute de nombreux bénéfices pour la santé. Ce n’est pour autant pas une solution suffisante à elle seule pour optimiser sa santé. Ainsi, la consommation de produits bio doit bien évidemment se faire dans le cadre d’une alimentation globale saine et équilibrée.

Si l’on prend l’exemple des produits transformés comme les chips ou les biscuits, le fait qu’ils soient bio n’exclut pas qu’ils puissent être beaucoup trop sucrés ou beaucoup trop salés. La dimension biologique est donc loin d’être le seul critère à prendre en compte, en particulier pour l’achat de produits transformés.

Concernant les produits bruts comme les fruits, légumes, viandes ou laitages, le choix du bio apparaît assurément comme un choix plus intéressant pour la santé.

Le label bio européen représente un point de départ intéressant pour limiter notre exposition aux pesticides, même s’il comporte certaines limites. D’autres labels bio plus exigeants – mais souvent plus chers – représentent une option encore plus intéressante.

Il est aussi intéressant de privilégier les circuits courts en échangeant avec les producteurs pour connaître leurs méthodes de production ou d’élevage. Certains agriculteurs font le choix de ne pas être labellisés car la démarche est coûteuse mais appliquent des critères tout aussi stricts – voire parfois plus stricts – que le label bio.

Pour aller plus loin sur le sujet, vous pouvez consulter les articles suivants d’Anthony Berthou :

Quels sont les effets des pesticides sur la santé ?
Que penser des pesticides bio et du biocontrôle ?

Sources

  • ¹ Agence bio - https://www.agencebio.org/wp-content/uploads/2022/01/Organic-Sector-EU-2021.pdf
  • ² Conseil de l’Union Européenne. Règlement (CE) 889/2008; 2008; Vol. 250.(2) Conseil de l’Union Européenne. Liste Des Composés Phytosanitaires Autorisés En Agriculture Biologique; 2007; Vol. 189.
  • ³ https://ephy.anses.fr/resultats_recherche/ppp?sort_by=search_api_aggregation_4&sort_order=ASC&f%5B0%5D=field_intrant%253Afield_etat_produit%3A10&f%5B1%5D=field_intrant%253Afield_gamme_usage%253Afield_libelle%3AProfessionnel
  • ⁴ https://www.biorxiv.org/content/10.1101/289058v2
  • ⁵ https://www.cnrs.fr/fr/les-fongicides-sdhi-sont-toxiques-pour-les-cellules-humaines
  • ⁶ https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/01/21/pesticides-sdhi-450-scientifiques-appellent-a-appliquer-le-principe-de-precaution-au-plus-vite_6026712_1650684.html
  • ⁷ https://lejournal.cnrs.fr/articles/appliquer-le-principe-de-precaution-a-legard-des-sdhi
  • ⁸ Commission Européenne. Approval of active substances https://ec.europa.eu/food/sites/food/files/plant/docs/pesticides_ppp_app-proc_cfs_report-201307.pdf (accessed 2019 -12 -13)
  • ⁹ https://www.inrae.fr/sites/default/files/pdf/expertise-cuivre-en-ab-resume-francais-2.pdf
  • ¹⁰ Joseph A. Cotruvo, J.; Aron, A. T.; Ramos-Torres, K. M.; Chang, C. J. Synthetic Fluorescent Probes for Studying Copper in Biological Systems. Chem. Soc. Rev. 2015, 44 (13), 4400–4414.
  • ¹¹ https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32021R1165&from=FR
  • ¹² Barański, M.; Srednicka-Tober, D.; Volakakis, N.; Seal, C.; Sanderson, R.; Stewart, G. B.; Benbrook, C.; Biavati, B.; Markellou, E.; Giotis, C.; Gromadzka-Ostrowska, J.; Rembiałkowska, E.; Skwarło-Sońta, K.; Tahvonen, R.; Janovská, D.; Niggli, U.; Nicot, P.; Leifert, C. Higher Antioxidant and Lower Cadmium Concentrations and Lower Incidence of Pesticide Residues in Organically Grown Crops: A Systematic Literature Review and Meta-Analyses. Br. J. Nutr. 2014, 112 (5), 794–811.
  • ¹³ Bell, E. M.; Hertz-Picciotto, I.; Beaumont, J. J. A Case-Control Study of Pesticides and Fetal Death Due to Congenital Anomalies. Epidemiology 2001, 12 (2), 148–156.
  • ¹⁴ Koch, D.; Lu, C.; Fisker-Andersen, J.; Jolley, L.; Fenske, R. A. Temporal Association of Children’s Pesticide Exposure and Agricultural Spraying: Report of a Longitudinal Biological Monitoring Study. Environ. Health Perspect. 2002, 110 (8), 829–833.
  • ¹⁵ Royster, M. O.; Hilborn, E. D.; Barr, D.; Carty, C. L.; Rhoney, S.; Walsh, D. A Pilot Study of Global Positioning System/Geographical Information System Measurement of Residential Proximity to Agricultural Fields and Urinary Organophosphate Metabolite Concentrations in Toddlers. J Expo Anal Environ Epidemiol 2002, 12 (6), 433–440.
  • ¹⁶ Reynolds, P.; Hurley, S. E.; Goldberg, D. E.; Yerabati, S.; Gunier, R. B.; Hertz, A.; Anton-Culver, H.; Bernstein, L.; Deapen, D.; Horn-Ross, P. L.; Peel, D.; Pinder, R.; Ross, R. K. R. K.; West, D.; Wright, W. E.; Ziogas, A.; California Teachers Study. Residential Proximity to Agricultural Pesticide Use and Incidence of Breast Cancer in the California Teachers Study Cohort. Environ. Res. 2004, 96 (2), 206–218.
  • ¹⁷ Provost, D.; Cantagrel, A.; Lebailly, P.; Jaffré, A.; Loyant, V.; Loiseau, H.; Vital, A.; Brochard, P.; Baldi, I. Brain Tumours and Exposure to Pesticides: A Case-Control Study in Southwestern France. Occup Environ Med 2007, 64 (8), 509–514.
  • ¹⁸ Leyk, S.; Binder, C. R.; Nuckols, J. R. Spatial Modeling of Personalized Exposure Dynamics: The Case of Pesticide Use in Small-Scale Agricultural Production Landscapes of the Developing World. Int J Health Geogr 2009, 8, 17.
  • ¹⁹ Kamel, F.; Tanner, C.; Umbach, D.; Hoppin, J.; Alavanja, M.; Blair, A.; Comyns, K.; Goldman, S.; Korell, M.; Langston, J.; Ross, G.; Sandler, D. Pesticide Exposure and Self-Reported Parkinson’s Disease in the Agricultural Health Study. Am. J. Epidemiol. 2007, 165 (4), 364–374.
  • ²⁰ Yan, D.; Zhang, Y.; Liu, L.; Yan, H. Pesticide Exposure and Risk of Alzheimer’s Disease: A Systematic Review and Meta-Analysis. Sci Rep 2016, 6, 32222.
  • ²¹ Sánchez-Santed, F.; Colomina, M. T.; Herrero Hernández, E. Organophosphate Pesticide Exposure and Neurodegeneration. Cortex 2016, 74, 417–426.
  • ²² Ingre, C.; Roos, P. M.; Piehl, F.; Kamel, F.; Fang, F. Risk Factors for Amyotrophic Lateral Sclerosis. Clin Epidemiol 2015, 7, 181–193.
  • ²³ Bozzoni, V.; Pansarasa, O.; Diamanti, L.; Nosari, G.; Cereda, C.; Ceroni, M. Amyotrophic Lateral Sclerosis and Environmental Factors. Funct. Neurol. 2016, 31 (1), 7–19.
  • ²⁴ Gunnarsson, L.-G.; Bodin, L. Amyotrophic Lateral Sclerosis and Occupational Exposures: A Systematic Literature Review and Meta-Analyses. Int J Environ Res Public Health 2018, 15 (11).
  • ²⁵ Kamel, F.; Tanner, C.; Umbach, D.; Hoppin, J.; Alavanja, M.; Blair, A.; Comyns, K.; Goldman, S.; Korell, M.; Langston, J.; Ross, G.; Sandler, D. Pesticide Exposure and Self-Reported Parkinson’s Disease in the Agricultural Health Study. Am. J. Epidemiol. 2007, 165 (4), 364–374.
  • ²⁶ Beseler CL, Stallones L. A cohort study of pesticide poisoning and depression in Colorado farm residents. Ann Epidemiol. 2008 Oct;18(10):768-74.
  • ²⁷ Larsen, A. E.; Gaines, S. D.; Deschênes, O. Agricultural Pesticide Use and Adverse Birth Outcomes in the San Joaquin Valley of California. Nature Communications 2017, 8 (1), 1–9.
  • ²⁸ Thierry, X.; Leridon, H. Étude Longitudinale Française depuis l’Enfance https://www.elfe-france.fr/ (accessed 2019 -12 -11).
  • ²⁹ Shelton, J. F.; Hertz-Picciotto, I. Neurodevelopmental Disorders and Agricultural Pesticide Exposures: Shelton and Hertz-Picciotto Respond. Environ Health Perspect 2015, 123 (4), A79–A80.
  • ³⁰ Chiu YH, Williams PL, Gillman MW, Gaskins AJ, Mínguez-Alarcón L, Souter I, Toth TL, Ford JB, Hauser R, Chavarro JE; EARTH Study Team. Association Between Pesticide Residue Intake From Consumption of Fruits and Vegetables and Pregnancy Outcomes Among Women Undergoing Infertility Treatment With Assisted Reproductive Technology. JAMA Intern Med. 2018 Jan 1;178(1):17-26.
  • ³¹ https://www.cancer-environnement.fr/411-Cadmium-et-ses-composes.ce.aspx
  • ³² https://www.substitution-cmr.fr/index.php?id=112&tx_kleecmr_pi3%5Buid%5D=87&tx_kleecmr_pi3%5Bonglet%5D=3&cHash=56bddac1f3
  • ³³ https://www.anses.fr/fr/content/exposition-au-cadmium-l%E2%80%99anses-propose-des-valeurs-limites-pour-mieux-prot%C3%A9ger-les
  • ³⁴ K. Brandt, C. Leifert, R. Sanderson & C. J. Seal (2011) Agroecosystem Management and Nutritional Quality of Plant Foods: The Case of Organic Fruits and Vegetables, Critical Reviews in Plant Sciences, 30:1-2, 177-197
  • ³⁵ Worthington V. Nutritional quality of organic versus conventional fruits, vegetables, and grains. J Altern Complement Med. 2001 Apr;7(2):161-73.
  • ³⁶ Dangour, A. D.; Dodhia, S. K.; Hayter, A.; Allen, E.; Lock, K.; Uauy, R. Nutritional Quality of Organic Foods: A Systematic Review. Am. J. Clin. Nutr. 2009, 90 (3), 680–685.
  • ³⁷ Smith-Spangler, C.; Brandeau, M. L.; Hunter, G. E.; Bavinger, J. C.; Pearson, M.; Eschbach, P. J.; Sundaram, V.; Liu, H.; Schirmer, P.; Stave, C.; Olkin, I.; Bravata, D. M. Are Organic Foods Safer or ealthier than Conventional Alternatives?: A Systematic Review. Ann. Intern. Med. 2012, 157 (5), 348–366.
  • ³⁸ Średnicka-Tober, D.; Barański, M.; Seal, C.; Sanderson, R.; Benbrook, C.; Steinshamn, H.; Gromadzka-Ostrowska, J.; Rembiałkowska, E.; Skwarło-Sońta, K.; Eyre, M.; Cozzi, G.; Krogh Larsen, M.; Jordon, T.; Niggli, U.; Sakowski, T.; Calder, P. C.; Burdge, G. C.; Sotiraki, S.; Stefanakis, A.; Yolcu, H.; Stergiadis, S.; Chatzidimitriou, E.; Butler, G.; Stewart, G.; Leifert, C. Composition Differences between Organic and Conventional Meat: A Systematic Literature Review and Meta-Analysis. British Journal of Nutrition 2016, 115 (06), 994–1011.
  • ³⁹ Średnicka-Tober, D.; Barański, M.; Seal, C. J.; Sanderson, R.; Benbrook, C.; Steinshamn, H.; Gromadzka-Ostrowska, J.; Rembiałkowska, E.; Skwarło-Sońta, K.; Eyre, M.; Cozzi, G.; Larsen, M. K.; Jordon, T.; Niggli, U.; Sakowski, T.; Calder, P. C.; Burdge, G. C.; Sotiraki, S.; Stefanakis, A.; Stergiadis, S.; Yolcu, H.; Chatzidimitriou, E.; Butler, G.; Stewart, G.; Leifert, C. Higher PUFA and N-3 PUFA, Conjugated Linoleic Acid, α-Tocopherol and Iron, but Lower Iodine and Selenium Concentrations in Organic Milk: A Systematic Literature Review and Meta- and Redundancy Analyses. Br. J. Nutr. 2016, 115 (6), 1043–1060.
  • ⁴⁰ Kesse-Guyot, E.; Pointereau, P. Résultats du projet BioNutriNet : impacts d’un régime bio sur la santé et l’environnement; Solagro, 2019.
  • ⁴¹ Kesse-Guyot, E.; Baudry, J.; Assmann, K. E.; Galan, P.; Hercberg, S.; Lairon, D. Prospective Association between Consumption Frequency of Organic Food and Body Weight Change, Risk of Overweight or Obesity: Results from the NutriNet-Santé Study. Br. J. Nutr. 2017, 117 (2), 325–334.
  • ⁴² Baudry, J.; Lelong, H.; Adriouch, S.; Julia, C.; Allès, B.; Hercberg, S.; Touvier, M.; Lairon, D.; Galan, P.; Kesse-Guyot, E. Association between Organic Food Consumption and Metabolic Syndrome: Cross-Sectional Results from the NutriNet-Santé Study. Eur J Nutr 2018, 57 (7), 2477–2488.
  • ⁴³ Corina Konstantinou, Stephanie Gaengler, Stavros Oikonomou, Thibaut Delplancke, Pantelis Charisiadis, Konstantinos C. Makris, Use of metabolomics in refining the effect of an organic food intervention on biomarkers of exposure to pesticides and biomarkers of oxidative damage in primary school children in Cyprus: A cluster-randomized cross-over trial, Environment International, Volume 158, 2022, 107008, ISSN 0160-4120

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334 commentaires

  1. Alain

    Bravo pour cet article passionnant
    Nous faisons le maximum pour manger des bonnes choses
    Article très enrichissant
    Il faut continuer à se battre
    Bravo à vous et merci

    2
    Répondre
  2. Thomas

    Demeter, vraiment?
    La Mivilude elle même met en garde contre la biodynamie.. (voir un tweet du 28 février du compte officiel de la Mivilude…)

    1
    Répondre
  3. Christian

    Super article 👏… souhaite que toute la population puisse accéder à cette alimentation saine… 💲💲💲💲🇫🇷💰💵💴💸

    2
    Répondre
  4. Mila

    Même si les produits bio sont plus chers, je constate que leur saveur est plus intense et qu’ils sont également plus rassasiants (je suis abonnée à un panier de légumes préparé par un producteur de ma région et travaillant en biodynamie).
    Je mange moins, mieux et ne gaspille rien. Je pense que financièrement je m’y retrouve.
    Merci pour vos articles, objectifs, précis et citant vos sources.
    Toujours extrêmement instructifs.
    Avec mes remerciements et encouragements.

    Répondre
  5. Liliane

    Merci pour toutes ces informations, c’est un travail de recherches très précis qui permet de convaincre si ce n’est pas acquis pour certains ; c’est un beau geste que de militer pour un retour au bio.
    Très bien aussi votre livre sur l’alimentation, je m’y réfère au quotidien.

    1
    Répondre
  6. Jean Pierre

    Très instructif. Il n’en reste pas moins que c’est toujours le nerf de la guerre qui ressurgit !!! Les produits bio sont beaucoup plus cher, et ne sont pas accessibles à tout le monde…

    Répondre
  7. Vincent

    Merci pour votre recherche , votre application est facile à utiliser, par contre elle serait idéalement complète si les produits ultra transformés étaient mentionnés.
    Bravo à toute l’équipe, l’article est très intéressant.
    Longue vie à Yuka.
    Bien à vous

    2
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  8. Jacques

    Merci
    Vous faïtes un super travail

    1
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  9. CATHERINE

    Toujours très intéressant merci à toutes l’équipe

    1
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  10. CHRISTINE

    merci pour toutes ces infos qui me confirment ce que je sais déjà! Comme je donne des cours de cuisine et que je fais du service traiteur, cela m’aidera à mettre l’accent encore plus sur tout ce que vous venez de publier. A bientôt,
    Christine (www.tablebio.be)

    1
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  11. Mireill

    Très intéressant. Merci.

    1
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  12. Joëlle y

    Merci pour ce commentaire
    Très intéressant…

    1
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  13. Anne-Marie

    Articles explicites merci. J’essaie de n’acheter que du bio français, les produits bio qui viennent de Chine… me laissent sceptique (huile d’olive…) et bien sûr privilégier les circuits courts. Pas toujours facile de suivre tous ces conseils quand les courses sont faites à la « va vite » mais j’essaie me m’y tenir. Merci Yuka et longue vie

    1
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  14. Paq

    Interdire les nitrites c est fondamentale pour notre santé et pour la planète. L eau qui est essentielle à notre santé et à la planète…..

    1
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  15. Agathe

    Très précis et documenté, c’est un article merveilleusement instructif !

    1
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  16. Martine

    Merci pour ce courrier. Très instructif.

    1
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  17. Stéphanie

    Un grand merci! Cet article permet plus de clarté!

    1
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  18. Danielle

    Manger moins mais meilleur voila la solution !!
    Cette étude est très intéressante… a suivre

    1
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  19. Caroline

    Merci pour cette étude qui clarifie les doutes sur la question.
    Très belle journée.

    1
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  20. Joëlle

    Mille merci pour cet article représentatif du bio et du conventionnel, portant sur toutes ces études explicites. Une adepte inconditionnelle de Yuka

    1
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  21. Viviane

    Merci pour toutes ces informations très utiles.

    1
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  22. Marie-Noelle

    Merci pour cette étude très éclairante sur les produits bio et ma gratitude pour ce précieux Yuka

    1
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  23. Antoine

    Merci pour tout ce travail de recherche, de vulgarisation et de synthèse. La réparation de notre système alimentaire par les consommateurs doit obligatoirement passer par l’éducation et la transmission d’informations compréhensibles, factuelles, et dénuées de jugement. Yuka relève ce défi. Merci et long live Yuka

    2
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  24. Maylis

    Article très intéressant! A diffuser largement!

    1
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  25. Marie Noelle

    Je suis une adepte du bio et en consomme le plus possible,mais pas que. A cause du coût.
    Dommage que tous les producteurs ne s’y mettent pas. Alors ge serait peut être plus abordable.
    Merci pour cet article qui rassure.

    1
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  26. Corinne

    Article très intéressant et apprenant et je dirais même…objectif ! Merci pour ce CV partage et bravo à Yuka.

    1
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  27. Christoye

    Un grand merci Julie pour cet article qui nous aide à y voir plus clair.
    Je tente de convertir au bio quelques personnes de mon entourage, le bio est plus cher ce n’est donc pas facile…cet article peut sans doute les faire réfléchir.

    2
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  28. Carole

    Merci pour cet article et merci pour tout le boulot que vous faites pour nous informer. Vous êtes un contre pouvoir essentiel à tout ces acharnés
    de la pétrochimie .
    Votre livre est en même temps très ludique et riche en infos.
    Carole P.

    4
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  29. Marie-France

    Merci de ces précisions entre les labels. Une fois encore vous nous aidez à faire le bon choix pour notre santé.
    Vous êtes formidable ☺️

    2
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  30. Sylvie

    Un grand merci Yuka. Votre enseignement est très bénéfique pour tous.

    3
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  31. Madeleine

    Rien n’est parfait mais de 2 maux prenons le moindre…. Merci pour toutes ces infos

    3
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  32. Geoffrey

    Très intéressant, merci.

    1
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  33. Nicole

    Depuis le début , vos articles sont précis et passionnants !
    Merci de vous intéresser à notre santé avec autant de conviction.
    Je suis fan et votre livre m’est très utile !
    Félicitations… Cordialement

    8
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    1. Julie de Yuka

      Un grand merci Nicole 😊

      Répondre
  34. Nico

    « L’agriculture biologique peut uniquement avoir recours à des intrants provenant de substances naturelles »
    Pour rappel le cyanure est naturel.
    Ce n’est pas parce qu’un produit est naturel qu’il est bon. A l’inverse tout ce qui est chimique n’est pas mauvais ou il faut arrêter de boire de l’H2O 😉

    Prenez soin de vous, faites du sport, manger sainement et ne prêtez pas trop attention à la propagande des lobbys qu’ils soient bio ou pas.

    11
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  35. Jacqueline

    Merci pour cet article complet, notamment sur la signification des différents labels. Très intéressant. Votre livre aussi est très bien fait. Bravo à tous et toutes

    1
    Répondre
  36. Brigitte

    Un grand merci pour cet article sur le Bio qui nous renseigne largement sur le sujet et nous permet de faire de meilleurs choix.
    Encore bravo Yuca!!
    Cordialement
    Brigitte Fontaine

    1
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  37. Françoise

    très interessant, cette comparaison des labels bio; merci à vous.
    Le label bio ne devrait-il pas compter davantage dans vos sélections?

    2
    Répondre
  38. Sophie

    Merci beaucoup pour toutes ces infos, utiles, claires et rassurantes. Elles complètent parfaitement le livre qui, lui aussi, est agréable à lire, clair, ludique et très intéressant !

    5
    Répondre
  39. Brigitte

    Merci pour toutes ces informations !
    J’ai acheté votre livre , très utile, je m’y réfère souvent.

    3
    Répondre
  40. marie

    Merci Julie pour votre aide dans votre combat pour notre santé.
    Grace à vous l’information nous protège et change notre regard sur le bien vivre et bien manger .
    Bonne journée
    Marie C

    2
    Répondre
  41. Rolande

    Merci pour votre étude complète, je l’ai lu avec intérêt, nous savions déjà certains éléments mais cela nous conforte dans le choix du bio.

    2
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  42. Bernard

    Merci de continuer ce combat pour notre santé.

    1
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  43. Rose-Marie

    Article très intéressant. Cependant acheter complètement bio est trop coûteux . j’essaie de privilégier l’achat de produits de proximité . merci pour les infos.

    1
    Répondre
  44. Hélène

    Je lis toujours avec plaisir vos article, toujours très concis et riches d’enseignements.
    Vous m’avez sensibilisée au «  mieux consommer » et vous êtes devenus LA référence de toute la famille.
    Un grand merci pour votre travail et votre restitution aussi pédagogique que synthétique.

    4
    Répondre
  45. Véronique

    Merci pour votre implication

    3
    Répondre
  46. Fanny

    Intérêt pr le sujet : Alimentation femme enceinte et autisme ?
    Quelles sont vos sources ?
    Merci

    2
    Répondre
  47. Nadie

    Un grand merci pour toutes vos informations qui me sont bien utiles.

    2
    Répondre
  48. Anne

    Merci à toute l’équipe de Yuka pour votre implication dans notre santé… l’industrie agro alimentaire a encore bien trop de pouvoir… J’achète rarement des applications pour mon téléphone mais la vôtre, je la paie sans hésiter ! Et merci pour cet article très complet. Longue vie à Yuka 🤞👍🥰

    6
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    1. Julie de Yuka

      Merci Anne pour votre soutien !

      Répondre
  49. Gisele

    Je mange bio depuis 30 ans et en circuits courts
    Merci beaucoup pour tous les bons renseignements
    Merci à toute votre équipe

    1
    Répondre
  50. tata-lolotte

    Je suis chanceuse de vivre à proximité de plusieurs éleveurs et cultivateurs bio qui sont respectueux des animaux et du sol qu’ils travaillent ce sont de petites entreprises .

    2
    Répondre
  51. Catalina

    C’est toujours intéressant les recherches, merci pour les infos sur les labels… cependant cácela ne donne pas une idée sur le coût… mais cela m’aide à mieux acheter bio.

    1
    Répondre
  52. Valérie

    Merci pour toutes ces infos importantes qui nous éclaire sur notre alimentation 👍🏼

    1
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  53. Sophie

    Merci pour cette étude complète et indispensable pour y voir plus clair dans les labels bio

    1
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  54. Colin Jean Luc

    Merci pour vos conseils .
    Je fais mes courses avec votre application.
    Bravo et merci à toute votre équipe.

    1
    Répondre
  55. Sylvie

    Merci à toute votre équipe pour ces informations très intéressantes et complètes.
    Ayant un régime sans gluten depuis plus de 20 ans. A cause du blé…
    Je demande aux fabricants de cette alimentation spécifique que leurs produits soient moins sucrés/moins salés/moins gras pour certains aussi. Il y a à faire mieux dans ce domaine.
    Des efforts vont dans ce sens.

    1
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  56. Arsene

    Si on devait manger vraiment bio faire du sport et bien dormir cela revient à dire que les hôpitaux seront pratiquement vide et les docteurs leur cabinet moins fréquentés et donc la longévité centenaire facilement atteintes c est le fameux dis moi ce que tu manges et je dirais combien tu vivras lol
    C est pour ça que sur chaque artère on a un mc Do un Grec et un shusi shop rien qu avec les sucres et les graisses animales on a déjà le quota de maladie et pour en venir au bio je ne pense pas que c est du bio a 100% vu le bon calibrage du produite et la brillance j en doute après je ne suis qu un partisan du bio il ya un autre problème aussi important la baguette un danger sournois .

    Répondre
  57. Françoise

    Bonjour à l’équipe de Yuka. Vos articles sont une source de connaissances… Merci de nous les faire partager 👍

    1
    Répondre
  58. Michèle

    Merci pour toutes vos infos
    Je fais mes courses à la biocoop et le plus possible en vrac afin aussi de préserver notre planète
    J ai un livres sur tous les additifs qui est très bien votre application est également très utile lors des achats
    J ai des petits enfants qui ont d énormes soucis alimentaires et le bio est encore ce que nous pouvons trouver de mieux
    Merci

    1
    Répondre
  59. Jacques

    J’achète du jambon bio .. conservé avec des nitrites … Stupide, non ? Du coup, j’essaie le jambon pas bio mais sans nitrite.

    Répondre
    1. Laurence

      Il existe du jambon bio sans nitrites 😉

      3
      Répondre
  60. Jean-Luc

    Article très intéressant de par son contenu et ses explication. Merci Yuka pour votre professionnalisme et vos conseil, sans oublier l’application indispensable au moment de faire les courses.

    1
    Répondre
  61. Bernadette

    que pensez-vous de l’agriculture raisonnée, nous vivons dans une région où il y a beaucoup de producteurs qui pratiquent cette agriculture ainsi que l’agriculture bio que ce soit de viande ou de légumes; nous leur faisons confiance et favorisons de cette manière le circuit court

    Répondre
  62. Pascale

    merci pour toute ces informations, en particulier les différents labels et leurs exigences différentes; j’y ferai attention!
    j’utilise votre application pour faire mes courses, c’est super pratique!

    1
    Répondre
  63. Patricia

    Merci pour toutes vos informations, le bio je suis pour mais pour ceux qui n’ont pas forcément le budget nécessaire avez vous une idée.

    Répondre
    1. Hong Van

      On peut acheter sur le marché, aux producteurs, en culture raisonnée … faire soi même. Bref, consommer moins mais mieux !

      Répondre
  64. Thierry

    Bonjour,
    Dans les produits carnés, le nitrite de sodium est parfois remplacé par un concentré de légumes à forte teneur naturelle en nitrite, comme par exemple du jus concentré de céleri.
    Est-ce mieux pour la santé ou non ? Qu’en pensez-vous ?
    Merci de votre réponse

    9
    Répondre
    1. Hong Van

      On peut acheter sur le marché, aux producteurs, en culture raisonnée … faire soi même. Bref, consommer moins mais mieux !

      Répondre
  65. Jeanmi54

    👍
    Article très bien documenté qui m’a permis d’approfondir mes connaissances sur le bio

    1
    Répondre
  66. Baudobauuin

    Bonjour, et lors du transport de ses produits BIO vers le lieu de vente, sont-ils contaminé par des conservateurs toxiques.???
    Merci pour votre article.
    Cordialement.
    Baudouin

    Répondre
  67. Teresa

    Merci pour ces infos précieuses .

    1
    Répondre
  68. Sylvie

    Merci pour toutes ces précisions et pour votre action qui nous aide à protéger notre santé

    1
    Répondre
  69. Sylvie

    Merci pour toutes ces précisions et pour votre action qui nous aide à protéger notre santé

    3
    Répondre
  70. Arlette

    Merci pour cet article sérieusement documenté, accessible, intéressant et nuancé aussi concernant certains produits utilisés en agriculture bio, les labels…Votre application que j’utilise régulièrement apporte, effectivement, quelques surprises ( les bons produits, notamment en matière d’hygiène et cosmétique, n’étant pas nécessairement les plus onéreux…mais je sors du thème). Je vous remercie pour votre engagement au service de la santé de tous !

    1
    Répondre
  71. Ella

    Merci pour vos informations et votre implication

    1
    Répondre
  72. chantal

    J’ai acheté votre livre qui m’ a beaucoup aidé dans mes choix et je l’ai conseillé à plusieurs personne autour de moi.
    Cette article est très complémentaire et très intéressant, je vous en remercie.
    J’essaie de manger le plus possible bio et du local.
    Votre carotte m’aide beaucoup dans mes choix avec souvent des surprises sur certaines marques.

    1
    Répondre
  73. Chantal

    Merci pour votre travail et vos articles très intéressants et pertinents. Cela fait plus de 30 ans que nous sommes attentifs à notre alimentation en privilégiant, entre autres les produits bios. Même si le bio n’est pas une garantie absolue, c’est toujours plus sain qu’une alimentation conventionnelle pleine de pesticides ayant des effets néfastes pour la santé.
    Continuer sur cette voie.

    1
    Répondre
  74. JEAN...

    Merci bien au sujet de votre article bonne suite…

    1
    Répondre
  75. Jocelyne

    J’ai trouvé votre livre en supermarché Vous connaissant je n’ai pas hésité à l’acheter Il est très intéressant très bien fait Il est devenu un allié Bonne continuation

    1
    Répondre
  76. Jacqueline

    Merci pour vos conseils.. je mange bio depuis 40 ans .. j’ai surtout confiance si c’est certifié ecocert etc .. je regarde sur yuka (la carotte) si c’est excellent ou bon .. merci encore pour cela .. cela fait plaisir.. cordialement à toute la petite équipe

    1
    Répondre
  77. Isa

    Merci pour votre démarche globale concernant notre santé.

    1
    Répondre
  78. Isa

    Je ne souhaite plus de nitrites dans le jambon. D’ailleurs, je n’en achète plus pour cette raison.

    1
    Répondre
  79. Philippe

    Circonscrit au sujet « Manger bio est-il meilleur pour la santé ? », cet article me paraît assez équilibré quoique parfois un peu flou avec notamment une utilisation excessive du conditionnel dans l’évocation des études, et peu dogmatique (risque très inhérent au bio). Malgré tout, cela me semble refléter 1.une attitude un peu trop « européenne » (pourquoi, toujours interdire les OGM ?); 2.qu’une alimentation mondiale reste impossible avec uniquement du bio (tant pis pour les autres); 3.une addiction mortelle du bio à la bouillie bordelaise.
    Enfin il faut rappeler que l’Eurofeuille interdit -heureusement- les abattages rituels, mais c’est un autre sujet.

    6
    Répondre
  80. Michel

    Excellent article comme d’habitude. Peut-on acheter vos articles depuis la Belgique ? Nous tenons à vous soutenir dans votre excellente démarche….

    1
    Répondre
  81. Daniel

    Merci pour votre travail qui nous aide dans nos choix.

    1
    Répondre
  82. Claire

    Bonjour
    Vous ne donnez aucune reference sérieuse sur le risque potentiel des pesticides dans l alimentation aux doses infinitésimales auxquelles elles sont employées ni sur l emploi des OGM simplement car il n en existe pas
    Vous alléguez des conclusions qui sont du domaine de la croyance et de la tendance actuelle et qui n ont rien de scientifique
    C est théories sont reprises ensuite par la majorité des français et des médias comme si c était une source d information infaillible
    Les ingénieurs agronomes ne valident pas vos conclusions empiriques.
    De plus vous ne dites pas que L agriculture culture bio est nettement moins rentable , nécessitant de ce fait de défricher l environnement bien plus que l agriculture responsable ( comprendre déboisement …) si elle veut nourrir une plus large population.
    Vous devriez plutôt prôner l agriculture responsable qui est la meilleure pour la santé et m environnement et faire confiance aux agriculteurs qui ne sont pas tous des gens animés par le profit et la dégradation de la nature.

    17
    Répondre
    1. Michel

      Allez voir les 41 références. L’article est très bien documenté à l’inverse de votre commentaire inutile.

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      Répondre
    2. P

      Merci la fnsea pour vos conseils.🤡

      Répondre
    3. Flo

      Merci Claire !
      J’espère que le message sera compris…
      Rien que le raccourci de « ceux qui mangent bio sont en meilleur santé » alors que c’est clairement pas lié au bio mais au fait que ceux qui mangent bio mangent moins gras moins sucré et font plus de sport. Faut pas chercher bien loin que cet article s’entête dans un biais de confirmation !

      4
      Répondre
  83. Hélène

    Merci pour ces compléments d’information et tous vos articles que je lis avec intérêt. Votre application m’est également très utile lors de mes achats alimentaires.

    1
    Répondre
  84. Anne

    Merci pour cet article qui donne une vision claire et précise des bénéfices du bio aujourd’hui. Il donne des arguments factuels et scientifiques pour convaincre des atouts du bio parfois contestés ou négligés, ainsi que des progrès à faire. Merci.

    1
    Répondre
  85. Jeannine

    Merci pour votre précieux
    travail et toutes ces informations très importantes pour notre santé.
    Je vais acheter votre livre pour vous soutenir.

    2
    Répondre
  86. Huguette

    Merci beaucoup pour votre article très intéressant et compréhensible .L’esprit dans lequel vous travaillez nous convient parfaitement et nous rend de grands services .J’essaie de vous faire connaître .

    1
    Répondre
  87. dominique

    Infos détaillées et pertinentes

    2
    Répondre
  88. DANIELLE

    Nous essayons de manger le plus possible sainement. Je fais souvent mes courses avec l’application yuka dans les mains. Merci pour votre implication

    3
    Répondre
  89. Jean-Baptiste

    J’ajouterais que le cahier des charges bio ne prend pas en compte l’impact carbone qui est plus important que l’agriculture conventionnelle, surtout à cause du passage répété des machines pour le désherbage mécanique. Le bio c’est bien mais attention à ne pas idéaliser ce mode de production.

    4
    Répondre
  90. Jean-Baptiste

    Je ne suis pas d’accord avec cette phrase : « Cela s’expliquerait par le fait que certains pesticides chimiques sont des perturbateurs endocriniens impliqués dans les risques d’obésité et de diabète ».
    Cela s’explique plutôt par le fait que, et vous le dites vous même : « la consommation de produits bio doit bien évidemment se faire dans le cadre d’une alimentation globale saine et équilibrée ».
    En général ceux qui mangent du bio mange sain et équilibré, ce sont des personnes faisant attention à leur alimentation, donc moins de surpoids, d’obésité et de diabète chez ces personnes là.

    4
    Répondre
  91. Lunda

    Il est dommage d’avoir dans les charcuteries bio des nitrites

    7
    Répondre
  92. Yveline

    Merci pour cet article intéressant et un grand merci pour tout votre travail. On utilise Yuka très régulièrement et cela nous aide dans nos choix.

    1
    Répondre
  93. Hervé

    Bonjour
    Merci pour cet article intéressant et j’en profite pour vous poser une question relative à de nombreuses critiques sur l’agriculture bio: en effet il est fréquent d’entendre que les agriculteurs s’engageant dans le bio s’engagent à utiliser uniquement les produits « autorisés » mais qu’il n’y avait pas de contrôle a posteriori sur les récoltes (analyse des produits pour détecter des composants chimiques interdits par les label Bio…..
    Qu’en est il ?
    Merci pour votre éclairage 😊
    Bien cordialement
    Hervé L – Grenoble

    7
    Répondre
  94. genevieve

    Merci pour votre article qui va dans le sens des écrits de Claude Aubert, pionnier dans l’agriculture biologique, et auteur de nombreux livres que je recommande, autant au point de vue scientifique que pour les nombreuses recettes qui illustrent une partie de ses livres !

    1
    Répondre
  95. Line

    Article très intéressant et utile, c’est clair , très bien expliqué.

    3
    Répondre
  96. Marie

    Merci pour votre article Toujours pertinent

    3
    Répondre
  97. Laetitia

    Je suis contente de vous lire
    Toujours bien expliqué,j apprécie beaucoup ce que vous faites Merci

    3
    Répondre
  98. NICOLAS

    Article bien rédigé, mais le Label « Bio » n’est pas toujours vert comme on peut nous faire croire. Les études s’appuient sur des études de 2014 mais il faut savoir que les pesticides ont encore était réduit depuis, nous sommes en 2022 soit 8ans après les études. Je pense qu il faudrait parler aussi du « bio » qui provient de d’autre pays qui n’ont pas la même réglementation qu’en France, et qui sont afficher Bio dans les grandes surfaces. Plus globalement je pense qu il faudrait créer un Label qui prennent en compte le bilan carbone du produit sur le point de la culture et de son lieu de vente. Vigneron dans le pays nantais, viticulteur en conventionnelle raisonné.

    6
    Répondre
  99. Nicole

    C est três bien de nous éclairer sur les produits bio qui comme je le pensais étaient tous meilleurs que les produits conventionnelles… Il faut encore faire la part des choses. Merci !!

    2
    Répondre
  100. Carmen

    Merci pour ce travail que vous avez fait, il est bien documenté et précis et n’hésite pas à dire que certaines études doivent être poussées

    4
    Répondre
  101. Frederique

    Merci pour votte article ! Très instructif. Yuka est indéniablement d’utilité publique et source d’information dont il est difficile de se passer au quotidien. Merci de m’accompagner si simplement et naturellement !

    5
    Répondre
  102. jf

    la première médecine du monde c est l alimentation………

    4
    Répondre
  103. Moustafa

    Très intéressant et complet ! Je n’imagine pas le temps qu’il a fallu pour écrire l’article et trouver les sources😶

    4
    Répondre
  104. Marie-Claude

    Merci pour cet article très intéressant. Je suis convaincue et fais le maximum pour manger local et bio

    4
    Répondre
  105. Etienne

    Bravo: TB résumé pour un domaine aussi vaste et complexe.
    Et surtout MERCI

    5
    Répondre
  106. JP

    Si le bio parait cher, ne pas acheter de SUV mais une berline « normale » par exemple, ça laisse plusieurs milliers d’euros de ressources pour bien manger. Si au lieu d’avoir toutes sortes de véhicules électriques individuels on utilisait (si possible) un peu plus nos jambes y compris avec un vélo « normal », là aussi ça peu faire quelques milliers d’euros à consacrer au bio. On n’est pas obligé non plus de traverser les continents pour passer de bonnes vacances ; et là encore ça fait un paquet d’euros pour le bio. Il y a des choix à faire. On est dans le paradoxe du fromage à trous. Plus t’a des sous plus tu pollues et plus tu peux manger bio. Moins t’as de sous moins tu pourras avoir de SUV et de véhicules électrique et plus tu goberas des pesticides. Je sais que ce commentaire peu paraitre agressif mais quid des industriels de l’agro-alimentaire. Les gestionnaires de ces systèmes, eux, peuvent manger bio avoir des SUV et faire le tour de la planète.

    20
    Répondre
  107. Laila

    Bonjour
    Merci pour toutes ses explications
    Très intéressantes et j’ai une vision plus claire et comprend mieux
    Cordialement

    3
    Répondre
  108. Anne

    Merci pour votre article intéressant, clair, concis.
    Encore une fois merci pour tout votre travail et engagement. Beaucoup de changement de comportements autour de moi grâce à Yuka.

    3
    Répondre
  109. Fabienne

    Un tout grand merci pour cet article très intéressant. J’achète parfois bio, mais j’ai toujours un doute quant à la qualité du produit. Maintenant, grâce à votre article, j’y vois plus clair. Encore un grand merci.

    3
    Répondre
  110. JR

    Très bien, très clair !
    Bravo à YUKA !

    3
    Répondre
  111. anne

    Commej’aime vous lire!Merci.Cet article est une nouvelle fois très bien explicite ,clair.
    J’avoue essayer de choisir bio..mais en fait je priviligie mes producteurs locaux.

    2
    Répondre
  112. Evelyne

    Merci Julie
    Super Comme Toujours 🤩

    3
    Répondre
  113. Martine

    Très instructif et concis comme d’habitude qui résume bien ce qu’il faut savoir sur le bio.
    Merci beaucoup,Yuca

    3
    Répondre
  114. Regis

    Très intéressant.
    Merci beaucoup.

    4
    Répondre
  115. Bernard

    Article très intéressant et informatif.
    Yuka est d’utilité publique.
    Bravo pour ce que vous faites. Continuez !

    5
    Répondre
  116. Karine

    Article très clair.
    Merci beaucoup

    5
    Répondre
  117. BERNARD

    Faire croire au commun des mortel que le bio est sans pesticides est une utopie .certain pesticides d’origines naturelles sont bien plus nocif que certain produit de synthèse exemple le CUIVRE métal lourd trés dangereux utilisé à outrance en viticulture bio ( 80 % des cas ). Oui à la biodynamie mais non à 80 des produits bio, les 20 % autres je les respecte mais ils sont noyés par les 80 % autre, dommage pour les consommateurs et pour les véritables bio.

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  118. Véronique

    Article très bien documenté Merci beaucoup

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  119. Marie

    Merci beaucoup de votre article sur le bio. Grâce à vous je vais, entre autres, modifier mes habitudes de consommation de pain!!
    Cordialement

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  120. chantal

    Je trouve cet article super intéressant et je vais en faire profiter mes amis qui n’ont pas encore installé l’application YUKA qui, pour ma part, fait partie de mon quotidien au sujet de mes achats, que ce soit alimentaires ou de toilette.

    4
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  121. catherine

    une étude complète, très instructive et qui m’incite fortement à rester dans la démarche de consommer bio, le plus souvent possible.

    1
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  122. mireille

    Document très complet qui met en valorise le travail des producteurs tout en apprenant toujours plus, un grand merci !
    Quant à votre livre que j’ai commandé l’an dernier, belle présentation, bien illustré, des recettes très alléchantes à découvrir absolument! je le conseille vivement aux personnes qui hésitent encore

    4
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  123. JOB

    Privilégier le bio, c’est aider les producteurs qui ont choisi de mieux travailler, donc j’aide autant que possible ces producteurs là. Le bio est cher ? Acheter que le nécessaire et éviter le gaspillage est déjà une belle économie.

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  124. jean claude

    Article très intéressant mais j’aurais aimé des précisions sur la notion de bio sur les produits importés (hors UE) peut on leur accorder la même confiance

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  125. jean claude

    Article très intéressant mais j’aurais aimé des précisions sur la notion de bio sur les produits importés or UE peut on leur accorder la même confiance

    1
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  126. Mireille

    Assez complet comme informations qui cependant n’incluent pas les vrais bios des faux selon une interview écoutée sur you tube. Il semble que pour gagner plus nombreux sont ceux qui mettent l’étiquette bio alors qu’il s’agit d’un produit non bio. Impossible de les différencier en tant que clients. C’est ce qui me fait hésiter à en consommer . Leur prix est plus élevés pour faire croire que c’est un vrai bio. Je rêve d’un magasin où l’arnaque au bio aurait été contrôlé.

    2
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    1. Robert

      Le label bio impose un contrôle par un organisme accrédité par le ministère de l’agriculture. Ces O.C. sont sous tutelle de la DGCCRF. Il y a toujours des tricheurs, le risque zéro n’existe pas. Mais c’est tellement marginal. Et puis libre à chacun, d’informer la DGCCRF en cas de doute.

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    2. Lisa

      Les produits les plus sûr proviennent du circuits courts ( du producteur au consommateur).

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      1. stephane

        le circuit court ne garantit rien sur l’usage des pesticides. Mon voisin maraicher « local » a très fréquemment recours à de nombreux pesticides, ce qui ne l’empêche pas d’être perçu comme un  » petit producteur local » sur le marché.

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  127. Nelly

    Bravo pour toutes ces réponses et en accord avec vous

    1
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  128. Durand

    des explications toujours aussi précises, je viens d’être éclairée sur le bio, dommage que ce soit cher
    J’y viens doucement

    1
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  129. Françoise

    Merci et bravo pour votre travail.

    1
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  130. liliane

    merci pour ces très bonnes explication concernant l’alimentation bio, toutefois j’ai un grand doute sur les produits dit bio que l’on trouve dans les grandes surfaces et qui pour la plupart proviennent Espagne, Italie et autres.
    je regarde surtout la provenance, et contrôle avec vote application la teneur des valeurs nutritives.
    cordialement

    Répondre
    1. stéphane

      Le cahier des charges Bio est le même au niveau européen depuis plus de 10 ans, pour tous les pays, et les critères contrôlés sont les mêmes. Les organismes contrôleurs font le même audit sur les fermes partout en Europe. Bien sûr autant qu’on le peut il faut favoriser les achats au plus près de chez nous. Mais ça ne fait pas tout.
      Heureusement que les grandes surfaces proposent aussi des produits AB, pour que chacun puisse faire le choix de consommer en partie Bio. Bien sûr les réseaux spécialisés Bio ajoutent en général une couche supplémentaire de cohérence et d’exigence. Mais le fait que ce soit diffusé en GMS ne disqualifie aucunement le cahier des charges respecté et contrôle quoi qu’il en soit.
      Les valeurs nutritives ne peuvent vous éclairer sur les pesticides, le cadmium (attention dans les produits céréaliers notamment), etc.

      2
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  131. Annique

    Merci pour cet éveil de conscience

    1
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  132. Rose

    Entièrement d’accord avec vous non aux nitrites et tous ces dérivés nocifs pour la santé cela devient urgent et primordiale pour nos enfants et nous tous

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  133. Maryvonne

    Merci pour cet article très intéressant
    Et surtout MERCI YUKA
    Cordialement

    1
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  134. Régis d'Aix

    Je me félicite d’avoir supporté Yuka depuis son origine et ensuite ! Cet article il fallait le faire et il est intéressant d’apprendre. Mais aussi de questionner.
    Toute la partie académique je l’approuve bien entendu.
    Sur le plan pratique c’est une autre histoire …
    Qui délivre ces certificats de bonne culture et conduite ? Qui les contrôle et à quelle fréquence ?
    Est-ce qu’ils de préoccupent de toute la chaine : le travail de la terre, l’ensemencement, la culture, la récolte, le stockage provisoire, les transports successifs, le stockage par les super grossistes, puis les grossistes, puis les distributeurs, petits commerces ou très grande distribution, puis les mises en rayon, la surveillance de ces rayons et presque enfin le conditionnement pour le client final ???
    Pour ma part, je ne peux croire en l’existence d’un produit « bio » que dans un circuit court, voire très court, avec la possibilité qui m’est donnée par le revendeur d’aller « voir » sur la propriété ce qui se fait et se passe.
    Comment faire confiance aux big producteurs, importateurs et distributeurs ? même pbs qu’avec Big Pharma n’est-ce pas.
    Comment faire confiance à des produits qui viennent de par le Monde ? Est-ce que lon peut croire que l’orange qui vient du Maroc, le kiwi qui vient de Nouvelle Zélande, les poulets qui viennent de Chine … etc, sont « bio » ???
    Merci Julie pour ce partage et à bientôt de vous lire de nouveau sur Yuka News …

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    1. Jean Claude

      Tout est dit. Rien à ajouter!

      Répondre
  135. Françoise

    Merci de nous informer régulièrement sur notre alimentation qui nous fait prendre conscience de son importance sur notre santé ainsi que votre application et votre livre très pédagogue et tout en couleur.
    Merci mille fois 🙂

    3
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    1. Julie de Yuka

      Avec plaisir François, merci à vous ☺️

      1
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  136. Sylvie

    Merci de toutes ces informations. Il est bon de rappeler que le bio sert à quelque chose.

    2
    Répondre
  137. Elodie

    Très bon article, avec des explications intéressantes et sans parti pris.
    Merci beaucoup

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    Répondre
  138. Damien

    Bonjour, dès lors qu’un label, quel qu’il soit, et notamment le label de Nature & Progrès, est apposé sur un produit bio, il DOIT respecter l’ensemble du règlement européen (qui se traduit par l’eurofeuille). Votre article est imprécis ou même erroné sur ce point.

    1
    Répondre
    1. Julie de Yuka

      Nature & Progrès a fait le choix de l’indépendance vis à vis du label bio européen. Les produits Nature & Progrès ne sont donc pas officiellement reconnus comme bio et n’ont pas l’obligation d’obtenir le label bio européen : https://www.natureetprogres.org/la-mention-cest-quoi-2/

      3
      Répondre
      1. Damien

        Alors pourquoi classez vous le label N&P dans la liste des produits bio ? Un produit bio est par définition un produit qui respecte le cahier des charges européen.

  139. Jacques

    Très bonne synthèse , cela me donne envie de reprendre la lecture de votre excellent bouquin !
    Merci .

    2
    Répondre
  140. Valerie

    Je consomme depuis de nombreuses années des produits bio… Légumes fruits œufs etc..
    Merci pour ces renseignements et ce message bien documenté et instructif….. Yuka mon accessoire préféré quand je fais mes courses
    Merci de votre engagement qui nous aide beaucoup !!!!

    3
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  141. Andrée .

    Article intéressant qui me conforte dans mes convictions forgées sur l expérience .
    Je vous saurai gré d expliciter les sigles , le pesticide SDHI ?
    Merci et au plaisir de vous lire .

    2
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    1. stephane

      SDHI = inhibiteurs d’une enzyme clé du métabolisme cellulaire (nom barbare = inhibiteur de la succinate déhydrogénase). Cette enzyme permet la respiration cellulaire (dans les mitochondries cellulaires). Elle est présente dans tous les être vivants, du ver de terre à la baleine… en passant par les humains. Bloquer la respiration cellulaire et les mitochondries est un jeu dangereux : tous les cancers, quel que soit l’organe touché, ont pour point commun des dysfonctionnements des mitochondries et de la respiration cellulaire. Un grand nombre de scientifiques alertent sur cette problématique, car la dispersion dans les champs de ces molécules est perçue comme extrêmement dangereuse pour tous les être vivants.

      4
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  142. Roger

    Une fois de plus un message pertinent
    Félicitations
    Cordialement
    Roger

    1
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  143. Nathalie

    Bravo et encore merci pour toutes ces informations je suis pour le 100% bio je passe mon temps à lire toutes les étiquettes pour démeter j’achète avec confiance et ne connaissez pas Bio Cohérence il devrait faire de la Pub.

    1
    Répondre
  144. Evelyne

    Merci pour cet article très intéressant. Nous mangeons quasiment uniquement des produits biologiques et grâce à Yuka et toutes les infos que vous donnez, nous pouvons faire le tri dans les produits.
    Votre livre fournit également de précieux conseils.

    1
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  145. Bertrand

    Bonjour,

    Merci pour cette lecture intéressante.
    A quand le Bio accessible à toutes les bourses pour faire diminuer le risque de maladies
    et donc faire le déficit de la sécurité sociale?

    1
    Répondre
  146. olivier

    Excellent article très documenté et nuancé… comme d’habitude. Merci Yuka.

    1
    Répondre
    1. Julie de Yuka

      Merci à vous, ravie que l’article vous ait plu 🙂

      1
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  147. Irène

    Ces informations sont très intéressantes et utiles. Merci

    1
    Répondre
  148. Danièle

    Bonjour et merci pour vos articles.
    Pour ce qui est du MIEL, le miel naturel n’est il pas un miel épais et en cristaux ? J’ai lu cela quelque part et j’aimerais savoir si cela est vrai, merci pour votre réponse Julie.
    Danièle

    Répondre
    1. Antoine

      Le miel est à l’état liquide dans la ruche, puis cristallise avec le temps. Le temps de cristallisation dépend de la composition du miel, donc des fleurs butinées.
      Il faut faire attention aux miels vendus en grandes surfaces notamment, souvent coupés avec du sucre. L’idéal étant de l’acheter directement à un apiculteur, mais ce n’est pas toujours facile quand on est citadin.

      1
      Répondre
  149. Marie-Cécile

    Merci pour votre article très compréhensible sur un sujet essentiel.

    1
    Répondre
  150. Alain

    Bjr l équipe de Yuka merci pour vos analyses. Bio ne veut pas tjrs dire forcement meilleures au goût.surtout.dans le vin.
    Ou en êtes vous avec.les lobbyistes de la charcuterie merci de ns aider

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    Répondre
  151. Lydie

    Grâce à l’appli Yuka je n’achète plus de produits contenant des additifs nocifs et douteux pour la santé… il serait souhaitable que les miels et sucres aient une notation également…. Bcp de produits sont encore inconnus de Yuka….dommage !!!!!!

    2
    Répondre
  152. Yvon

    Les produits bio contiennent un moins de métaux lourds a bon c’est’ pour cela que l’anses recommandé de ne pas donnr de produits bio aux enfants .les terres bio représente a peine 5pour cent mais deja 25/100 des pesticides utile en france du cuivre et du souffre qui sont des métaux lourds par définition

    Répondre
    1. Antoine

      Bonjour. Quelles sont vos sources, je ne trouve rien à ce sujet ?
      Merci

      Répondre
      1. Antoine

        Et pour info, le soufre n’est pas un métal…

    2. stephane

      Intox en effet. La grande majorité des quantités de cuivre sont utilisées par l’agriculture conventionnelle, en France comme ailleurs.
      L’ANSES recommande de limiter les produits céréaliers non-Bio pour les enfants et les adolescents, car avec des quantités alimentaires normales, il y a risque de dépassement des valeurs toxiques.
      Il y a un groupe de travail spécifique à l’ANSES depuis plus d’un an pour tenter de gérer ce problème du cadmium dans les produits alimentaires. Il n’y a rien de tel sur le cuivre.
      Ce serait d’ailleurs un sujet pou l’avenir : sensibiliser l’agro-alimentaire sur cet enjeu du cadmium, pour qu’il fasse pression pour que les engrais conventionnels (phosphatés) soient séparés du cadmium. Aujourd’hui, 90% des engrais phosphatés viennent du Maroc (où cette industrie extractive pollue d’ailleurs massivement), et rien n’est fait pour séparer les phosphates du cadmium au niveau minier. Il en couterait quelques € la tonne… Donc invisible sur les produits alimentaires. Si les citoyens ne s’en saisissent pas, rien ne bougera. Pendant ce temps, on continue à polluer nos aliments, et l’eau.

      2
      Répondre
  153. Michel

    C’est du grand n’importe quoi !
    Le meilleur exemple est votre paragraphe sur les métaux lourds !
    D’une part, je voudrait bien voir les teneurs en Cadmium dans un légume, je doute qu’ils soit même repérable en agriculture conventionnelle et raisonnée.
    D’autre part, le cuivre EST un métal lourd ! Et lui il est présent, très présent même à tel point que les doses admises ont été largement revues à la baisse.
    En élevage, il n’y a aucune différence entre une viande bio et une viande à l’herbe, les deux systèmes ont autant d’antibiotique (2 ou 3 injections)
    C’est comme tout, en agriculture, vous avez la production industrielle et la production raisonnée !
    En France, nous avons une des agricultures les plus « propre » au monde !
    Merci à nos agriculteurs !

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    Répondre
    1. Antoine

      7ème pays au monde en quantité totale, 34ème en quantité par hectare, nous ne sommes pas les pires en effet, mais je ne dirais pas que nous sommes un des plus propre.
      sources :
      https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/agriculture-pesticides-pays-plus-gros-consommateurs-10757/
      https://www.decodagri.fr/non-la-france-n-a-pas-le-record-de-consommation-de-pesticides-en-europe/

      Répondre
    2. stephane

      Quelles sont vos sources sur les injections d’antibiotiques ?

      Répondre
    3. BERNARD

      Merci

      Répondre
  154. Anne

    Très très édifiant! Je n achète que bio. Merci beaucoup Julie .

    1
    Répondre
    1. Julie de Yuka

      Avec plaisir 🙂

      Répondre
  155. Jeff

    Bonjour,

    Je me permets de vous alerter sur le fait que vous faites la promotion du label Demeter, label de la biodynamie, une pseudo-science agricole inventée dans les années 1920 par l’occultiste autrichien Rudolf Steiner, fondateur de l’anthroposophie.
    L’anthroposophie est un courant ésotérique et pseudoscientifique, qualifié de courant à dérive sectaire par la miviludes.

    Merci de vous renseigner sérieusement sur ce sujet (Grégoire Perra par exemple) et retirer au plus vite ce label de cet article.

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    Répondre
    1. Julie de Yuka

      L’article ne fait aucune « promotion », il expose les labels bio et leurs différents cahiers des charges. Pour information, le label Demeter requiert que le label bio européen ait été obtenu au préalable. Il rajoute ensuite d’autres critères avec un cahier des charges plus exigeant que le label européen sur certains points (ex : mixité des cultures bio et non bio interdite sur une même exploitation).

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      Répondre
      1. Thomas

        Surtout que même la Mivilude pointe la pratique du doigt.
        https://twitter.com/Miviludes_Gouv/status/1498251588133076995

  156. Jean

    Article intéressant concernant le bio
    merci de l’avoir partagé

    1
    Répondre
  157. Patrick

    Bonjour Julie
    Merci pour ces précieuses informations.

    1
    Répondre
  158. Jacqueline

    Merci beaucoup pour cet article très instructif sur les labels bio…. il m’arrive d’acheter des produits dans un magasin bio et en les scannant avec l’appli, et de les voir moins bien notés que ceux achetés en grande surface…

    1
    Répondre
  159. Denise

    Article trés intéressant et très clair.
    Merci beaucoup, bonne journée!
    Denise.

    1
    Répondre
  160. Giuseppe

    Bonjour Julie merci pour l’informations j’utilise Yuka pour tous mes achats
    C’ Super encore merci
    Cordialement
    Giuseppe

    1
    Répondre
  161. Christian

    Merci pour vos informations. Depuis que j’utilise l’application, je boycote au maximum les produits contenant des additifs à risque.

    1
    Répondre
  162. Cendrine

    Merci pour toutes ces précisions, c’est très intéressant.
    Ce que je ne comprends pas, c’est qu’il est régulièrement dit que certains produits bio importés ne sont pas véritablement bio car les normes bio du pays sont beaucoup moins exigeantes. Pourtant ils ont un des label cités plus hauts, donc comment peuvent-ils obtenir ce type de label si ces produits sont soit disant peu fiables ? Merci

    1
    Répondre
  163. Chantal

    Merci Yuka pour vos commentaires toujours très intéressants afin de nous empoisonner un peu moins…
    Ma fille m a offert votre livre que je parcours toujours avec intérêt …
    Merci de persévérer encore et toujours

    2
    Répondre
    1. Véronique

      Merci yuka, mes achats ont beaucoup changé depuis que j’ai l’application.
      Encore merci, pour toutes ces informations utiles à notre hygiène de vie.

      1
      Répondre
  164. Bernard

    Un grand merci pour vos informations

    1
    Répondre
  165. Thérèse

    Bonjour Julie,
    Merci pour votre précieux article. J’apprécie beaucoup l’application Yuka Ainsi que le livre.
    Toutefois il m’aurait plu d’avoir des informations sur le label “Bio-Suisse” et “IP-Suisse “ est-ce possible?
    Belle journée

    4
    Répondre
  166. Cécile

    Bonjour, je voudrai à nouveau vs soutenir,
    Je vs regarde souvent,
    Comment vs aider ?

    1
    Répondre
  167. Martine

    Bravo pour cet article clair et complet

    1
    Répondre
  168. Michel

    Informations très intéressantes et fort utiles

    2
    Répondre
  169. Isabelle

    Un très grand merci de rendre accessible au grand public des informations primordiales lorsque l’on cherche à donner un sens à notre consommation et préserver autant que possible notre santé et notre bien-être.
    Le sujet est vaste et très sensible, il suffit de lire les commentaires !
    Je pense que votre engagement et vos articles sont totalement dignes de confiance et indépendants ce qui est si rare ! Tenez bon !

    4
    Répondre
  170. Pascaline

    Article très intéressant. Merci

    1
    Répondre
  171. Michelle

    Bonjour
    Merci pour toutes vos infos, perso je me sert de votre appli Yuka et j achete quand vous noter excellent que ce soit bio ou pas car à part les produits locaux que vous connaissez leur provenances je ne peut comprendre que un agriculteur qui respecte le bio et que le champs à côté se sert de pesticides comment dire que c est produits sont bio , enfin on nous empoisonne depuis des lustres et ce n’est pas acceptable mais que faire ?

    6
    Répondre
  172. Marie-France

    Bonjour Julie
    Bien sûr qu’une alimentation bio est un facteur intéressant pour notre santé mais la flambée des prix me limite dans ce domaine…. Une tête d’ail violet à 5€ je suis désolée mais c’est de l’or vert !!! c’est regrettable aussi je me limite aux épices et aux soupes.
    Merci pour vos infos et très bonne journée.
    Marie France

    9
    Répondre
  173. Claire

    Bonjour,
    Je trouve votre article assez convaincant mais pas totalement honnête. A l’heure actuelle, les données de la science ne permettent pas de dire qu’il est meilleur pour la santé de manger bio, ni même meilleur pour la planète.
    La suspicion est grande mais les études ne l’ont pas encore confirmé. La non utilisation de pesticide pour la conservation des céréales par exemple entraîne le développement de flavatoxine et d’anatoxine qui sont des molécules hautement cancérigènes bien naturelles…
    la conservation de produits bio pose des problématiques importantes aussi, utilisations de cuves en cuivre…
    Enfin la consommation de produits bio qui viennent de l’autre bout de la planète est de mon point de vue une aberration.
    Bien plus important que manger bio, c’est de manger des produits de qualités, locaux et de saison en ayant soin de bien laver les fruits voire d’éplucher ceux dont nous ne sommes pas certains des conditions de production.
    Manger bio entraîne un surcoût que l’ensemble de la population ne peut pas assumer. Et l’agriculture bio enFrance n’a pas les moyens de nourrir toute la population.
    Il est important de pousser notre agriculture vers des pratiques plus vertueuses, de faire changer les pratiques de consommation en favorisant les produits de qualité, de favoriser le fait Maison, de limiter le gaspillage alimentaire… mais malheureusement à l’heure actuelle, je ne dirais pas qu’il est mieux ni pour la santé ni pour la planète de manger bio.. , car les données sont encore insuffisantes pour pouvoir l’affirmer.

    33
    Répondre
    1. Pl

      Ah la FNSEA trolle est sur yuka aussi.

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      Répondre
    2. Flo

      Merci ! Faut aller dans les commentaires pour avoir un avis sensé…

      Répondre
  174. Renee

    je consulte votre livre regulierement et yuka lors de l achat de certain produits votre article est super intéressant merci pour tout vos conseils.

    5
    Répondre
    1. Julie de Yuka

      Merci Renee, ravie que le livre vous plaise et que l’appli vous soit utile !

      Répondre
  175. Annie

    Merci beaucoup à toute l’équipe de Yuka. Il y a 40 ans à peu près que j’ai découvert le bio. Que j’ai commencé à me poser des questions, surtout après la naissance de mes enfants. Puis j’ai étudié la naturopathie, la sophro le reiki et. Etc. J’aurais 80 ans l’année prochaine. Je suis en parfaite santé physique mental et etc.. même après avoir vécu le Covid. La santé c’est notre propre affaire. Connaître son corps, savoir l’écouter, savoir l’aimer, le remercier. Merci encore à Yuka.

    5
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    1. Julie de Yuka

      Merci à vous pour votre message et témoignage 🙂

      Répondre
  176. Laure

    Le label Demeter est attribué aux partisans de l’agriculture « bio dynamique », une pratique pseudo-scientifique plus largement associée au mouvement antroposophe qui présente un risque de dérive sectaire selon la Miviludes. C’est une bouillie d’astronomie, d’ésotérisme et d’un peu d’agriculture… je doute fortement de son intérêt par rapport au label bio européen.
    Je suis assez déçue de cette présentation très orientée du label Demeter, et je me demande honnêtement quel crédit accorder au reste de vos articles.

    16
    Répondre
    1. Julie de Yuka

      Bonjour Laure,
      Le label Demeter requiert que le label bio européen ait été obtenu au préalable. Il rajoute ensuite d’autres critères avec un cahier des charges plus exigeant que le label européen sur certains points (ex : mixité des cultures bio et non bio interdite sur une même exploitation).

      15
      Répondre
    2. Michelle

      De nombreuses études scientifiques ont prouvé les valeurs du label Demeter ..on ne peut assimiler l’antroposophie à une quelconque secte..c’est une absurdité..voir Weleda ..Steiner n’a rien d’un illuminé !!!

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      Répondre
      1. Laure

        Bonjour,
        Avez vous des sources à partager sur les avantages du label Demeter par rapport au bio conventionnel ?
        Quant aux dérives sectaires, vous me pardonnerez de ne pas prendre votre parole pour argent comptant et de me fier à la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires plutôt qu’à vous…
        Bonne journée

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      2. Thomas

        C’est d’ailleurs pour ca que la Mivilude tweet sur le sujet…
        https://twitter.com/Miviludes_Gouv/status/1498251588133076995

    3. Florent

      Attention pour les vegans, le label Demeter utilise des produits animaux durant leur rituel !

      1
      Répondre
      1. Thomas
  177. Fabienne

    Merci beaucoup pour cet article très intéressant.

    1
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  178. Raymond

    Très intéressant

    2
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  179. Jean-gerard

    Je suis un utilisateur très assidu de Yuka, et j’aimerais que vous nous donniez votre avis sur les miels. Cordialement.

    1
    Répondre
    1. Yannick

      Bonjour,
      C’est tout simplement prendre la nourriture des abeilles qui ne vivent qu’environ 45 jours !
      Cordialement
      YL

      1
      Répondre
      1. Gwdeb

        Un peu radicale comme réponse… Non ? 🤔
        Pas d’argumentation, pas d’échanges ? Ce n’est pas ainsi que vous pourrez rallier d’autres personnes à votre avis. Bonne journée. 🙂

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  180. Betty

    Excellent livre à avoir chez soi, et en plus très beau. Merci yuka

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  181. Monique

    Un ami m’a offert votre livre Le guide de l’alimentation saine et je le trouve très bien fait !
    Merci à vous pour toutes vos recherches (j’utilise Yuka depuis longtemps quand je fais mes courses) et merci pour tous vos conseils.

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    1. Julie de Yuka

      Un grand merci Monique, ravie que le livre vous plaise et vous soit utile !

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  182. Denise

    Tellement de mensonges avec le bio ! J’utilise, mais pas sur que ce soit toujours BIO !!!

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  183. Carole

    Merci pour cet article tres complet sur le sujet, j’essaie de consommer bio et non transformer le plus possible, reste que parfois certains produits bios achetés en supermarché semblent moins frais que les autres. Pourquoi ? Est ce parce qu’ils n’ont pas subit de traitement pour mieux se conserver ? Parce qu’ils ne sont pas réfrigérés ? Merci d’avance pour vos avis !

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  184. Jocelyne

    Merci Yuka pour je fais mes courses avec vous et cela évite de manger de mauvaises choses c’est super

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  185. Ghislaine

    Article très intéressant.
    Merci beaucoup.

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  186. Claude

    Je suis de l’avis de Philippe…. non seulement sur l’alimentaire mais aussi sur les autres produits (Cosmétiques, Hygiène, ….) évaluables par l’application Yuka

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  187. Chantal

    Le Bio, oui, mais quand il est produit en France et de préférence local

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    1. Annick

      Tout à fait d’accord.
      Consommer du bio dont on ne connaît pas l’origine, ce qui est le cas la plupart du temps, ne présente un intérêt que pour notre santé, mais pas pour la planète.

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  188. Philippe

    Encore un excellent article ! Bravo et Merci.
    Ceci étant dans vos classifications, il ressort logiquement que le Sel est trop salé, le Beurre et l’huile sont très et trop gras, tout comme nos bons fromages au lait cru ! Le résultat est qu’ils sont classés automatiquement dans les produits délétères pour la santé .
    N’y aurait-il pas lieu d’ajouter les quantités recommandées pour une alimentation équilibrée et donner de la pertinence à votre action ? (exemple les graisses sont indispensables aux nutriments liposolubles…)

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    1. Julie de Yuka

      Merci Philippe ! Concernant les notations dans l’application :
      – l’appli ne dit pas sur le sel est trop salé 🙂 Nous avons développé une notation spécifique pour le sel qui prend en compte 4 critères : l’équilibre nutritionnel, l’analyse des additifs, le type de transformation, et la méthode d’extraction. Le détail de la méthode de notation est disponible ici : https://help.yuka.io/l/fr/article/0ugjxul5pe-notation-sels
      – concernant les matières grasses, conformément aux critères du Nutriscore, la notation ne prend pas en compte la quantité de graisses mais l’équilibre des graisses (ratio des graisses saturées sur l’ensemble des graisses). Ainsi, les beurres sont en effet tous notés sous la moyenne car ils sont riches en graisses saturées qui sont des graisses que nous consommons en excès, mais les huiles d’olive sont en revanche bien notées
      J’espère que ça répond à vos interrogations !

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      1. Philippe

        Merci pour ces explications, mais je reste dubitatif sur le fait que Yuka ne fait aucune différence entre un beurre fermier au lait cru et un autre industriel et que l' »on consomme en excès », ce que dément ma nutritionniste avec 20 gr/jour. Pour le sel, j’utilise du sel brut et de la fleur achetée chez un saunier, dont humide et sans chimie (et sans code barre) ! C’est pourquoi il serait pertinent d’ajouter dans vos analyses la consommation recommandée et ne pas en rester à la doxa générale…..
        Merci

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  189. marie

    Article intéressant et j aimerais ajouter une réflexion. Généralement nous oublions de dire que si manger bio coûte un peu plus cher, ce dont je doute car c est aussi manger autrement, il est important de penser à la rémunération des producteurs et éleveurs bio car, je l espère, ils tirent un meilleur revenu de leur travail en théorie. Nous devons accepter de payer le juste prix d une bonne alimentation.

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  190. Michèle

    C’est article est très intéressant et convaincant sur nôtre alimentation
    Merci

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  191. Conchita

    Bonjour à toute l’équipe,
    Merci pour cet article. Vous faites un bon travail.
    J’ai pris bonne note et je tiendrai désormais compte des 3 labels « bio » dont les exigences témoignent d’un engagement plus sérieux vers une réelle qualité des produits que nous consommons (Demeter, Bio Cohérence, Nature & Progrès).

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  192. Frédéric

    bonjour,
    dans vos sources 4 et 5, je n’ai pas lu de mention concernant l’apparition de tumeurs et de cancers.
    ai-je mal lu? est-ce dans d’autres sources?
    merci

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    1. Julie de Yuka

      Bonjour Frédéric,
      L’abstract de l’étude mentionnée en source 4 indique (en anglais) : « This is all the more worrying as we know that the loss of function, partial or total, of the SDH activity caused by genetic variants causes severe human neurological diseases, or leads to the development of tumors and/or cancers. »

      Dans l’article ci-dessous, le chercheur Pierre Rustin à l’origine de cette étude avec d’autres chercheurs indique : « C’est précisément ce qu’il se passe chez l’Homme quand il y a une inhibition de l’enzyme SDH : on peut observer la survenue de tumeurs d’origine épigénétique »
      https://www.pollinis.org/publications/entretien-avec-pierre-rustin-en-plein-bras-de-fer-avec-lanses-sur-les-fongicides-sdhi/

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      1. Frédéric

        bonjour Julie,
        merci d’avoir relevé le passage de la source 4. j’attire votre attention sur le fait qu’il est bien indiqué que cet article n’a pas été revu par des pairs et que, je cite, « should not guide health-related behavior or be reported in the press as conclusive. »
        cet article datant d’il y a 4 ans (mars 2018), savez-vous si cette étude a donné lieu à un article auquel on peut se référer, ou bien s’il en est resté à cet état de pré-print?
        en l’état, cette source ne peut pas servir votre article.
        par ailleurs, dans l’article que vous citez (entretien avec P.Rustin de septembre 2019), l’auteur parle effectivement de tumeurs d’origine épigénétiques. s’agit-il pour autant de tumeurs malignes à coup sûr?

  193. Pascale

    Superbe article,très complet ! Et très convainquant….
    Merci à toute l équipe !!!

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    1. Julie de Yuka

      Merci à vous, ravie que l’article vous ait plu 🙂

      1
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  194. Michèle

    Très intéressant votre article j achèterai du bio plus souvent merci pour cet article cordialement

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  195. Liliane

    un grand Merci pour cet article très intéressant.

    2
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  196. Christiane

    Merci,très instructif…..*

    2
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  197. Valérie

    Manger bio doit s’inscrire dans une démarche de santé publique car il y a assurément une incidence positive sur notre santé comme le démontrent les études. Nous sommes arrivés à la limite de la mal bouffe et un retour à une agriculture bienveillante est nécessaire pour notre santé et pour notre planète…Les labels sont des indicateurs précieux pour les consommateurs peu avertis qui veulent changer leur comportement alimentaire, mais encore faut-il connaitre leur signification…Merci pour cet article !

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    1. Julie de Yuka

      Avec plaisir Valérie !

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  198. Dominique

    Tres bon article et très clair. Je n’ai jamais vu les autres formes de labels Bio. Je vais faire attention. Un grand merci.

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  199. Réjane

    Très bon article comme toujours. Merci

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  200. audrey

    Excellent article : il répond à cette question essentielle « le BIO – une réponse réelle pour notre santé »? Tous les aspects sont abordés, et de façon précise et chiffrée. Merci

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    1. Julie de Yuka

      Un grand merci, ravie que l’article vous ait plu !

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